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ristretto
15/4/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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première belle impression : l'auteur m'a fait entrer d'emblée dans Son atmosphère, feutrée, délicate, suspendue hors du temps ..
et l'ambiance se crée autour des personnages et du coup, ils me paraissent vraiment proches. de très belles sonorités, une lecture qui coule si facilement, que dire de plus à part : merci beaucoup ! |
Anonyme
18/4/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'ai cru avoir le dessin au fusain devant moi, lumière tamisée inclue. N'étant pas un expert en « pouème » je ne jugerai pas de la forme.
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Anonyme
24/4/2010
a aimé ce texte
Bien
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Un texte au rythme original (12/8/12/8), avec de jolies formulations comme "le soir tombe en grand silence", "les rais fardés de blancs cristaux", "l'encre bleue des apparences", "blafards de tendre somnolence" ...
Le 1er quatrain, et encore le 2ème, jouent avec douceur sur les clairs-obscurs ; en revanche les deux suivants me plaisent moins, peut-être parce que je n'ai pas la "clé", ne connaissant pas le dessin ? mais il me semble aussi que le style y est plus convenu, moins "riche". Je regrette le "heurt" phonétique sur deux vers, à savoir le tout 1er : césure sur "filtrent", ce n'est pas très joli à l'oreille ; et le 1er vers du dernier quatrain, où il manque une syllabe, qu'un "Et" en début de vers aurait (par exemple) permis de pallier. Une agréable lecture, globalement. |
Anonyme
26/4/2010
a aimé ce texte
Pas
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Je suis pas fan.
Je trouve que c'est très visuel, mais je trouve que ça glisse pas assez à l'oreille. "D'indicibles visions que la nuit engloutit Eludant toute confidence."=> bien que l'image soit assez clair, ça me semble un peu approximatif au niveau de l'expression pure, c'est pas très joli à l'oreille... D'ailleurs je trouve trop de rimes en ance/ence , trois des quatre strophes sont rimées à l'identique et c'est monotone... De plus je trouve que les vers manquent d'originalité (infime présence, la nuit engloutit...corps appesanti... sombre réticence etc...), et sont beaucoup trop qualifiés. je pense que la plupart des gens voient en les adjectifs qualificatifs des "plus" au nom propre ou commun. Pour moi c'est tout l'inverse. Tout n'a pas besoin d'être qualifié... sur 16 vers j'ai pas moins de 14 qualificatifs, presqu'un par vers, si pas deux par endroit, beaucoup trop en ce qui me concerne. Les qualificatifs sont à l'image ce qu'il y a de plus simple à évoquer, un peu de complication n'aurait pas nui ici. Par contre la surabondance de qualificatifs, oui. Pardon. Merci quand même... Désolée ça n'a pas pris sur moi. Une prochaine fois peut-être.... |
LeopoldPartisan
26/4/2010
a aimé ce texte
Un peu
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Dans cette lecture je suis assez gèné dans le premier quatrain par le verbe "éparpille" qui tombe un peu bizarrement comme un cheveu dans la soupe. Ce phénomène se répète dans le second avec le verbe "contraint".
Je sais que ce sont des impressions, mais j'aurais souhaité quand même un minimum d'indices quant aux visions indicibles qui élude toute confidence... Je crois que pour l'auteur qui a vu ce dessin au fusin, cela est une évidence, pour le lecteur qui en est privé c'est nettement plus flou. |
kamel
27/4/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour
Une mise en page d'un poéme néo-classique détaille cette lumière tamisée par des termes significatifs. Des vers symétriques émergent pour mettre en valeur les rimes croisées ABAB dans chaque strophe. Une belle carricature de la structure offre un paysage parfois attirant. Un fond détermine cette mise en forme du poéme par cette belle description de la lumière qui céde son passage à la nuit qui tombe dans ce hameau. De belles comparaisons complètent ces strophes et renforcent la structure. Bonne continuation |
Damy
5/5/2010
a aimé ce texte
Bien ↓
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Il eût fallu le dessin représentant Hoffman et Helga en regard pour apprécier pleinement le poème. On les devine dans une attente secrète, peut-être celle inespérée de la tendresse d'hoffman pour Helga? Bref, l'image dépeinte me paraît trop imprécise.
L'ambiance vespérale de la scène me paraît bellement évoquée, mais s'agit-il des fronts d'Hoffman et d'Helga ou de ceux qui les regardent? Le doute me gêne un peu. Une belle musicalité émane des rimes croisées dans la cadence d'une berceuse 12/8. |
telemaque
5/5/2010
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour,
Belle sonorité sur un rythme 12/8 La rime en 'ence' me rappelle cette 'dernière danse' de "Kyo" Peut être Hoffmann, dans le fauteuil.... Curieux que quand on parle d'Helga le quatrain est FFFF |
Raoul
5/5/2010
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Descriptif, oui, je veux bien, mais pourquoi?
Je n'accroche pas du tout, navré… La rythmique en 12/8 hache à mon oreille tous les ambrions de musicalité. Pour moi il n'y a pas d'homogénéité, pas de progression non plus, pas de structure (ou du moins je ne la vois pas…). L'arrivée des deux personnages en fin de ce pourtant bref poème me parait bien tardive… Une lecture des strophes dans le désordre : 3, 2, 4, 1 peut être? Mais quasiment tous les octo. sont interchangeables… La profusion des adjectifs -particulièrement flagrant dans la strophe 2- rend le tout très languissant et cette impression est accentuée par la rime récurante en "ence", puis, quand je tombe sur un "Helga, belle implorante" terriblement daté… là, ça me tombe des yeux… Désolé. Une autre fois, certainement. |
Lechat
6/5/2010
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Un texte intimement lié à un dessin, mais le dessin n'est pas montré (et j'avoue mon inculture, je ne connais pas ce dessin) ! Ca me donne l'impression d'une oeuvre amputée d'une moitié, surtout que le texte est construit pour coller au dessin :
- une première strophe pour poser l'éclairage - une deuxième pour introduire les personnages - les deux dernières consacrées à chacun des deux personnages. J'ai vraiment eu du mal à accrocher dans ces conditions, surtout que le style me semble un rien empesé. Difficile de mettre une appréciation en l'état dans la mesure où il est impossible de savoir si le style du poème se fond dans celui du dessin ou non ! Appel à Flarthus : Pourriez-vous nous indiquer (s'il est disponible) un lien vers un site internet qui proposerait une reproduction de ce dessin ? Par avance merci, |
Anonyme
30/11/2016
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Par moment je regrette vraiment que la ponctuation ne soit plus présente, là encore dans ce texte, elle fait défaut car elle n'est que partiellement présente.
" Les persiennes filtrent les lueurs du hameau Et le soir tombe en grand silence, Éparpille les rais fardés de blancs cristaux Sur l'encre bleue des apparences. " L'instant fragile peu à peu se pose et se vêt bien joliment par cette phrase "sur l'encre bleue des apparences" . " Une faible clarté emprisonne les fronts Blafards de tendre somnolence Qu'une ride contraint sur les regards profonds Voilés de sombre réticence. " Cette deuxième strophe n'est pas aussi légère, cette profusion d'adjectifs figent le mouvement décrit. Les strophes trois et quatre, me sont parlantes, même si je trouve quelques maladresses dans les phrase suivantes : " Songe, attiré par l'émergence D'indicibles visions que la nuit engloutit" Je bute, sur ce passage qui manque de fluidité. Dans l'ensemble le poème dégage une certaine atmosphère feutrée, où les émotions sont "vaporeuses". J'ai cherché ce dessin au fusain, je n'ai pas trouvé. |