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papipoete
26/2/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Une dentelle de mots que ces ombres peintes, que des alexandrins lumineux découpent dans le ciel, au sol, au détour d'un chemin .
Que d'images pour vêtir les éléments, costumer la nature ; c'est resplendissant ! Sonnet parfait pour moi . la deuxième strophe est particulièrement délicate . NB " scintille/nt " ne devrait-il pas être au singulier ? |
troupi
27/2/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Des images surprenantes et c'est ce qui m'a accroché dans ce sonnet sûrement bien construit (mais je ne suis pas compétent pour juger la forme, d'autres spécialistes s'en occuperont).
" la paille du ciel " " un songe émerveille un papillon" " Une ganse de vent muselle une lavande " " les fruits du jardin cachent sous leur museau." Je trouve que les deux tercets sont assez étranges mais c'est ce qui me plait ici. |
Francis
25/3/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Apaisant, cristallin, coloré... un beau sonnet comme un hymne à la beauté de la nature. J'ai aimé plonger dans ces décors qui offrent la quiétude, le bonheur d'une vie bucolique simple et tranquille.
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Lulu
25/3/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Francis,
c'est avec grand plaisir que j'ai lu votre sonnet que je trouve vraiment très beau. Vous nous entraînez dans un jardin superbe où il fait bon de rêver, un peu comme cette "goutte de pluie" qui "Rêve de se glisser dans un sac de voyage" (superbe image). En dehors de cette goutte de pluie, qui témoigne peut-être d'une averse passée, je me suis représentée ce jardin sous un ciel bleu, peut-être parce que votre sonnet est très coloré, et que j'ai voulu rendre plus vives les couleurs - mais je vous l'accorderais volontiers, on peut aussi se représenter un ciel couvert pour cette "paille du ciel où se blottit [un] oiseau". J'aime beaucoup les images et, comme je l'ai mentionné, les couleurs qui surgissent au détour de chacune d'elles. On voit la paille du ciel, la bougie à la cire d'abeille, le papillon, la lavande, l'or de la bouteille...etc. Je suis toujours admirative devant les sonnets, les formes classiques, en général, lorsqu'ils parviennent à rendre compte d'une belle poésie, soit d'une belle sensibilité. Ici, je trouve votre sonnet fort beau, réussi. Bravo. Il est si évocateur, si imprégné de votre sensibilité poétique, qu'on se laisse volontiers aller à rêvasser. Tous mes encouragements pour la suite. |
Anonyme
25/3/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour francissicard... Ce sonnet de dentelles est finement ciselé et la plume classique n'a pas démérité quoique le museau des fruits me semble ici un peu forcé pour la rime.
J'ai beaucoup apprécié les deux vers suivants : Des rides de silence effacent le murmure D’une source assoupie au détour d’un chemin... et, malheureusement, beaucoup moins le vers ultime qui les suit : Où bruit sous mes mots une épaisse ramure. Je pense que " sous mes mots" n'est pas la meilleure formule pour cette chute tout comme la diérèse à "bruit" n'est pas évidente à la lecture. Il n'en reste pas moins que, bien que n'étant moi-même pas très fan de ces thèmes bucoliques, c'est de la poésie comme beaucoup l'entendent et ce sonnet aura sans doute ses aficionados ! Merci pour cette lecture matinale... |
Vincendix
25/3/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Rien à dire sur la forme, ce sonnet me semble parfait.
Le premier tercet me plait beaucoup, le second un peu moins et le verbe bruire me dérange. Concernant les quatrains, ils sont poétiques mais je bute sur le « bout de bougie » et le « museau » des fruits est un peu incongru je trouve ! |
Anonyme
25/3/2016
a aimé ce texte
Bien
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J'aime beaucoup les images du premier tercet
" Une goutte de pluie accrochée au feuillage Rêve de se glisser dans un sac de voyage Pour partir humecter les lèvres d’un jasmin." D'autres me séduisent moins comme : " Une ganse de vent découpée au ciseau " " les fruits du jardin cachent sous leur museau" (!) " Où bruit sous mes mots une épaisse ramure." |
Anonyme
25/3/2016
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Bonjour
Avec ses sonnets très accomplis prosodiquement parlant l'auteur nous emporte dans une espèce de poésie onirique...Où j'ai bien du mal à le suivre. Mon coté prosaïque à vouloir toujours chercher un message, une voie, une réflexion ou autre chose dans un texte m'empêche, peut-être, d'accéder à la hauteur où l'auteur voudrait me conduire. Des images, oui, certes mais qui ne peuvent m'empêcher de m'interroger sur leur réalité. Finalement, un sonnet très réussi sur le plan architectural, mais qui me laisse perplexe sur le plan de la compréhension. |
Pouet
25/3/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Très joli. Belle plume.
Notamment "Dans la paille du ciel", "Une ganse de vent découpée au ciseau". J'aime aussi beaucoup l'idée du premier tercet. J'aime bien les sonnets un brin surréalistes de l'auteur. On sort du "guindé" habituel et c'est très bien ainsi. Au plaisir. |
Anonyme
25/3/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J'aime beaucoup vos images, leur doux décalage, leur presque surréalité.
Je citerai: 'Dans la paille du ciel où se blottit l’oiseau' 'Une ganse de vent découpée au ciseau' 'Une goutte de pluie accrochée au feuillage Rêve de se glisser dans un sac de voyage' Tout à fait ce que j'aime. La forme ici n'est pas un faire-valoir, ne restreint pas mais libère. Bravo! |
emilia
25/3/2016
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Un sonnet très musical influencé par les correspondances de Baudelaire où parfums, couleurs et sons se répondent en échos qui incitent à se laisser bercer par le chant de la rime à la césure (ciel/miel), (vent/lavande), (vin/jardin) et en fin de vers ( abeille/merveille) ponctuées d’allitérations en b/p pour le premier quatrain (blottit/brûle/bout/bougie/abeille/bord et paille/parfum/papillon/posé) et d’assonances comme dans le second tercet (où, sous, source, détour, assoupie/bruit) qui harmonisent l’ensemble et produisent un effet magique nous laissant sous le charme, indépendamment du sens, à l’image du titre déjà révélateur d’une métaphore élégante choisie pour évoquer comme une broderie orchestrée où il fallait oser : « le museau d’un fruit » (certaines formes de poires pouvant par exemple illustrer le museau pointu et fin de la souris…) à travers un paysage état d’âme où tout est douceur et plaisir, propice au voyage onirique d’une tendresse blottie, jusqu’au murmure qui s’efface sous les rides du silence… ; merci pour ce partage très agréable…
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Teneris
25/3/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Sur un filin tissé d'images printanières mêlées d'une virtuose préciosité, votre sonnet nous donne à voir quelques-uns des plus beaux détails de cette saison. J'aime énormément l'accumulation d'idées en apparence disparates mais dont l'harmonie de votre plume fait un tout, une communion de la vue, du goût et de l’ouïe.
La première strophe est, à mon sens, la plus réussie, notamment le premier vers et sa « paille de ciel » qui à elle seule nous ouvre tout un monde. Les deux répétitions sonores « bout de bougie » et « papillon posé » sont habilement entremêlées à des sonorités plus chantantes, soulignant la beauté des images qu'elles portent. J'ai par contre un tout petit peu moins aimé le second vers de la troisième strophe ainsi que le tout dernier vers. Le premier à cause du « sac de voyage » qui me semble revenir à une réalité plus terre-à-terre alors que nous voguions en plein onirisme. Le second pour la diérèse que je crois deviner à « bruit » et qui me semble lui donner un peu trop de lourdeur. Mais ces deux petits détails n'ont guère obscurci la radieuse volupté que m'a procurer la lecture de ce sonnet, que je trouve proprement magnifique ! |
Arielle
26/3/2016
a aimé ce texte
Pas
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De la dentelle, une agréable pâtisserie au goût de miel, des petits oiseaux, des papillons et même une part de mystère avec ces deux quatrains dont je ne saisis pas bien les images ... Oui, la poésie c'est aussi cela mais je dois avoir le palais bien usé pour ne pas me laisser enivrer par cette liqueur trop sucrée à mon goût. Tant pis pour moi, il y a des amateurs qui se chargeront de la dégustation.
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Anonyme
26/3/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
Le titre est bien choisi, tant les images évoquées dans votre poème sont fines et légères... Un goût de pique-nique (je le vois ainsi) au milieu de la nature chuchotante et à l'écoute... Un sonnet finement ciselé ! Wall-E |
Anonyme
15/4/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonsoir Monsieur Francis,
C'est un fort joli sonnet que voilà. J'ai en lecture une impression rémanente de corne d'abondance, qui me plait assez. Le premier quatrain pose la délicatesse, avec ses vers très évocateurs. V1 est très tendre, presque maternel, et le V4 clôture poétiquement l'entrée en matière. Le quatrain deux est plus posé, moins imagé (sorti du V5 que je trouve joliment trouvé). J'aime, ici, particulièrement les tercets que je trouve absolument délicieux, tant dans le rythme que dans les sonorités, et les images. Il émane de votre oeuvre (en général, aussi) une atmosphère que je trouve reposante, enivrante, presque divine tant l'ensemble glisse, fluide. Je garderai les vers suivants, pour leur force évocatrice et leur résonance agréable à l'oreille : Dans la paille du ciel où se blottit l’oiseau Un papillon posé sur le bord d’un roseau. Pour partir humecter les lèvres d’un jasmin. Des rides de silence effacent le murmure Après avoir lu les commentaires précédents, je trouve au contraire de certains que cette part de modernisme dans votre traitement de l'exercice classique est ce qui apporte une plus-value à l'oeuvre. Le mystère, le degré de compréhension multiple ajoute une touche intéressante à la poésie. Dans l'absolu, et chez vous en particulier. J'aime beaucoup ce que vous faites. Au plaisir de vous relire, et bonne continuation ! |
TITINE
4/6/2016
a aimé ce texte
Bien
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l'ensemble est poétique à souhait, les images recherchées mais un peu trop mystérieuses pour moi, le deuxième vers avec son bout de bougie n'est pas très harmonieux du fait de ce double bou
Une ganse de vent découpée au ciseau Muselle une lavande au fond d’une corbeille ces deux vers sont superbes mais ciseau au singulier me chiffonne un peu car le ciseau est une des 2 lame qui compose une paire de ciseaux . Même si l'emploi au singulier est admis , il ne me semble pas correct et pour le museau des fruits, l'image me laisse perplexe la diérèse du vers final n'est pas très naturelle et je ne comprends pas trop l'image de la ramure bruissant sous les mots bref , la recherche du trop beau nuit un peu à la compréhension je trouve mais j'aime quand même la beauté poétique de l'ensemble et les belles images des vers 1, 5 et 6 et le 12 |