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Anonyme
5/1/2014
a aimé ce texte
Passionnément
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Que voilà un texte drôle et fin qui manie superbement l'autodérision. De l’humour, certes mais de celui qui se fait, selon un mot célèbre "politesse du désespoir. Le rythme est bon, vif à souhait, on en redemande..
version interprétée par l'auteur : http://www.youtube.com/watch?v=gMuPHW_9iP0 |
Anonyme
5/1/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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Une chanson truculente peine de malice, dommage qu'on n'ait pas la musique ! C'est réjouissant à lire et pas si anodin que ça finalement. Derrière cette autodérision que vous maniez avec brio se cache des questions existentielles : D'où venons-nous ? Qui sommes-nous ? Où allons-nous ?
La forme en hexasyllabes sert à merveille votre propos en lui conférant un ton léger, presque sautillant si je peux me permettre. |
Anonyme
5/1/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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Au delà de l'auto dérision avec des images amusantes, ce texte draine de multiples questions, de celles auxquelles on ne sait trop répondre.
" Au royaume du rien Redevenir personne." " Quelqu'un… C'est vrai, mais quoi ? Comme vous je suis coi Face à l'étrange énigme." Merci Hellian pour le lien. Ce texte est très bien clamé par son auteur. |
leni
6/1/2014
a aimé ce texte
Passionnément ↓
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oui oui de la fesse à la gueule ..quel ton! c'est époustouflant
Trou du vent, trou du pus, Trou du sang, trou du cul, C'est une vraie passoire ! Que ce copeau ait pu S'agiter tant et plus, On a peine à le croire. Aussi quand l'heure sonne Chacun de nous doit bien ai écouté et modifié notation Au royaume du rien Redevenir personne. Là je vous tire mon chapeau SUPERBE Merci Leni |
Rathur
9/1/2014
a aimé ce texte
Bien
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Un texte de chanson comme on aimerait en entendre plus souvent, j'aime bien le titre et le dernier couplet. Ils créent une dimension plus large au déroulement des affres du personnage. L'idée de copeaux comme rappel de la condition humaine me semble assez riche.
Le côté "moi je" est trop souvent courru. La musique et le chant rattrappent, mais on peut attendre plus de créativité. Il ne suffit pas de tailler dans la masse pour être subversif. Il Manque ici un second degré d'interprétation malgré les images dépeintes. Gainsbourg savait à merveille jouer de cela, en utilisant aussi beaucoup les allitérations. Il était réellement subversif. Pour cette raison, sans doute que beaucoup de ses textes ne seraient pas acceptés aujourd'hui. |
Anonyme
8/3/2014
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Salut FrançoisT
J'adore le raffinement de cette langue où voisinent termes crus et imparfaits du subjonctif pour le plus grand plaisir du lecteur. Merci pour ce bon moment |
Anonyme
29/3/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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Adoré comme les autres commentateurs ! Si je ne sais pas ce que j'étais avant de naître, c'est que je ne le saurai pas non plus après ma mort...
Une question cependant sur le style : pourquoi le court passage à la deuxième personne ? "Ô bipède cocasse, On peut voir sous ton masque Le creux de ta carcasse, Du sphincter au thorax !" Suis-je obtus ? Enfin, et selon ma propre subjectivité, ce n'est pas parce que l'on redevient personne que l'on peut se traiter de "copeau"... Rien de plus admirable qu'un agnostique qui a des valeurs... (d'Ormesson) |
Anonyme
28/1/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Belle vérité, qu'il nous faut assimilé, bien qu'on le sache, bien souvent on l'oublie, mais peu à peu le temps passant, l'âge avançant, la notion se fait de plus en présente à notre esprit, et cette prise de confiance, fait un peu changer notre comportement, parfois l'on devient plus sage, on laisse de côté l’arrogance.
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