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David
9/2/2014
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour,
L'humour me touche un peu, mais j'ai eu un sentiment de longueur, le passage chez le coiffeur l'a un peu atténué, mais il reste assez présent au final, il y a plus de mots que de choses à lire à mon sens. Je pense que "Lavabos" désigne le lieu, comme parfois dans le langage courant, notamment au pluriel, plutôt que la faïence proprement dite. J'ai eu une petite hésitation mais pas vraiment jusqu'à ne pas comprendre, j'attendais un gaga sur l'objet lui-même. Pour un slam, un fichier audio en lien m'aurait intéressé. |
Robot
13/2/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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Voila comme j'ai toujours apprécié la philosophie, celle du sourire qui nous moque, et s'empare de notre narcissisme pour en retirer un sujet d'auto dérision.
La poésie peut être joyeuse et même rigolarde, ça ne l'empêche pas de conserver sa respectabilité de vieille dame de l'art qui sait qu'on ne poète pas plus haut que son cru pour exprimer de vrais sentiments. J'ai n'ai pas vu dans ce texte une pochade, mais un véritable moment de réflexion ! |
Anonyme
15/2/2014
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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C'est drôle, burlesque même. L'auto-dérision y côtoie l'absurde dans une langue alerte où les élision n'excluent nullement une forme rigoureuse et un vocabulaire soutenu qui emprunte parfois au vieux français sans que le mélange qui en résulte ne détone. C'est iconoclaste et ça fait du bien. C'est quand la poésie ne se prend pas au sérieux qu'elle est la plus sérieuse.
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Anonyme
23/2/2014
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Salut FrançoisT
Je n'irai pas par quatre chemins Votre slam m'a durablement impressionné Comme un visage impressionnait une pellicule au bon vieux temps de l'argentique. J'adore cette langue à la fois familière et soutenue, propre aux humoristes de talent. A cet égard, la digression psychanalytique est de très haut niveau "Le miroir est une utopie. Et toi tu n'es qu'un' vieill' toupie Qui bientôt ne tournera mie ! » Il était comm'ça mon ami ; Il disait pas « pas », y disait « mie » Comm' ça, rien que pour rigoler…" Le dernier quintil clôt en beauté ce slam qui vient d'enchanter ce dimanche matin. Mille fois merci FrançoisT et chapeau bas |
Charivari
23/2/2014
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J'ai beaucoup aimé.
Autodérision, langue qui oscille entre vulgos chic et littéraire. "il disait pas "pas", faut oser ! Même remarque pour le nez "nariné"... Sinon, évidemment, on attend que vous postiez votre tronche sur le diaponiris, hein... Ou alors, au moins, qu'un interprète de talent chante la complainte. |
leni
23/2/2014
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Salut François T
Ce slam est un texte qui pratique l'autodérision et la"fausse" naïveté j'ai aimé d'emblée La relecture m'a fait apparaitre de belles sonorités Un sonnet est souvent écrit pour placer son dernier vers Ce slam pour placer;" J'avais jamais vu mon derrière" Chacun doit faire avec son oeuf On plaide chacun sa cause! Et non coupable Pierre Perret suggère :"de demander à ta mère qu'elle te refasse "Mais on n'en est pas là! Excellent moment Merci Leni |
Anonyme
23/2/2014
a aimé ce texte
Bien ↑
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Le moins que l'on puisse dire de ce texte c'est qu'il n'est pas narcissique... Il est vrai que le matin la tronche n'est pas très présentable. Sacré miroir !
L'autodérision un peu poussée est amusante. Ce thème original et sa métrique en font une aubaine pour un compositeur. |
senglar
23/2/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour FrançoisT,
Ô miroirs ennemis ! Déjà qu'on a la tête qu'on peut. Et avec Michel Foucault pour vous la faire perdre où le lavabo devient prison et non échappatoire, de quoi finir à l'asile ; mais qu'un coiffeur se prenne pour Janus, de quoi fuir à jamais les lavabi. Pas beaux mais sidérants. Décoiffant ! Hilarant :))) brabant |
Sansonnet
24/2/2014
a aimé ce texte
Bien
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J'ai eu pas mal d'accrocs pendant la lecture, à cause de mots ou de syllabes qui mâchent la fluidité.
Pour le reste, c'est imagé, c'est accessible, et c'est fort divertissant. Merci |
Anonyme
24/2/2014
a aimé ce texte
Bien
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On compatit de suite avec ce "pauvre homme" surpris par son miroir dans cet instant morose qu'est pour lui le matin.
On pense bien sûr, lors de la description détaillée, criante de vérité, au texte de Géo Koger "Je ne suis pas bien portant" chanté par Gaston Ouvrard. Par contre, la partie du texte évoquant le coiffeur me semble un peu "de trop" et l'effet de surprise et l'humour sont un peu atténués à mon avis. Sans les paragraphes 5 et 6, le texte avait tout son sens sans lasser. De bonnes trouvailles, un ton qui sied bien au propos. |
Anonyme
24/2/2014
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Bonjour
Le sujet est clair mais le propos me semble un peu traîner en longueur pour atteindre le sens qui somme toute est reste amusant Ludique certes mais l'humour en perspective reste confus . J'ai essayé de m'imaginer ce slam en musique et du coup il m'a paru moins intéressant. |
Anonyme
27/1/2016
a aimé ce texte
Un peu ↑
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L'idée m'a paru bonne, mais hélas bien vite, c'est devenu moins plaisant, trop de détails qui noient si je puis dire le poisson, je suis allée jusqu'au bout de ma lecture, mon ressenti s'accentuant au fil de celle-ci, il y a cependant de bonnes choses, des passage amusants, d'autres d'une vérité criante.
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