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Anonyme
7/4/2014
a aimé ce texte
Bien ↑
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Hé bien, sans aimer ce genre, je me suis néanmoins très bien amusé.
On sent le talent. Le "prêcher faux pour connaître le vrai", j'oserais dire l'auteur qui nous "tâte" avant de nous donner à lire ou pas ce qui lui tient le plus à coeur, ce qui le dévoile... Mais qu'il le fasse, si ce poème lui en ouvre la porte... Poésie et nudité ne sont pas l'une loin de l'autre... |
Ioledane
10/4/2014
a aimé ce texte
Bien ↓
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Je salue l’originalité de ce texte en heptasyllabes, intéressant mélange entre désuétude du vocabulaire et des tournures, modernité (néoclassicisme) de la prosodie, et intemporalité du propos.
Ce qu’il en « issit » est de qualité assez inégale, avec certains quatrains excellents (4, 5, 7, 8, 9, 13) et d’autres plus plats ou comportant des défauts : - « Que mes rimes fussent lisses » : va pour l’imparfait du subjonctif, toutefois il eût fallu à mon avis l’employer sans guillemets, au discours indirect ; il me semble qu’un discours direct nécessite ici plutôt le présent du subjonctif. - « Que m’apparut mon tort » : manque une syllabe. - 10ème quatrain : répétition de « vit » et « voit ». Le vers « Oh vous, vieux veau, vieux voyou » est bien trouvé. |
senglar
22/4/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour FrançoisT,
Remarquable maîtrise de la langue dont, bien sûr, l'Ancien Français. Leçon aussi de modestie, mais à mon avis à tort, le sein de la Muse ici ne vous a pas trahi, ce sont les Français qui sont des musards. La gageure par vous entreprise n'est pas obscure... mais lumineuse ! J'espère pour ma part téter encore à votre plume. Vive la poésie où les sergents-majors se font plumes :) brabant |
Myndie
22/4/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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C'est drôle, c'est enlevé; on trouve là Christine de Pisan et les poètes modernes; c'est très bien vu et surtout, finement écrit.
De belles allitérations ("vous, vieux veau..."). Mais ce que je préfère, c'est encore ça : "Il ne faut pas que l'on sache Que je suis ce ridicule, Ce réformateur bravache Méritant le pied au cul !" Au final, un beau travail d'écriture, mis au service d'une belle ironie qui n'est là que pour faire ressortir les fameux doutes que nous connaissons tous (enfin je crois). Une belle lecture pour moi; merci infiniment |