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papipoete
24/7/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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libre
Ce cabillaud qui ne quittait pas les nageoires de sa maman, se trouva fort dépourvu quand l'âge adulte fut venu ! Il fricota avec une " poissonne ", mais avec elle trop gauche, point ne conclût ! Pas " gay " mais joyeux, il se fit un bon ami, Rapsody le hareng, et profitèrent tous-deux de la vie ; et notre héros ne mourut pas " morue " ! NB très rigolo ( fort difficile cette prouesse ! ) bien sûr, la 5e strophe au cirque des otaries est " croquignolesque ", mais ma l'ensemble coule agréablement et charmerait un enfant pour son dodo ! Une si douce rapsodie in blue ... papipoète |
Vanessa
25/7/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
Ici ça frétille et le sourire est là. Je n'ai pas pu m'empêcher de penser à Bobby Lapointe en vous lisant. J'aime beaucoup les deux dernières phrases . "longtemps il vécut et jamais mourut morue salé dans l'assiette encore moins mangé tout cru." Lalalalala....bravo. |
Anonyme
5/8/2018
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour,
Très bon choix de menu dans votre auberge ! Ok vous nous le dites en exergue : "entre histoire et comptine", c'est tout à fait ça, j'allais ajouté une chanson, mais le mot "comptine" contient déjà le concept. À lire et relire, le comptine "la baleine bleue " de Steve Waring me vient à l'oreille. Bien rafraîchissante, d’autant que cette œuvre semblerait être adressée aux enfants mais que les adultes devraient l'écouter d'abord et l'entendre aussi. Merci du partage, Éclaircie |
Anonyme
5/8/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Charmante histoire que la vie de ce cabillaud qui n'est pas voué à finir dans un estomac mais a passé une belle vie avec son ami Rhapsody.
" chantèrent en clé de sole " " accompagnés en mélodie d'un poisson-scie " "longtemps il vécut et jamais mourut morue " La poésie est présente au rendez-vous à la première strophe. Une agréable lecture. |
Pouet
5/8/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bjr,
Vraiment beaucoup aimé ce texte. C'est tendre, sensible, rigolo. Beaucoup de Poésie. On évoque ici l'attachement à la mère, la peur d'être père, le rejet de la différence, l'amour et l'amitié. Je trouve particulièrement réussis ces deux vers qui reviennent en refrain: "Il vaut mieux pêcher un godillot bêtement que le gentil cabillaud qui suit sa maman." Mais l'ensemble me plaît. Il y a du Lapointe, du Prévert, du Desnos dans ces vers. Franchement, moi je suis client. Bravo. |
INGOA
5/8/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'aime beaucoup ce texte aux musicalités enfantines et qui pourrait d'ailleurs être lu comme une comptine, d'autant que l'histoire est charmante. Juste un bémol, ce vers : longtemps il vécut et jamais mourut morue (jamais ne ou ne jamais serait grammaticalement plus correct et le vers plus harmonieux : longtemps il vécut et jamais ne mourut morue.
Mais je chipote car je suis chipoteuse à mes heures. |
izabouille
5/8/2018
a aimé ce texte
Passionnément
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J'ai d'abord trouvé ça étrange, un cabillaud dans une poésie. Je vois plutôt cet animal en filet sur l'étal d'un poissonnier ou avec une sauce au beurre dans mon assiette... Mais je m'étais trompée, il a tout à fait sa place dans ce noble art, cette poésie est drôle, entraînante, joyeuse, il y avait même une petite musique qui accompagnait ma lecture.
Bravo! |
Gemini
6/8/2018
a aimé ce texte
Bien
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Le ton est juste, le rythme bien campé et le tout baigne dans l'humour. Bonne idée que d'avoir accompagné ce cabillaud d'un ami rhapsode pour partager ses aventures. Côté forme, le texte est découpé en darnes irrégulières. Il manque une rime à école, peut-être eut-il fallu tourner "et le mit de l'école au banc" ?
J'aime bien le final, où le héros nous fait la gràce de disparaitre sans pour autant mourir morue ou pire, stockfish. |
Donaldo75
7/8/2018
a aimé ce texte
Bien
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Salut fried,
J'ai trouvé un côté chanson, du genre celle qu'on pourrai entendre dans les dessins animés de Disney, dans ce poème. Et le parallèle avec lesdits dessins animés ne s'arrêtent pas là puisque j'ai eu l'impression de me retrouver dans le monde de Nemo, même si, c'est ça le sel de l'histoire, je n'ai vu de ce film d'animation que des bribes d'extraits. Par ces temps de canicule, ça fait du bien. Bravo ! Don |
hersen
8/8/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Oui, c'est vrai, pourquoi ne pas laisser le poisson suivre sa maman, grandir et faire sa vie ?
J'ai aimé ce poème naturaliste, bien loin des filets à la traîne. J'ai un peu moins aimé la strophe 5, les jeux de mots, plutôt faciles, enlèvent à mon avis ce côté original du traitement de ce poème. "et il lui dit combien frayer était effrayant" Une mention spécial pour ce vers :) merci de cette lecture. |