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Anonyme
20/2/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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« Une simple mise à plat... », disiez vous dans votre description !
Serait-ce la relève d’un état dépressif suite à la perte de la tendre moitié ? J’ai un peu moins aimé l’avant dernière strophe, mais j’ai adoré tout le reste. J’ai lu avec beaucoup d’émotion, étant moi-même tributaire de mon propre passé. |
clementine
11/4/2008
a aimé ce texte
Bien
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Ne le sommes-nous pas tous tributaires du passé qui nous a formaté selon son bon vouloir?
J'ai apprécié le fond de ce poème/reflexion, un peu moins la forme. Mais j'ai aimé globalement. |
Anonyme
11/6/2017
a aimé ce texte
Un peu
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Est-ce moi qui est du mal à vous comprendre ou vous qui avez du mal à vous faire comprendre. J'ai saisi l'idée d'ensemble mais je trouve très confus et brouillon certaines de vos formulations.
Je passe sur les premières strophes qui me semblent être un bavardage pour meubler, et j'en viens à cette strophe, qui est une interrogation intéressante : " Qu’est-ce qui est le pire ? Est-ce le présent qui détruit le passé ? Ou le passé qui détruit le présent ? Fuyons vers l’avenir… " Cependant pour ma part je n'aurais pas utilisé le mot "détruire" car c'est impossible, j'aurais plutôt été tenté de dire "apprivoiser", pour que chaque chose soit à sa place, et ainsi éviter les interférences entre passé, présent et avenir. La preuve en est votre dernier strophe : " J’y fuis constamment encore et encore Mais j’ai l’impression que plus je cours Plus le passé me rattrape je le vois Alors à présent je ne cours plus je reste là Impassible aux joies du présent et coupe tout Tous les bonheurs à venir … " La solution à ce problème viendra de vous, de l'acceptation enfin de ce passé tel qu'il est, vous lui faites la part belle, vous lui donnez trop d'importance, ce qui est passé et passé, alors allez de l'avant ... |