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Pimpette
19/1/2013
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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C'est exactement le genre de texte que j'aime....bien foutu et plein de sens... c'est en même temps personnel et universel....L'impératif qui me dérange parfois, je le reçois ici comme la pression affectueuse d'un ami!
Un bel amour de la vie! C'est un homme debout qui écrit ces mots là! ça réchauffe! |
kamel
22/1/2013
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour
Une poésie libre qui comporte largement des vers qui vous expliquent le désert sous toutes ses formes et vous invite à le découvrir.Une belle perspective de trouver un nouveau départ à partir de ce monde qui vous trace le chemin de la conquête.La dernière strophe incite le lecteur au changement de ce qu'il a été,définissant ainsi que tout est possible dans la vie. "Rien n'est fini, ni le jour, ni la nuit. Je t'apporte un monde qu'il te faudra Aimer pour le conquérir en laissant ici La mue de ce que tu as été". |
LeopoldPartisan
23/1/2013
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Il y a vraiment trop de certitude vis à vis de l'incertitude. Ce genre de discours, moralisateur (Schtroumph à Lunettes si tu nous lit), donneur de leçons, prodigateur de "judicieux conseils" m'ont toujours hérissé.
C'est sans doute une réminissence pavlovienne des sermons dominicaux auxquels je fus tenu d'assister entre 3 et 15 ans. Le seul texte de ce type que j'ai jamais apprécié à savoir celui où un narrateur essaye tant bien que mal de remonter tant les bretelles que le moral d'un ami dans le besoin c'est "Jeff" du grand Jacques Brel: "Non, Jef, t´es pas tout seul Mais arrête de pleurer Comme ça devant tout l’monde Parce qu´une demi-vieille Parce qu´une fausse blonde T´a relaissé tomber Non, Jef, t´es pas tout seul Mais tu sais qu’tu m’fais honte A sangloter comme ça Bêtement devant tout l’monde Parce qu´une trois quarts putain T´a claqué dans les mains Non, Jef, t´es pas tout seul Mais tu fais honte à voir Les gens se paient not’ tête Foutons l’camp de c’trottoir Viens, Jef, viens, viens, viens!" |
troupi
5/2/2013
a aimé ce texte
Beaucoup
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pour avoir un peu parcouru des déserts , ce texte m'a touché. je trouve les deux derniers vers particulièrement bien choisis.
Pose-toi, Écoute, Regarde ! Mais ne regarde que devant ! peut-être un peu trop impératif si l'on considère qu'en période troublée les souvenirs peuvent constituer une partie de l'assise qui va permettre de se relever afin de repartir . mis à part cette réflexion je ne trouve que des qualités à ce poème. |
leni
5/2/2013
a aimé ce texte
Beaucoup
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OUI ce poème fait penser à Jeff t'es pas tout seul C'est une main tendue avec plein de délicatesse Mais aussi fermement Il faut parfois secouer "son prochain"
Pose-toi, Écoute, Regarde ! Mais ne regarde que devant ! Voilà le message Les derniers vers de ce poème sont superbes Bravo Leni |
melancolique
5/2/2013
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bonsoir fugace,
Je n'aime pas trop le ton moralisateur de ce poème, et surtout le début: "Si la vie, les amis, les amours, la famille Ont atomisé, désagrégé tes fondements," Il me manque une certaine fluidité, car il y a des images intéressantes, dont je retiens particulièrement: "Le désert n'est pas vide. Il est plein de vie inattendue ! Là-bas, au ras de la dune, Une silhouette apparaît." Au plaisir de vous relire. |
brabant
13/2/2013
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Fugace,
Poème qui fleure les ridules du sable, où j'ai ressenti les vertigineux attraits du chant des djinns. Au profond de la discorde et de la solitude il ne laisse pas la place au doute. La leçon en est constructive. L'épreuve est l'occasion d'une mue qui permet de tourner une page, d'avancer, de progresser. Le désert apparaît donc ici comme une symbolique, il change - en bien - celle qui y séjourne, celle qui le traverse. Je vois, j'espère que ça n'est pas un mirage, une symbolique de l'amour. Je ne suis pas certain que ce modus operandi soit sans danger, et je pense l'auteure peut-être trop confiante et trop optimiste. Elle semble semble cependant de taille à se défendre car, avec une telle volonté, elle a les crocs du serpent, hôte du désert par excellence. Alors, toi qui apparais à l'horizon du sable, si tes intentions nee sont pas pures, retourne sur tes pas. Mais non je n'ai pas dit que l'auteure avait du venin ! lol :D :D :D :D |
David
14/2/2013
a aimé ce texte
Pas
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Bonjour Fugace,
Au début, dans la première strophe, il y a une image d'arbre, et la verticalité sera à nouveau évoquée dans les deux suivantes, c'est l'être humain debout que je lirais par là, prêt de défaillir dans le contexte. Ensuite, il lui est proposé de se coucher, de choisir l'horizontalité, quand je lis "Mais ne regarde que devant !" je l'imagine regardant en haut (il me semblait déjà regarder devant dans : "Que partout ton regard ne rencontre que le rien." juste avant) mais ça peut-être plutôt un sens figuré pour "regarder vers l'avenir". C'est à partir de la 8ème strophe, pour les 4 dernières, que le mouvement reprend, je n'arrive pas à comprendre d'où vient cette "silhouette" mais je me dis que c'est le "désert" qui serait une image de la solitude, la marche première des 4 premières strophes représenteraient les habitudes à délaisser, les 3 strophes centrales seraient une période de ressources, pas vraiment un repli sur soi, mais une attente active, un genre de yoga, avant la "renaissance" finale. Je n'adhère pas à ce genre de message, il y a un coté pédagogique dans la construction que je ressens mal : si je me sentais comme dans les trois premières strophes, je ne m'imaginerais pas retourné vers "l'autre", on l'appelle aussi parfois "les gens", le cœur plein de naïveté sur les rapports humains, comme c'est un peu le cas dans les dernières strophes. Je ne suis pas sûr qu'on me laisserait m'allonger forcement tranquillement dans le "désert" du monde pour un retour sur moi-même, ni que ce soit forcement mon intérêt, non plus. Bref, le poème me semble trop "téléphoné", je ne conteste pas qu'un tel déroulement soit positif, mais "les conseilleurs ne sont pas les payeurs" comme on dit, et la narration qui interpelle un quidam hypothétique m'apparait donc en décalage, comme hors du réel, comme un prophète dans un désert justement qui apporterait de bonnes paroles au lieu d'une gourde d'eau, pour rester dans l'image. |
Anonyme
15/2/2013
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Coeur de sable !
Qui, grain par grain emporte Souvenirs et passions Et remords et regrets étrange comme j'ai aimé ce poème dans lequel "Le désert n'est pas vide", tout simplement Une jeune femme de 19 ans me disait quelque chose de semblable aujourd'hui tout simplement, avec simplicité et modestie et conviction je ne vous connais pas, fugace, mais j'ai vu le désert, celui du Ténéré et celui du dedans c'est joli, c'est pur, c'est propre comme un "...infini de poudre impalpable" c'est tout beau ! et net sur le plan de l'écriture (mais, ici, je m'en fous, vous m'avez mis des étoiles dans les yeux ) |
MissNode
17/2/2013
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Comment enseigner à Autrui en détresse, la voie de la confiance dans les beautés du monde ?... seule la poésie peut y parvenir, je crois, à l'insu même de son lecteur, par le seul impact de ses images, de ces rythmes... Et j'ai vraiment eu du mal à sentir la poésie de ce texte, hormis dans la rythmique qu'il se donne, comme une marche, comme des pas qui insistent, qui pousse le malheureux à se lever.
Désolée, Fugace, mais le parti pris "bonne nouvelle à vous annoncer" m'a plutôt fait reculer ; et je n'ai pas trouvé dans les images d'envol, de surprise, de perturbation qui me secouent de ma fange. Il manquerait peu pour faire des vers de vos phrases, leur enlever une lourdeur ; pour exemple "Que partout ton regard ne rencontre que le rien" : les "que" m'ont gênée, ils amoindrissent l'impact qu'aurait, essayons, un : "Que partout ton regard rencontre le rien". J'ai été sensible aux images exprimées en un vers (plutôt qu'en toute une strophe), comme : "Si le jour te brûle, que la nuit te glace" ou "Là-bas, au ras de la dune / Une silhouette apparaît" ou "Rien n'est fini, ni le jour, ni la nuit". |
tchouang
11/3/2013
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Commentaire modéré
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kano
13/3/2013
a aimé ce texte
Vraiment pas
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Des le début c'est très grandiloquent, et hélas ça ne s'arrange pas vraiment par la suite: moralisateur et donneur de leçons a souhait, sombrant sans complexe dans la facilité (la guerre c'est mal / les copains c'est chouette), vraiment, l'impératif ne passe pas et les images ne sont pas suffisamment évocatrices pour rattraper le tout.
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Anonyme
7/12/2016
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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Se faire confiance et aussi avoir confiance en l'avenir, même si les apparences semblent dire le contraire, surtout ne jamais s'avouer vaincu.
Je vous ai lu et relu avec toute l'attention que mérite votre écrit, qui est comme une main tendue, une épaule consolatrice, l'espoir d'un demain meilleur. Vos propos sont très subtiles, ils n'en font pas de trop, ils ne cherchent pas à convaincre, simplement ils disent : " Pose-toi, Écoute, Regarde ! Mais ne regarde que devant ! " Ces mots-là m'ont été prononcés quand j'ai traversé mon "Désert", et je me suis appuyé sur eux le temps nécessaire pour me retrouver et aller vers mon avenir. J'aime votre écriture, elle m'est très parlante, elle réveille en moi des moments de vie, comme tout un chacun. " Sans te poser de question, Va ! Avance vers cet autre ! Est-il aussi perdu que toi Ou connaît-il les chemins invisibles ? Qu'importe son errance, Qu'importe ton passé ! Prends sa main, réchauffes-y la tienne. Regarde ses yeux qui te disent : "Rien n'est fini, ni le jour, ni la nuit. Je t'apporte un monde qu'il te faudra Aimer pour le conquérir en laissant ici La mue de ce que tu as été." C'est tout à fait cela, il faut savoir "apprivoiser" son vécu quel qu'il soit pour évolution qui ne peut être que bénéfique, peu importe le chemin à suivre, toujours et encore plus que jamais, prendre appui sur LA CONFIANCE. |