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Myndie
11/2/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Voilà : pour la musique, je n’ai aucun recours ;
Il faut une critique : j’applaudis sans détour ! ^^ Clin d’oeil pour saluer le travail d’écriture, ces rimes brisées, qu’on rencontre plutôt rarement. Mais avant tout, que dire d’autre que bravo. Pour l’inspiration un peu tordue, pour la loufoquerie à mi-chemin entre les Monty Python (vous souvenez-vous du sketch « Dead parrot »?) et Gotainer. C’est drôle et provocateur , délicieusement cynique. Franchement, moi j’adore ce genre de poésie jubilatoire. Merci pour cette lecture qui est un régal. |
Robot
15/2/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Pauv bête ! z'avez pas honte pépère ? danser sur sa tombe !
Mais c'est tellement braque et déjanté que j'ai totalement adhéré à la vivacité de cette (très) vilaine réjouissance. Mais je tire quand même la langue au chat, na ! Condoléances à mémère. Un bon moment passé sur cette chanson pour laquelle je me suis fredonné un air spontané. Zut, j'ai la rengaine dans la tête à présent. Il est mort le chien… à la saint Félicien Il est mort le chien… il est mort et c’est bien ! Mais que le matou se méfie... si mémère est de la trempe de la Simone (Signoret) dans "Le chat" va y avoir du sport ! Mais des textes joyeux et humoristiques ça fait du bien au milieu de productions parfois chouineuses et dépressives. Ouf un bol d'air relaxant. |
Anonyme
1/3/2015
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Salut Funambule
C'est vachement bien écrit "Il s’appl’ait Scooter, maint’nant il s’appelle plus" On dirait du Renaud Les cynophobes se tiendront les côtes Les cynophiles dotés du sens de l'humour (il doit bien y en avoir trois ou quatre) esquisseront un sourire. Au dernier couplet ils se réconcilient (ou pas) pour verser une larmichette. Merci Funambule (et Lucien) pour cet excellent moment |
Pimpette
28/2/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Fun!
C'est jouissif à la lecture! Et on ne peut même pas esquisser une critique vengeresse sur la forme tellement c'est bien écrit! le refrain est prêt pour une musique rigolote! Au boulot! |
Vincent
28/2/2015
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je trouve ce texte très bien écrit
mais aux antipodes de ma philosophie et de mon humour je préfère ne ps noter |
Anonyme
28/2/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
Je suis allé voir hier "le dernier loup" de Jean-Jacques Annaud (cela dit: un chef d'oeuvre), et je trouve tellement dommage d'avoir massacré au long des âges des animaux aussi magnifiques. Sans parler des bébés phoques( fourrures de ces dames), des gorilles dans la brume ( cendriers de leurs mains pour ces grand messieurs), les éléphants (pour l'ivoire), les rhinocéros ( pour leurs cornes soi-disant contenant des aphrodisiaques), et toutes ces pauvres vaches ( pour gonfler de hamburgers notre civilisation débile; je suis végétarien, je précise)... Alors voir tous ces toutous à mémère, ou à stars-nunuches (au féminin comme au masculin),ou même les chats (si fourbes), envahir nos rues, nos vies, nos écrans, avec leurs déjections, leurs boîtes de conserve dans des spots de pub grand luxe, leur psy s'enrichissant grassement de leurs états d'âme de pauvres objets poilus dégénérés, je me dis qu'enfin, un peu de lucidité dans cette vaste fumisterie qu'est devenu notre monde ne peut faire que du bien. Même si ce n'est (j'en suis sûr) qu'une fiction, bravo à vous, il fallait oser dégommer cette icone de notre "Civilisation avancée". Cela m'a rappeler un instant Didier Bourdon dans "les trois frères" quand il shoote la "Pépette" de ses presque beaux-parents. Merci pour cette "gentille" fable. |
papipoete
28/2/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
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bonjour funambule; oh le vilain coup-monté entre Vous et l'brav'Lucien, contre la terreur des skateurs, cet arroseur des pieds et barreaux de chaise, ce vieux caniche à la mâchoire tordue! Depuis le temps que vous en rêviez, ça y est, il est mort le chien , et c'est bien!
Vous jurez qu'on ne vous y reprendra plus, mais jubilez dans vos charentaises en regardant mémé pleurer plus que pour l'abbé Pierre! J'ai fait le même rêve jadis à cause d'un Epagneul qui gueulait sans cesse et que son maître applaudissait; mais la nature (je le jure) se chargea de le faire taire, à tout jamais... |
Anonyme
28/2/2015
a aimé ce texte
Passionnément
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Il est mort le chien...
Pauv' chien ! Il est mort le chien... à la Saint-Félicien où à la Saint-glinglin Il est mort le chien... et ça c'est pas bien Les chiens sont fidèles, ils vous lèchent la main Pas seulement à la Saint-Valentin Mais tous les matins Il est mort le chien... Pauv' chien ! Depuis j'essuie mon chagrin. |
Anonyme
3/3/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour funambule... Oui, c'est un texte bien écrit que je n'ai pas osé lire à voix haute étant donné la présence de ma chienne qui n'a pas beaucoup d'humour...
Quant à moi, sans faire d'amalgame que ça soit chez les humains ou les canins, j'ai depuis longtemps rejoint le camp de Fernand Gravey qui disait, après bien d'autres... Plus je connais les hommes, plus j'aime mon chien ! C'est un peu caricatural mais ne m'en veuillez pas d'autant que votre chansonnette est par ailleurs fort bien tournée... J'aurais bien ajouté "Bien +" mais il y a ma chienne... Edit... ma chienne a réfléchi, moi aussi ! |
Anonyme
28/2/2015
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Bonjour funambule
Même au second degré, je suis comme Alexandre, j'aime trop les bêtes pour adhérer à ce texte. Une autre fois, peut-être ? Hananké |
Anonyme
28/2/2015
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Salut Fun
Même en écartant le premier degré, ce texte n'a pas réussi à me faire sourire, à aucun moment. Peut être, je devrais dire sûrement, parceque le fond ne me convient pas. Je n'ai pas pleuré pour l'Abbé Pierre mais beaucoup, à chaque fois que j'ai perdu un compagnon. Désolé pour cette fois. |
leni
28/2/2015
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salut Jean
j'ai lu tous les commentaires de ton texte Personnellement je n'accède pas à ce genre d'humour Je n'ai même pas souri je ne comprends pas le but de ce texte Désolé Salut amical Gaston |
Curwwod
28/2/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Oui, pas que...que lui reste-t-il à Mémé dont les enfants sont loin, qui termine sa vie dans la solitude affective. Même s'il était moche ce chien, méchant, bordélique, calamiteux, il était près d'elle une présence, une vie qui dépendait d'elle et donnait du sens à la sienne. Maintenant c'est le vide. Le contraste entre le fond et la légèreté de la forme m'a touché au premier chef.
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