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brabant
28/10/2012
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Bonjour Funambule,
Ah la quête du prince charmant !... Ce qu'il sait devoir être... et ce qu'il n'est pas ! Cette chanson aurait pu s'intituler : "Ce que je ne suis pas...". Des moments de poésie dans les moments de leurre, puis la litanie (bien connue) des déceptions - pourquoi s'aveugler aussi ?... Est-il encore des oies blanches ? -, quelques formulations 'faiblardes', banales ou pas très heureuses voire ambiguës : "Le chevalier éphémère/De ces instants qui t'inondent/... Souillés/... sont tombés de haut/... dit sans un mot (?)", une formulation dans l'ensemble trop caricaturale par excès d'antinomie pour aboutir à un compromis aussi hypocrite que commun où l'on s'en retourne dos à dos : "Partageons la douleur Et le fardeau de nos erreurs..." Pas convaincu par ce texte qui a des allures de miroir aux alouettes où l'on ne sait pas très bien qui est le chasseur et qui est chassé, qui est le pécheur et qui est la victime et il semble y avoir une proie qui n'est pas une pécheresse... Désolé Funambule !... La musique et l'interprétation sont prenantes, et du bon travail. |
Pimpette
28/10/2012
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J'adore!
C'est une déclaration d'amour profonde et terriblement émouvante "On peut me lire sur ton visage, Me deviner dans tes voyages, M’apercevoir sur des rivages Souillés de larmes et d’orages…" Poétique en diable! Je reviens pour la musique! Musique! Je suis profondément émue par l'ensemble de cet envoi! Bravo Fun!!! Je partage avec mon mari plus discret que moi dans ses manifestations mais touché lui aussi! |
macaron
30/10/2012
a aimé ce texte
Bien ↓
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Le texte n'est pas mauvais et la musique accroche, pourtant l'ensemble ne me convainc qu'à moitié. On est un peu trop dans les nébuleuses, l'émotion ne passe pas comme il faut. Dommage! il ne manque pas grand chose. Peut-être une phrase qu'on retient.
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leni
30/10/2012
a aimé ce texte
Beaucoup
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Ce texte de fun n'a certes pas la force de frappe de ses textes habituels Il exprime trop d'idées qui peuvent sembler contradictoires Trop c'est trop On finit par se perdre Néanmoins je retrouve la patte Fun dans des images qui me plaisent toujours autant...On peut me lire sur ton visage...On peut me croiser dans tes rêves...Je suis la morte saison...Les deux derniers quatrains pourraient être supprimés
Ils risquent de faire basculer le texte dans son inverse et peuvent créer malaise Quid de la musique et du chant?Jolie mélodie Je préfère la version de la Miss Mais c'est trop long Je salue le très beau travail J'hésite pour l'appréciation elle sera.... |
stellamaris
30/10/2012
a aimé ce texte
Bien ↑
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Passage souvent douloureux, de l'amour rêvé à la réalité souvent plus âpre... J'aime beaucoup ce poème simple, sans fioritures, si ce n'est l'effet de balancement, très agréable, causé par la différence de rythme entre le refrain (eptasyllabes) et les couplets (octosyllabes)...
Avec toute mon amitié. |
pieralun
30/10/2012
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Funambule,
J'ai bien aimé ta chanson et l'ensemble musique et texte me semble cohérent. C'est vrai, comme le dit Leni, ce n'est pas super fun, mais c'est poétique. Perso, ce serait diffusé par une FM, je l'accepterai au même titre que ce que font nos auteurs français. Un beau texte qui ne révolutionnera pas le genre, mais qui tient bien la route: ça, pour moi, c'est un petit exploit. |
noyan
25/11/2012
a aimé ce texte
Bien ↓
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La construction du texte est réussi pour une chanson. Tu altèrnes rimes croisée et rimes continues (sauf pour "rêves et lèvres").
L'ajoût d'un pont dans le texte casse le rythme et donne de la vigueur. En revanche il y a trop d'expressions déjà vues et revues (pensées vagabondes, ces instants qui t’inondent... ). Le personnage reste trop dans l'ombre et mériterait d'être éclairci. J'ai bien aimé l'ambiance musicale |
Anonyme
29/1/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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"À la croisée du temps qui passe, les masques sont tombés de haut,
Les promesses ont laissé la place à ce constat dit sans un mot." L'amour est aveugle, et lorsque parfois on revient à la réalité, il y a un fossé que rien ne peut plus combler, parce peu à peu, des aléas sont venus détruire insidieusement cette relation. Dans ce "je suis", se glisse une réalité devenue bien cruelle, qui a abimé tous les rêves, les espoirs. Ce qui aurait pu être ne sera jamais. Nos déboires amoureux, sont les coups que la vie vous donne sans retenue. Je retiendrai la dernière strophe : "Au seuil de cet étrange ailleurs, Pour deux âmes qui ne sont plus sœurs Partageons au moins la douleur Et le fardeau de nos erreurs…" Très intéressante écoute, bien réussie |