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Miguel
28/11/2022
a aimé ce texte
Un peu
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Qu'est-ce qui justifie ici le terme "allégées" ? On ne le voit pas bien.
"Magnifique espoir du temps présent Projeté vers un avenir radieux" : je sais bien qu'on ne demande pas à la poésie d'être réaliste, mais là, on se demande où l'auteur va chercher tout ça. On est sur une autre planète. On comprendrait, à la rigueur, s'il y avait un indice permettant de percevoir une pensée spiritualiste, une expression de la foi, mais on le cherche en vain dans le texte. Ces images d'un optimisme naïf, un peu "cliché", n'entraînent pas l'adhésion du lecteur trop blasé sans doute que je suis. Enfin, si vous voyez le monde ainsi, tant mieux pour vous. Miguel, en EL |
Vincent
9/1/2023
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Bonjour Gabrielle , j'adore l'essentiel de votre texte
L'essence du ciel, et je suis en accord avec votre vision J'aime également comme vous l'avez écrit c'est clair comme une étoile |
Robot
9/1/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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J'ai trouvé ces dytiques pleins de compassion et d'espérance. Je pense qu'il s'agit d'exprimer une conviction, plus que ça même, une foi en quelque chose qui dépasse le profane sans se perdre dans le prosélytisme.
Simple et évocateur. La poétesse exprime ici une forme de croyance sans nous l'imposer. |
poldutor
9/1/2023
trouve l'écriture
convenable
et
aime un peu
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Bonjour Gabrielle
Vous avez écrit un poème très optimiste sans doute dans un moment de grand bonheur, et c'est tant mieux, mais cette période du siècle est-elle tellement un "Magnifique espoir du temps présent Projeté vers un avenir radieux" ? "Où le chant des oiseaux Porte au plus haut des cieux,..." on l'espère, mais l'homme limite actuellement le nombre d'espèces et beaucoup d'oiseaux disparaissent ! "Où les souffrances bruyantes Disparaissent dans un coin de ciel bleu." je me demande ce qu'en pensent les ukrainiens, les iranien(nes) ! "Prodigieuse avancée Dirigée en plus haut lieu, Nos âmes, souffrantes, Et nos cœurs, meurtris, S'envolent sans bruit. Prodigieuses pensées Tournées vers l'infini…" Ah si cela pouvait être vrai, on peut toujours rêver ! Cordialement |
Marite
9/1/2023
trouve l'écriture
perfectible
et
aime un peu
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Le thème est intéressant mais la présentation faite de ce "Bonheur infini" m'apparaît très formelle et convenue. J'aurais aimé y trouver un ressenti très personnel, avec des mots inattendus, une envolée d'enthousiasme quoi ... donc pas vraiment convaincue et emportée par ces vers libres qui, en principe, permettent et transmettent une expression vivante et vibrante.
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Corto
9/1/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime un peu
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J'hésite: voulez-vous absolument nous remonter le moral ? Avez-vous une recette secrète pour voir ainsi le monde et la vie de chacun ? Faites-vous une provocation pour nous faire réagir ? Vivez-vous sur une planète secrète comme le faisait le "Petit Prince" ?
Vous avez compris que je n'arrive pas à pénétrer votre démarche, sauf peut-être les deux derniers vers qu'il faudrait néanmoins m'expliciter. Merci pour ce Bonheur. |
Ramana
9/1/2023
trouve l'écriture
très perfectible
et
aime bien
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"Le chant des oiseaux", "le ciel bleu", et puis on est heureux... à la base, ça fait un peu pavlovien, dirais-je, sauf respect ! On voit bien dans le fond où vous voulez en venir, car qui n'a pas un jour ressenti ce mieux être lorsque, le coeur lourd et les pensées tristes, vous sortez de chez vous et que la beauté de la nature vous suggère une parfaite harmonie, laquelle a pour effet de relativiser vos turpitudes, et tous comptes faits de vous faire basculer du côté lumineux.
Votre thème m'interpelle, mais sur la forme, je souscris au précédentes remarques, et aussi vous écrivez deux fois "prodigieuse" à peu d'écart. |
Lotier
9/1/2023
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Ah, l'ironie de l'antiphrase ! Mais c'est effectivement l'univers (publicitaire et …) que l'on nous vend, le positivisme de la croissance infinie.
Notre humanité est prête à s'y dissoudre : « Nos âmes, souffrantes, Et nos cœurs, meurtris, S'envolent sans bruit. » J'aime beaucoup cet angle d'attaque… et j'espère que c'était bien le second degré qui était recherché… |
Provencao
10/1/2023
trouve l'écriture
convenable
et
aime bien
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Bonjour Gabrielle,
"Où les souffrances bruyantes Disparaissent dans un coin de ciel bleu." Très "parlants " ces vers à mon sens, sur le rôle et le pouvoir de l'imagination qui joue dans ce poème le rôle d'une fourberie avec les différentes alternatives. Dans une pensée de " décrochage "en lien au monde de la perception et de l'action, où tout un chacun peut tenter de nouvelles idées, de nouvelles valeurs et de nouvelles attitudes d'être... Au plaisir de vous lire Cordialement |
arigo
10/1/2023
trouve l'écriture
convenable
et
aime un peu
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Bonjour Gabrielle
Je trouve ce découpage par deux vers peu confortable pour une lecture fluide. Les images poétiques utilisées me donnent une impression de "déjà vu" . Je trouve que le poème manque de surprise, tout paraît attendu. Je suis désolé, ce sera pour une prochaine fois. Merci pour le partage, Arigo |
Atom
14/1/2023
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J'apprécie quelque peu ce poème qui semble évoquer une certaine libération.
La fin d'un poids, un lâcher-prise voire peut-être même une sorte de Satori. Une élévation spirituelle ou quelque chose comme ça. L'auteur évite les poncifs New-Age mais ça reste quand même assez naïf. Ceci étant, pourquoi pas ? En ces temps troublés, je ne peux qu'admirer l'optimisme qui ressort de ce texte. |