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Anonyme
11/5/2021
a aimé ce texte
Vraiment pas
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Bonjour,
Le lis un poème "qui en fait un peu trop", à mon avis, désolée. Le naturel du propos me semble noyé dans une profusion de termes qui se veulent poétiques, (mais sans l'être à trop forte dose) "ailes fragiles" paradis exquis" "vivant soleil" "divin soleil" "paradis éternels" "célestes merveilles" Outre les répétitions pas forcément judicieuses, elles peuvent l'être pour appuyer un propos, parfois, mais là, ça ne me semble pas vraiment le cas. L'exergue entre guillemets parait ainsi être une citation, de qui ? Vraiment désolée, mais je n'ai pas du tout apprécié ce texte, le fond étant assez convenu et banal. Bonne continuation, Éclaircie |
Robot
13/5/2021
a aimé ce texte
Bien
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On sent un peu trop la volonté de "faire poétique". Celà dit le poème présente des images qui permettent de visualiser le propos. Tous les tercets disent la même chose d'une manière un peu différente avec pour mon goût un peu trop de mots répétés.
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Lebarde
25/5/2021
a aimé ce texte
Pas
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Bonjour Gabrielle
Curieux texte curieusement écrit avec une économie de mots , comme c'est curieux.!! Voila donc que je me mets comme vous à répéter plusieurs fois les même termes ( Ciel, ailes paradis, vies, chemin, destinées) comme si la langue française manquait à ce point de synonymes. Dans une poésie aussi courte cela est d'autant plus dérangeant. Si l'auteure l'a fait volontairement, soit, mais à quoi bon et dans quel but? Je vois plutôt un travail bâclé à la va vite, rédigé sur un coin de table avec l'idée d'en finir rapidement. Je crois savoir que vous avez déjà fait beaucoup mieux. A un prochaine fois donc. Lebarde lecteur frustré. |
papipoete
25/5/2021
a aimé ce texte
Un peu
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bonjour Gabrielle
à regarder le ciel, je rêve au Royaume des Cieux c'est là-haut et non point sur terre qu'est le Paradis il ne suffirait qu'un battement d'ailes pour aller plus haut là-bas sera l'Eden aux célestes merveilles... NB j'ai volontairement exagéré le trait, mais si Vous ne voulez point entrer dans les étoiles, et vous installer au Paradis... je me serai laissé tromper par mon impression ! Entre rêve chanté et cantique religieux, vous psalmodiez des vers, dont la substance revient à répéter constamment un mot-clé ( ciel, ailes, soleil, paradis ) tel " moulin à prières tibétain " ; le son en devient lancinant... |
Corto
25/5/2021
a aimé ce texte
Vraiment pas
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On ne pourra pas dire que vous manquez de suite dans les idées.
Vous nous avez déjà présenté d'autres textes où le ciel, le paradis etc. étaient fort présents. Ici j'ai un peu le sentiment de lire un refrain des témoins de ... mais oui de qui déjà ? Comme dit Brassens, "Les braves gens n'aiment pas qu'on suive une autre route qu'eux"... Bon chemin mais désolé, je bifurque maintenant. |
Gabrielle
25/5/2021
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Modéré : Commentaire de l'auteur sous son texte (si besoin, ouvrir un sujet dans "Discussion sur les récits").
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Ligs
25/5/2021
a aimé ce texte
Pas ↓
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Bonjour,
En ce qui concerne le fond, je préfère ne pas dire ce que j'en pense, mais quand même, "nos vies soleil, célestes merveilles", j'espère que vous ne m'incluez pas dedans 😂 Sur la forme, je ne suis pas convaincu par ce texte qui à mon sens, se perd dans l'enthousiasme, et n'a pas vraiment de forme... Une suite de tercets, qui reprennent un peu toujours la même idée... je ne vois pas de progression, c'est dommage. Une des choses les plus dérangeantes, ce sont ces répétitions : Ciel, Ciel, Cieux, céleste ailes ×2, tire-d'aile paradis ×3 soleil ×3 vies ×4 Destinées ×2... Des répétitions, pourquoi pas, mais dans une structure particulière, il y a des figures de style pour cela : anaphore, épiphore, parallélisme, chiasme, anadiplose... ici, les répétitions sont anarchiques, cela donne un côté très maladroit... |
Cyrill
25/5/2021
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Bonjour Gabrielle.
Il me semble que vous devriez essayer d'enrichir un peu votre vocabulaire pour exprimer ce que vous ressentez. Vous avez employé trois fois ailes, trois fois Ciel, ou Cieux (ce n'est qu'un pluriel), trois fois soleil, et deux fois paradis, ce mot-là dans le même tercet. Ça me semble bien trop pour un si court poème qui plus est. Est-ce volontaire ? Je me le demande, mais la lourdeur est là. Je ne suis pas certain de vous suivre non plus sur le fond du propos. Les merveilles, je les préfère sur le plancher des vaches, et si elles se font attendre, je me contenterai de petits bonheurs exquis ! Cela dit, je respecte votre pensée, j'aurais souhaité que vous la partagiez avec plus d'inventivité. Merci pour la lecture. |
Davide
25/5/2021
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Bonjour Gabrielle,
En premier lieu, je trouve le découpage des vers abrupt, un peu grossier même, il néglige les respirations naturelles d’un texte libre comme celui-ci sans raison particulière. Rien que sur la première strophe, à titre d’exemple, j’aurais trouvé plus lisible et musicale une mise en page comme celle-ci : "À toucher le Ciel, Mes yeux se posent Vers ces effervescentes nuées Qui couvrent de leurs ailes fragiles tout l’immensité" D’ailleurs, c’est une belle image d’introduction, je trouve, que ces nuages ailés couvrant toute l’immensité du Ciel, une image qui me plaît, quand bien même la majuscule au mot "Ciel" annonce, sans doute, de prime abord, une métaphore religieuse/spirituelle peu explicite. Dans la deuxième strophe, la juxtaposition de termes nébuleux sans construction syntaxique m’égare quasi-complètement. Pas de sujet, pas de verbe conjugué, je ne comprends pas bien où l’auteure veut m’emmener, ni ce qu’elle veut me faire comprendre/partager. Dans les troisième et quatrième strophes, apparaît l’esquisse impromptue d’un bonheur infini, d’une conscience divinisée peut-être, à moins que ce ne soit une âme en paix ayant retrouvée son chez-soi ? Mais alors, que sont ces "destinées" et "témoignages de vies" ? En définitive, ce poème ne me parle pas, ou très peu, au sens propre comme au sens figuré. Le langage utilisé ici ne m’est pas accessible dans/sous cette forme, d’autant plus que la plupart des termes employés ont un spectre signifiant très large et très flou ("Destinées de nos vies", "ouverture vers un divin soleil", "Riches de nos vies soleil "… que comprendre ?). Je dirai que le cheminement de l’auteure n’a pas été suffisamment balisé, suffisamment clarifié, pour le lecteur que je suis. |
Provencao
26/5/2021
a aimé ce texte
Un peu
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" À portée d'ailes, un paradis exquis, vivant soleil,
Tel un accès vers le Ciel, au détour d'un chemin, Destinées de nos vies. " J'aurais aimé voir ici se dessiner le tournant résolu du poème Esprits libres: l'ouverture vers le divin et célestes merveilles du paradis comme cadeau de l'eden exquis, comme sortie vers un chemin sans pareil, du soi de l'absolu dans sa liberté divine, dans son esprit libre.... J'ai, à travers votre poésie, eu l'impression que vous vous êtes enracinée dans une expérience inachevée, imprécise comme si , le don de chacun dans la création etait le don de l'âme, de l'être... Au plaisir de vous lire Cordialement |
ANIMAL
26/5/2021
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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J'aime bien ce poème léger, aérien et bienveillant. Un bel hommage aux nuages, au ciel et au soleil, à la Nature divine et à la divine nature de la Vie.
Malgré les répétitions et un thème un peu nébuleux mêlant paradis et destinée, j'ai trouvé une belle lumière dans ce texte. Je ne serais pas loin de penser qu'un oiseau est le narrateur et porterait sur le monde un regard forcément différent du nôtre. Qu'importe, en fait, la poésie est aussi le mystère. |
sauvage
1/6/2021
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Bonjour Gabrielle,
je respecte profondément les gens qui ont la Foi. Sans vous connaître, j'y ressens le chemin de l'éveil, le partage d'une vérité profonde. Les mots sont simples, peut-être trop répétitifs, mais touchants. La musique des mots est convenable, sans plus. Cependant, j'apprécie ce genre de démarche sur un site tel que Oniris car l'affirmation de sa croyance est une chose devenue de plus en plus difficile. Que celle-ci passe par de la poésie, cela me plaît. Au plaisir de vous lire à nouveau. sauvage |