|
|
Provencao
7/5/2018
a aimé ce texte
Passionnément
|
Un rêve d'opale aux accents des destinées, où je me suis laissée porter par cette sublime écriture qui de cette façon dispose au vrai, parce qu’elle dégrise et dépossède.
Cette poésie est comme l’ange à la porte du paradis céleste. Elle n'atteste de rien ; elle tient la limite et, ce faisant, elle éveille et prépare à ce qu’on ignorait et de soi et du vrai:"D'envahir nos âmes et nos pensées. Rêve d'opale qui génère de la gaieté, Douce évasion qui reste Un univers ancré, loin du funeste." De très puissantes énergies naissent de la veille sur le seuil, face à l’insoluble et qui le renforcent : « Qui ne cesse de semer et atteste De la beauté de nos vies sublimées" Au plaisir de vous lire Cordialement |
solo974
10/5/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Bonjour,
J'ai beaucoup aimé votre poésie libre. La reprise du titre dans chacune des trois strophes lui confère une unité thématique indéniable, ce qui constitue selon moi un plus. J'ai également apprécié le passage du quatrain au "cinquain" car il illustre très bien - symboliquement - l'exaltation mystique qui se saisit peu à peu du poète. Bien à vous. |
Anonyme
21/5/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
|
J'ai été emportée par le mouvement ascensionnel de ce beau " rêve d'opale" que rien n'arrête ( "ne cesse" est répété deux fois") : le champ lexical de l'élévation et du mouvement y est roi : " envolée" " céleste" , " envahir" , "évasion" et " exaltation".
Merci pour ce moment de lévitation poétique. |
Lulu
21/5/2018
a aimé ce texte
Un peu ↓
|
Bonjour Gabrielle,
J'ai bien aimé le titre qui donne envie d'en savoir plus, et nous laisse entendre que l'on sera porté par un rêve... J'ai aimé l'idée globale du poème avec ce mot qui le commence "Envolée". Cependant, j'ai trouvé dommage que la construction du poème repose sur des subordonnées relatives, en tout cas, pour partie. Le pronom "qui" alourdit la forme qui pourrait être plus légère, d'autant qu'il est répété. "qui rejoint" ; "qui éveille" ; "qui génère" ; "qui reste"... Ainsi est-ce la forme qui me gêne, plus que le fond que j'ai trouvé intéressant. D'autre part, je n'ai pas vraiment compris le découpage des strophes. Pourquoi le vers "D'envahir nos âmes et nos pensées." ne fait-il pas partie de la première strophe ? Ce serait plus logique. Peut-être avez-vous souhaité faire des quatrains, mais la dernière strophe contrarie ce projet. Indépendamment de ces remarques, j'ai aimé le fond, avec cette impression de pouvoir être porté vers le haut "loin du funeste". Bien cordialement. |
Robot
21/5/2018
a aimé ce texte
Bien
|
Le fond de ce poème est intéressant.
Les vers nous font ressentir les images. Un excès trop appuyé du relatif "qui" alourdit cependant un peu le texte. Autre remarque: Je ne suis pas certain que l'utilisation de l'adjectif "funeste" sous une forme nominale soit une bonne solution. Au contraire j'aurais bien vu qu'il accompagne un nom, comme par exemple au lieu de: "Un univers ancré, loin du funeste." plutôt: "Un univers ancré, loin des hasards funestes." L'ensemble revu en libre donnerait un texte encore plus élaboré. Mais même ainsi, j'ai apprécié de le parcourir. |
Anonyme
21/5/2018
a aimé ce texte
Bien
|
Ce " Rêve d'opale ", qui fait se rejoindre " Paradis terrestre et paradis céleste " semble générer, en plus de la "gaieté ", un bonheur intense
" À nos âmes unies, poussière céleste Qui ne cesse de semer et atteste De la beauté de nos vies sublimées." |
Anonyme
22/5/2018
a aimé ce texte
Un peu
|
Le défaut majeur de cet écrit est l'abondance de "qui", cela dès les premiers mots donne un effet confus, maladroit, et occasionne un certain déséquilibre au cœur de ce poème.
De ce fait la lecture manque de fluidité, puis vient s'ajouter à cela la répétition par trois fois de "Rêve d'opale", atténuant l'originalité à laquelle je m'attardais. L'idée de "Rêve d'opale" ne m'est proposée que succinctement, cela ne me permet pas vraiment d'en avoir un aperçu plus précis et de me sentir touché par vos propos. Vous ne vous démarquez pas assez de ce que j'ai pu lire concernant ce sujet. Je suis resté un peu sur ma faim. |
LylianR
22/5/2018
a aimé ce texte
Bien
|
Un poème aérien où tout ce qui est impalpable et secret se rejoint. Le verbe (se) rejoindre apparait deux fois dans la première strophe.
Toutefois, ce tableau tout en mouvement éthéré est un peu figé par l'emploi des subordonnées relatives introduites par qui. Un bon moment de lecture. |
Goelette
3/6/2018
a aimé ce texte
Un peu
|
Une jolie douceur de vocabulaire et une belle idée de fond.
La forme cependant me plaît moins : les rimes semblent parfois "forcées" et les "qui " pèsent sur votre "Rêve d'opale" |