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Bidis
1/9/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Je reviendrai lire ce poème car il m'interpelle.
J'aime infiniment l'idée de parler de l'enfant que l'on a été comme d'une entité presque tangible et tout à coup, j'ai eu envie d'aller à la rencontre de l'enfant que je fus moi-même. La rencontre ici est extrêmement jolie, bien dite. |
Anonyme
1/9/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Garance. J'ai lu et relu ce poème très douloureux. De l'enfance meurtrie... Je préfère ne pas le commenter surtout s'il est personnel... Et je comprends ces souffrances, en tout cas l'interprétation...
"Assise au bord de ma nuit je tresse à la terre ronces après épines une couronne de lumière." |
jaimme
1/9/2009
a aimé ce texte
Bien
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Belle idée que celle de parler à celle qui fut.. soi-même?
Ou justement une soi-même très différente et tant regrettée. Ce que j'ai du mal à saisir c'est si il y a vraiment un regret de l'enfance ou pas. Le souvenir est là, mais... Ce qui me semble plus clair c'est que ce retour (à la terre) implique un rejet du moment. Tout est ouvert, c'est peut-être la volonté de Garance. Mon goût se porte plus vers des textes avec quelques pistes, mais là je n'arrive pas à les trouver. Lecture qui m'a intrigué et qui m'a poussé à relire plusieurs fois. Je n'ai pas abandonné, j'aurais pu le faire, c'est donc une marque de succès. |
Anonyme
2/9/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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C'est un beau poème, plutôt triste, interpellant, où l'auteur évoque l'enfant qu'elle fut (et qu'elle regrette ?)
J'aime beaucoup l'antépénultième et la dernière strophes. Arthur |
Automnale
2/9/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Voilà un texte qui touche en plein coeur, fait réfléchir et remet, semble-t-il, les choses actuelles à leur place. L'auteure souligne, en quelque sorte, qu'il ne faudrait jamais oublier l'enfant que nous avons été et que nous sommes peut-être encore...
J'ai retenu la poésie du "ciel des fenêtres". J'ai apprécié cette façon de marcher "maintenant vers l'enfant, la seule que je connaisse, celle que je fus"... Et me voilà triste en pensant à cette enfant, que nous avons été, attendant, peut-être, "affaiblie sous le boisseau, petite flamme oubliée". Ce poème, très doux, caresse l'âme. Et donne envie de parler immédiatement à cette petite fille (ou à ce petit garçon) qui sommeille au fond de nous. Merci, Garance, pour ce coup au coeur. |
Lylah
3/9/2009
a aimé ce texte
Bien
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J'ai bien aimé la personnification de l'enfance et la petite musique triste qui accompagne ce cheminement vers le passé pour en revenir auréolé d'une nouvelle lumière, offerte de soi à soi.
La dernière strophe est de toute beauté. En revanche, je n'ai pas aimé la troisième qui, à mon sens, casse un ryhtme par ailleurs fluide sans apporter pour autant quelque chose d'essentiel. Mais ce n'est que mon ressenti et l'ensemble mérite vraiment le détour. |
irisdenuit
22/10/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonsoir Garance,
Retrouver l'enfant en nous, ls'accrocher au fil de l'innocence et tricotter des brins de vent au bout de nos rêves. De la poésie comme j'aime, à fleur de coeur, pleine de sensibilité. La chûte m'a scotchée comme tout le reste d'ailleurs. Aucune retouche à ce poème que j'aime dans son intégralité. Merci tout plein, Amicalement, Iris |