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brabant
10/7/2009
a aimé ce texte
Bien
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Je me suis laissé prendre au charme de votre poésie, à la beauté des mots, à la douceur des images. L'elfe, l'homme, le chien, les astres. La terre, le ciel, l'univers et le néant. Osmose! Est-il permis de prendre un filet à papillon pour attraper l'elfe? Ne pas tuer le rêve! Un elfe ne s'épingle pas! A chacun son destin et pourtant vous montrez que nous avons tous le même destin.
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Anonyme
10/7/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Garance. Très beau poème, et je dirais "Belle Elfidie "
...Très délicat "Les herbes folles se mirent au prisme de ses ailes sensibles telles des lucioles" et "graciles" "à fleur d'intemporel"... Merci cet envol... |
Anonyme
10/7/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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"Dans le champ de personne"...ça me rappelle l'autobiographie de Daniel Picouly.
Je préfère les deux dernières strophes aux deux premières pour ce qu'elles ont de "dynamique". Bravo aussi d'avoir pensé à faire réapparaître l'elfe d'étang. ON l'aurait presqu'oublié! |
Anonyme
10/7/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Dans les deux premières strophes de très jolies images où la "touche" féminine est vraiment perceptible et puis une suite et fin un peu plus philosophiques, plus sombres aussi... Joli poème, bravo Garance !
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TITEFEE
10/7/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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A fleur d'intemporel, des images surnagent bien après avoir fini de lire ton poème... Qui n'a pas rêvé ou espéré, dans le champ ou le chant de personne deviné une présence elfique ?
EN tous les cas, moi, qui embrasse les arbres lorsque je vais en forêt, j'espère toujours. J'ai beaucoup aimé, mais est-ce utile de le souligner car tous tes commentaires sont élogieux. Je ne fais que me mettre à leur suite |
ristretto
12/7/2009
a aimé ce texte
Bien ↓
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le temps suspendu
l'homme et le chien de personne ( comme j'ai cru lire :-) ) "magma de plénitude" merci garance pour ce moment de lecture aérien et fort tout à la fois |
Anonyme
15/7/2009
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Quelques belles images :
- lacustre mirage de vapeurs diaphanes. - telles des lucioles elles s'enluminent ; - Dans le champ de personne - Le ciel immense sur la lande se déroule, - où se précipite le néant ; magma de plénitude à fleur d'intemporel. Mais rien de bien original à mes yeux... un moment sympa, mais pas non plus un moment fulgurant... Dans la forme, je me demande si ça clasherait pas plus en prose? Mais c'est mon avis et je respecte le choix de l'auteur. Je suis donc nettement moins enthousiaste que mes prédécesseurs, je trouve qu'il y a de l'idée mais... mais je ne suis pas convaincue par l'ensemble, par les images... et j'ai un gout de trop peu, d'inachevé, je reste sur ma faim... Désolée. Je lirai le suivant... |
ANIMAL
9/8/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'aime bien ce thème de deux vies qui se superposent sans se voir, sans se mêler. On partage cette terre avec des myriades d'autres êtres, invisibles à nos yeux.
Le titre convient parfaitement et sur la forme, un seul vers "où se précipite le néant" me semble moins harmonieux que les autres. Très joli poème, Merci. |
Anonyme
9/8/2009
a aimé ce texte
Pas ↑
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Bonjour,
voilà le genre de poème qui ne me parle pas du tout, désolé. La poésie de l'éthéré, avec sa cohorte d'images diaphanes de lune, de brume et d'eau... me laisse toujours perplexe. L'association du chien et de l'homme errant seuls sur la lande, ma foi pourquoi pas, mais encore ?... Le "se mirent au prisme" me parait d'une légèreté très discutable. Quant au "magma de plénitude à fleur d'intemporel", ben là, désolé, mais mon décodeur est tombé en panne. J'aime bien les 4 premiers vers de la 3ème strophe répétés presque à l'identique dans la 4ème. J'en ferais bien le départ d'un autre texte qui reste malheureusement à écrire. Mais ce n'est que mon avis et, j'en suis ravi pour toi, il ne semble pas partagé par les autres commentateurs. Bonne continuation à toi. |