|
|
nombrilc
23/2/2012
a aimé ce texte
Bien ↓
|
Moi j'aime bien, c'est frais, assez facile à lire, si le surréalisme nous parle.
La fin est quelque peu obscure mais assez subjective pour terminer comme cela chante. Personnellement j'ai décroché vers: "la suite est connue"... ou encore "où pisse à vau-l'eau" Bref, une bone partie de patinoire. |
Charivari
23/2/2012
a aimé ce texte
Un peu ↓
|
Non, désolé, je n'ai pas été du tout convaincu. Pas surréaliste pour moi, il manque une graine de folie là-dedans. Confus, c'est plutôt le mot qui me vient.
Il y a cependant quelques jolies images ("la mer rongée de sel" par exemple, "bavure d'encre bleue", etc), et une prosodie assez subtile, hélas, ça manque de structure, et on a l'impression d'une évocation très explicite mais brouillée pour que le lecteur ne comprenne pas. Et le résultat, c'est que l'émotion est absente, en tout cas pour moi |
brabant
24/2/2012
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Bonjour Garnement,
Il y a de belles choses là-dedans auxquelles il faudrait peut-être apporter davantage de liant, mieux expliciter bien que ce soit du surréalisme certaines images, travailler le clin d'oeil, la complicité avec le lecteur, ne pas s'amuser à le faire patauger tout en sachant qu'on lui tient malgré tout, mais en douce, la main. J'aime assez ces "paumes... en porte-voix" et ce "coffre enroué". "La suite est connue" dites-vous, c'est vrai que le poète est incapable de garder un secret. Mais ce secret, on aimerait que vous le répétiez, c'est fait pour ça un secret, pour être répété. Tant pis pour les "petites fiancées d'août", tant pis pour Chloé, tant pis pour le marchand de sable. Le poète a la mémoire des rêves. Les deux derniers vers sont remarquables : "J'ai reçu en héritage une laisse de mer Et sa dépouille de bois flotté". |
funambule
24/2/2012
a aimé ce texte
Bien
|
Un texte facile à lire... son surréalisme est agréable, accessible. J'ai aimé me plonger dans cette ambiance (ou ce qui y confine). Je ne sais de quel hommage il s'agit mais il semble saisit largement les sens pour nous emporter vers le poète anonyme, celui qui vit de ses mots sans qu'ils le fassent vivre... et dont l'héritage reste indéfinissable... mais réel puisque nous sommes ici.
|
David
9/3/2012
a aimé ce texte
Un peu ↑
|
Bonjour Garnement,
Je reste peu convaincu du titre, il colle peu au poème je trouve. Celui-ci part un peu mollement à mon goût, mais dès les "petites fiancées d'août", je me laissais emporté. Quelques images interrogent comme : "En fige les mots de ses huit doigts glacés" Pourquoi huit (peut-être des mains en porte-voix) "Deux lignes d'horizon" Pourquoi deux. D'autres sont jolies à mon goût et à prendre telles quelles il me semble : "Il joue au loup avec le temps" "Chloé, rire de sodium Et bavure d'encre bleue" J'aime bien le tout dernier passage aussi. |