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fanny
8/6/2024
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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La forme de ce poème m'a séduite autant que le fond et j'ai tout de suite été prise par le dynamisme et l'originalité du style, peut-être avant même de décortiquer ce texte richement désabusé.
Il y a pléthore de métaphores dont la qualité ferait baver moult parlementaires en berne de réparties et d'arguments sérieux. La chute est délicieusement déprimante, comme un petit bonbon acidulé dans la bouche des ogres. Que rajouter lorsque notre avenir de lobotomisés s'annonce baigner dans la si douce et paisible lumière du néant. Très fort, je vote pour vous. Comment ? Ha vous avez été discrètement mais efficacement écarté de la liste des candidats. Ha bah c'est sûrement pour notre plus grand bien, j'oublie alors. Fanny en El, revenue ce jour corriger une petite faute d'orthographe. |
Donaldo75
31/5/2024
trouve l'écriture
perfectible
et
n'aime pas
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Désolé de le dire comme ça mais pour moi, ça ne fonctionne pas du tout. Je vois dans ce texte une prose qui mélange artifices, jeux de scène et bavardage. L’assemblage me semble manquer de souffle poétique et n’amène pas d’impact à la lecture. Les quelques images ou métaphores proposées ressemblent à de l’apparat.
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Provencao
8/6/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Bonjour Geigei,
Plusieurs lectures pour mieux m'imprégner de votre écrit. La vocation première de la poésie est de révéler, trahir aussi la vérité de ce qui est. Votre écrit délivre des illusions, des utopies sortant du néant pour se tenir à l’écoute de cette boîte à musique. Moi, j'ai aimé être dans cet invisible, masqué servi par des métaphores ô combien recherchées.. belle originalité. Vous avez su effleurer l'indéfinissable qui nous entoure et parfois nous dépasse... Au plaisir de vous lire Cordialement |
papipoete
8/6/2024
trouve l'écriture
perfectible
et
aime un peu
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bonjour Geigei
Déjà que les potentiels électeurs font la grimace, ne comprenant pas ce que celui-ci promet celui-là assure se blasent face aux panneaux affichés, au près de nos mairies ; à qui se fier au moment de profiter de ce droit, que d'autres pays nous envient ! Ma réflexion sous votre texte, pour vous dire - tout ça pour ça ? désolé cher poète, mais je ne changerai pas mon projet de vote, après vous avoir lu, et relu ! Texte fruit d'une réflexion à exploser les neurones, mérite de ne pas être affublé d'un " PAS " mais... |
Polza
10/6/2024
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Bonjour Geigei,
Pour la petite histoire, le hasard du calendrier de publication onirienne a fait que la veille de la sortie de votre boîte à musique, je regardais sur France 5 ce film que j’aime beaucoup « Music Box », fin de la parenthèse cinématographique. J’ai trouvé l’ensemble de votre poème très imagé. Dans le style, cela m’a fait penser à L’écume des jours de Vian. « Les horloges s’arrachent les aiguilles » m’a fait penser à « L’aiguille du four électrique, réglé pour la dinde rôtie, oscillait entre « presque » et « à point » L’orgue quantique m’a quant à lui par exemple fait penser au pianocktail de Colin… J’adore Boris Vian et L’écume des jours, aussi, avec moi, vous avez un bon client ! Ce qui me fait apprécier votre poème n’est pas spécialement le thème que vous traitez, mais plutôt la façon dont vous le traitez. Beaucoup d’imagination, de subtiles métaphores, on sent que l’auteur a dû s’amuser à écrire ce texte. Cela dit, pour le thème, c’est on ne peut plus d’actualité ! Après, je ne sais pas si c’est plutôt de la poésie ou plutôt de la prose, mais au final, j’ai aimé, et c’est ce que je retiens de ma lecture. |
PierreP
10/6/2024
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C'est très noir, très tourmenté.
C'est un flou artistique, on n'y voit pas grand chose et c'est probablement l'idée. C'est ce que j'y vois moi. J'ai connu une personne qui avait ce genre de plume. Ça a l'odeur de la pluie mais l'aspect du bitume. Poésie ou pas, j'hésite mais en tout cas, ça dégage quelque chose, une ambiance particulière. Merci |
Catelena
19/6/2024
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Un lyrisme indéniable habille ici l'ambiance de son souffle audacieux.
J'avais lu ce poème avant de pouvoir le commenter, j'y reviens aujourd'hui avec les moyens pour le faire, avec toujours cette même impression de surréalisme aigu qui prédomine (mais ce n'est pas grave, docteur !^^). Peut-être à cause de ces objets du quotidien qui tout à coup s'animent : « Les horloges s'arrachent les aiguilles » « Chaque marche de plomb essaye de nous mordre » ou encore : « « Les fauteuils, enfin, nous soupirent en boucle » etc, etc,. Je note la pierre qui suinte en plusieurs endroits, et ne peux m'empêcher de penser à un cœur devenu sensible... Ah, que tu as dû t'amuser, Geigei, à faire cliqueter ce long vers : « Un oblong lobby diabolo affuble de la blanche fable les câblés attablés, accablés. » Il n'apporte rien de plus aux propos, je trouve, mais partage avec le lecteur le plaisir pris à jouer avec les mots et les images. Merci, et à te relire. Cat, et sa boîte à musique perso |