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Anonyme
19/5/2014
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bonjour,
J'ai envie de dire : "une belle peinture de plus". Oui c'est un tableau, un peu mouvant dans ses différentes lumières, certes, mais très classique au niveau du choix des mots, du rythme... référence aux dieux... L'auteur aurait pu, presque de la même façon, décrire Cassis, certains quartiers de Marseille, Les Issambres ou Saint Jean Cap Ferrat. Il y manque, selon moi, ce petit supplément d'ame que l'auteur trouve à Bandol et qui serait unique... Sur le plan des rimes : sel / caractériel : la rime me paraît fort "juste"... "restanques de vin" pour rimer avec thym, me paraît assez "forcé". Enfin "azur" rimant avec "obscur". Encore deux "Ò" poétiques.... soit. Rien de bien grave car l'ensemble est bien travaillé. |
Anonyme
23/5/2014
a aimé ce texte
Bien ↑
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Poème d'un amoureux de sa ville, cela ne fait aucun doute.
Si l'ensemble me paraît de bonne facture, il est quelques tournures qui m'interpellent : Rosissant : je ne comprends pas bien le participe présent ici. L'absence de préposition devant vivre en ton clair-obscur et la répétition du verbe vivre dans le même quatrain. Par contre j'aime bien les deux derniers vers du 3 éme quatrain : Un soleil au couchant rouge comme le feu Embrase des rochers arrivés à la nage. |
newman
4/6/2014
a aimé ce texte
Bien
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bonjour,
certes,une belle ville du sud est,mais dans cette poésie peut-être pas assez démarquée des autres villes de la même région. les images sont belles,certaines rimes moins travaillées que d'autres,mais dans l'ensemble j'ai apprécié me balader entre la crique et la pinède,entre le sable et la garrigue. merci. |
Condremon
4/6/2014
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Ah ben le sud on ne peut qu'être pour.
Connaissez vous A La Ciotat de Moussu T et lei Jovents ? |
Anonyme
4/6/2014
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Gemini,
Une belle balade au pays des cigales et de la mer Méditerrannée. Moins d’emphase dans la tournure me l’aurait rendue plus sympathique encore, car ce qui prime dans ces contrées bénies des dieux, c’est la simplicité des multiples bonheurs qui se prélassent au soleil, sans besoin d’en rajouter. L’« embrase des rochers arrivés à la nage » amène un sourire bienvenu. Merci d’avoir partagé Cat |
Anonyme
4/6/2014
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Gemini... C'est une déclaration d'amour à Bandol, déclaration qui ne manque pas d'intérêt, je dois l'avouer.
De très jolies images construites avec tous les ingrédients qui font le charme de cette région mais aussi, comme dans toute déclaration d'amour, quelques maladresses comme -t'écume de sel- , -rosissant au soleil-, et j'en passe... Personnellement, dans le vers qui suit... Qu’il est doux ô Bandol vivre en ton clair-obscur, j'aurais supprimé le "en"... et rajouter un "de" avant vivre Je dirais que c'est bien mais peut certainement mieux faire... Merci pour cette virée sur cette Côte d'azur où j'ai vécu quatre ans et dont j'ai gardé de très bons souvenirs... |
Robot
4/6/2014
a aimé ce texte
Bien ↑
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On le voit ce pays, on sent l'affection que lui voue le narrateur. C'est cet aspect lien affectif qui m'a plu dans ce texte. Par contre, Ô que je supporte mal ces exclamations. Une allergie personnelle sans aucun doute. Je ne suis pas contre leur utilisation parcimonieuse quand ces expressions ne servent pas uniquement pour placer un pied. Je pense qu'ici il aurait été possible qu'une autre rédaction nous en dispense.
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framato
4/6/2014
a aimé ce texte
Pas ↑
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Une carte postale, rimée, bien troussée...
De Bandol, je préfère le rouge (le vin) au mots trop convenus... Prenons n'importe quelle ville du sud, proche des calanques, disons Cassis en place de Bandol et les mots sont quasi tous transposables. Si la facture est bonne, il lui manque une âme et l'universalité des mots sied trop peu au particularisme d'une ville. Et c'est précisément ça qui transforme une tentative de poésie en carte postale banale... |
Francis
5/6/2014
a aimé ce texte
Bien ↑
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Des mots, des images comme des petits cailloux blancs qui nous conduisent au pays des cigales. On devine l'amour de l'auteur pour sa région !
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Miguel
5/6/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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Cela chante, et cela a le mouvement vif des "vents" de ce pays ; cela vit. Un bel hymne, avec ce qu'il faut de faconde méridionale pour faire "couleur locale", et le souvenir d'un univers si bien évoqué par Pagnol dont on retrouve ici, en vers, l'esprit de la prose.
J'aurais vu un peu de ponctuation interne au vers 2, et je suis gêné par l'absence de la préposition "de" au vers 13 ; mais petite jubilation à "cigales et Fourmigue", clin d'oeil intertextuel qui élargit le propos à la poésie classique sans pour autant avoir l'air de se prendre au sérieux. Té, vé, si tu crois qu'à Bandol on connaît que Marius et Olive, eh bé tu te trompes, peuchère. La Fontaine, on connaît aussi. |