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Robot
3/8/2014
a aimé ce texte
Bien ↑
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Le respect que l'on doit aux marins perdus en mer, ça ne pouvait que me plaire !
Voila pour le sujet. La rédaction souffre un peu de certaines tournures qu'on sent faites pour conserver la rime: "Parents et sauveteurs, famille comme unie," Il manque peut-être un peu d'émotion. En voulant éviter l'emphase, vous avez donné un hommage un peu terne. J'ai bien apprécié l'utilisation de l'orthographe ancienne d'abyme qui sied a ce vers que je retiens: Dans les eaux d’un abyme abimé de sanglots. |
Lulu
13/8/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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Je découvre la Saint Elme par le biais de ce poème que je trouve à la fois sobre et solennel, du fait du rythme régulier des alexandrins et d'un vocabulaire simple.
J'aime beaucoup les images décrites, elles aussi, simplement, sans recours à des figures complexes, bien que l'on puisse être surpris par l'image de l'eau lorsque "la surface est prise d'un frisson". L'hommage fonctionne, en tous cas, et l'on peut dire qu'il est réussi. |
Anonyme
26/8/2014
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Salut Gemini
Très imagé ce texte, à la fois poème-hommage et poème de circonstance. On l'imagine déclamé à la tribune et déclenchant les applaudissements d'une assistance ravie. Oh! Ce n'est pas du Baudelaire, encore moins de l’Apollinaire. On l'imagine plutôt composé par "le sous-préfet aux champs" cher à Alphonse Daudet mais il a beaucoup de charme. On en a plein la vue et plein les oreilles. Merci Gemini pour le plaisir de la lecture et pour l'hommage à la SNSM |
Francis
26/8/2014
a aimé ce texte
Bien ↑
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Je découvre la Saint-Elme à travers ces alexandrins écrits sans artifices . La lecture permet de retrouver l'émotion, la solennité de l'instant. Les différentes étapes de la cérémonie s'enchaînent dans des impressions auditives et visuelles de la rose à la corne de brume.
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Anonyme
26/8/2014
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Gemini... Un Breton de la côte ne peut rester insensible à l'hommage rendu aux "Péris en mer" ainsi qu'aux bénévoles de la SNSM qui ne ménagent pas leur peine pour porter secours et assistance...
Un texte sans fioritures qui va à l'essentiel comme les sauveteurs un jour de gros temps. Merci pour eux... |
Anonyme
26/8/2014
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour
J'aime bien ce texte écrit comme un recueillement en mémoire aux disparus de la mer. Coté écriture, les deux en l'un en dessous de l'autre des deux premiers vers auraient pu être évités. J'aime bien le : Quand l'eau de la surface est prise d'un frisson. |
Miguel
28/8/2014
a aimé ce texte
Bien ↑
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Le culte des morts est une chose qui me parle. Je suis assez du genre "fidélité aux disparus, hommages, etc" J'aime la sobriété de ce texte, sa tonalité émouvante et sa retenue. J'aime aussi la part qu'il accorde à la dimension spirituelle de ce rapport aux morts, opinion toute personnelle. Les vers sont sobres, sans pathos, avec juste ce qu'il faut d'émotion vraie et contenue.
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cherbiacuespe
22/7/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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Je ne connaissais pas cette marine tradition de la saint Elme. Merci de cette poétique description d'une apparemment vieille coutume.
Un vrai plaisir car fluide de lecture et de mots simples. j'aime. |
BernardG
2/3/2020
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
Cet hommage est fort bien tourné ! Sans fioritures, l'essentiel y figure et rappelle à chacun le dévouement de la SNSM..... Peut-être apprécieraient-ils de recevoir ce poème qui pourrait se retrouver sur nombre de ces tableaux ou figurent des notes de service ? J'ai bien aimé l'allitération au 12e vers. Bien à vous Bernard G. |
papipoete
8/12/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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bonsoir Gemini
Il est dans la coutume de de souvenir des marins, dans les abimes disparus ; ceux que leur bateau emporta dans son naufrage, comme ceux plus anciens morts à bord, que péris l'on rendait à la mer sous le prêche du commandant souvent, faute de prêtre ! à Saint-Elme, l'on prie, l'on pense et à l'eau l'on offre la plus belle du jardin, la rose fleur que le pêcheur se plaisait à humer à terre, et à offrir à sa douce, à sa femme, à sa mère... NB même si le métier de marin-pêcheur peu à peu se meure, face à la somme de labeur et audace pour affronter ses peurs, des fils encore embarquent tôt le matin pour oeuvrer toute la journée, et rentrer avec maigre fretin... mais retournent à nouveau le lendemain, laissant par mauvais temps dans l'angoisse, qui une fiancée, qui une femme, une mère et des enfants ! C'est là, bel hommage à ces hommes de chalutier, comme à ceux du Titanic ou autre Bismark ! La 3e strophe est fort touchante, bien que " abyme et abîmé " me semblent trop " frères ", bien que le sens soit différent ! le distique final a ma préférence. les dodécasyllabes sont parfaits, et un couplet en latin put clore solennellement ce fort beau poème ! " Pater noster qui es in caelis ; sanctificetur nomen tuum... |