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Miguel
26/12/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
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Ce calligramme où je me plais à voir une voile, invitation au voyage, est une idée originale ; les termes simples expriment des pensées élaborées, parfois des trouvailles. C'est naturel, rafraîchissant, ça fait du bien à lire. Ça respire la jeunesse. De l'art de faire bien avec peu de moyens mis en oeuvre ; la sobriété au service de l'efficacité. Le monosyllabe de la fin, avec sa tonalité exclamative suivant l'interrogation, vaut de l'or.
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embellie
27/12/2021
a aimé ce texte
Bien ↑
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Ce poème nous parle de souvenirs d'amoureux. Le début, ''toi et moi'' et la fin ''à moi toi'' rappellent les écrits surannés de Paul Géraldy vers 1900, pour le fond.
Pour la forme, joli travail que ce calligramme-miroir, la moitié supérieure de l'écrit présentant le même dessin que la partie inférieure, inversée. Il est particulièrement réussi, ressemble à une voile de bateau se reflétant dans l'eau. La difficulté réside dans le respect des rimes comme pour un poème traditionnel, la longueur des vers devant se plier aux exigences du dessin à obtenir. Je pense instantanément aux recherches ludiques des oulipiens et je suis admirative devant cette composition. Merci pour ce travail de recherche. |
Donaldo75
27/12/2021
a aimé ce texte
Bien ↑
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Pour ma dernière lecture avant de partir en congés, peut-être même la dernière de l’année, j’ai été gâté avec ce calligramme inspiré. Certes, l’exergue indique que c’est un exercice de style mais au-delà de cette information, mon impression de lecteur se résume au mot réussite. Le message est passé car il est bien exposé, agréable à lire et même à regarder, bien découpé, marin (et je le lis avec un masque du Musée de la Marine de Brest, alors autant dire que je suis paré, moussaillon, ouvrez la grande voile !), une forme d'art pictural abstrait qui n'est pas sans me rappeler certains peintres des années soixante pour qui motifs et mots se conjuguaient.
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papipoete
4/1/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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bonjour GiL
D'emblée, je commente ce texte avant de l'avoir lu ; en effet, il est un exercice que nous donna notre Maître voilà quelques lunes... " à la façon des Djins de Victor Hugo " Un petit voyage à deux, comme cela pour s'échapper de Paris, et profiter de ces moments, sans se dire " plus tard, on verra ! " NB un voyage aux sources de ce qui fut nous, dont l'image principale n'a pas varié... toi ( madame Gil doit être flattée ! ) J'aime cet exercice, avec ces vers de 1 à 12 pieds, qui re-dégringole jusqu'à 1 ( voir, de papipoète " l'araignée " ) toutefois sans le plus de votre poème, que vous faites d'embrasser les rimes, deux par deux ! Je présentai au moins 5 de ces poèmes que l'on nomme... a-t-il un nom ? sans succès ! vous avez réussi le vôtre, et vous en félicite ! J'aimerais bien voir plus souvent cet exercice dans ces colonnes ! |
Robot
4/1/2022
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Un moment de pose quand deux êtres se laissent aller au vent de la voilure qui les emporte. C'est exprimé avec une belle simplicité portée par la figure du calligramme qui en renforce l'expression.
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Lariviere
4/1/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour GIL,
J'ai beaucoup aimé ce calligramme dépaysant. Merci pour cette lecture et bonne continuation |
inconnu1
4/1/2022
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Gil,
j'applaudis la prise de risque, l'originalité qui fait que ce poème aurait mérité d'être dans laboniris. J'ai bien noté toute la complexité du poème car chaque vers a un pied de plus que le précédent et il n'y a pas que dans l'aspect visuel que vous avez cherché la difficulté. Par contre, je ne suis pas séduit par 2 choses, mais cela est certainement lié au cadre contraignant : -Le fait de changer de longueur de vers à chaque fois, fait qu'il n'y a plus de rythme, on lit chaque vers de manière isolé, mais cela nuit beaucoup à la musicalité de l'ensemble. - De plus, certains vers m'ont semblé forcés, "nous avons respiré" ; "Adieu Paris, vive les plages" ; "sirotant un pineau". Je dis cela mais je suis certain que je n'aurais pas fait mieux, mais je trouve que le cadre contraint nuit à l'aspect poétique. Bien à vous |
Provencao
5/1/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'ai beaucoup aimé "cette respiration " en votre calligramme si délicieusement construit.
Votre invitation au voyage , où nous nous trouvons mêlés en votre délicat mouvement, bercé par un ailleurs se crayonnant pour destination., une sublime bulle d'air. Au plaisir de vous lire Cordialement |
emilia
5/1/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un agréable calligramme où la forme et le fond sont en harmonie, à l’instar de ce duo « Toi et moi », en quête d’oxygène au vent de l’île de Ré… ; une ambiance « cosy » assurée pour le lâcher-prise et le laisser vivre (âtre/livre/pineau/moisson d’images…), avec cette chute attendrissante d’un « Toi ! » triomphant… ; merci à vous pour ce partage rafraîchissant…
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ferrandeix
5/1/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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Ces vers rhopaliques sont sympathiques, décontractés en même temps que très propres sur le plan prosodique. C'est un type de poème qui met particulièrement en relief la rime, contrairement à l'elexadrin pour lesuels - opinion personnelle - on ferait souvent mieux d'adopter des solutions d'effets homophoniques différents, privilégiant plutôt les allitérations sur des formules syntaxiques symétriques et en utilisant les rimes léonines. Bref, c'était une parenthèse. Pour revenir au poème, je dirais qu'il marie habilement le sentiment de nostalgie à l'anecdote. Cette forme de poème est cyclique en elle-même, ce que l'auteur a souligné en revenant sur le même pronom personnel. Et plus les vers sont courts, plus le contenu est mis en valeur, et chaque mot particulièrement, et plus encore évidemment le mot du monosyllabe.
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Ioledane
5/1/2022
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Je trouve cet exercice très réussi, de 1 à 12 aller-retour, avec des rimes et une histoire qui a du sens, et qui se termine de jolie manière - en toute simplicité.
Visuellement cela fonctionne bien aussi, au prix de quelques astuces. Il aurait été encore plus fort de donner à ce calligramme la forme de l'île de Ré, mais là, bon courage ;-) Mon seul regret, c'est ce "on" familier qui remplace parfois le "nous" de manière un peu dommageable. Il aurait pu aisément être évité ici par exemple : "on décidait de suivre" --> "nous décidions de suivre". A part ce détail, merci pour ce plaisir de lecture ! |
Myndie
6/1/2022
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Gil,
Eh oui, comme chacun sait, il y a toujours une belle adorée dans l’île de Ré !^^ J’ai beaucoup aimé votre poème que je perçois comme une partition, c’est-à-dire comme quelque chose qui intéresse l’oreille par sa musicalité mais qui est aussi « visible ». Ainsi, comme un musicien, vous faites vivre vos émotions. Il y a des blancs, silences, des crescendo (ou crescendi ?) et des decrescendo. Le tout porté par un bouillonnement musical (les exclamations), comme jaillissent les émotions, le bonheur d’être et de partager cette île avec la femme aimée, la nostalgie aussi. Jusqu'à l'apothéose finale, géniale combinaison de l'interrogation et de l'exclamation. Ce qui m’a beaucoup plu, c’est d’être balancée entre compréhension (tout est dit simplement) et perception (votre poésie est sensuelle au sens premier du terme : elle parle aux sens). Votre poème, par sa construction, a fait la relation entre le lisible et le sensible. C’est toute sa puissance. Merci Gil |
Myo
7/1/2022
a aimé ce texte
Bien
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Exercice de style intéressant mais même si cela a certainement demandé beaucoup de travail, je ne suis pas emballée par le poème.
Peut-être un peu trop "simple" à mon goût comme ce petit moment de bonheur à deux qui, lui par contre, gagne en intensité par sa simplicité. Mais bravo pour l'audace de l'originalité. Myo |
GiL
13/1/2022
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