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Anonyme
23/1/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
Nul doute pour moi que vous avez dû prendre du plaisir à construire ce poème. "La poésie est un jeu qui comporte des règles mais nul n'est obligé de les respecter. La poésie est un jeu qui comporte des règles et bien à nous le droit d'en inventer." Ici, vous vous êtes imposé une règle de conduite qui n'est pas simple , vu la longueur de l'acrostiche , l'auteur de la phrase ( qui mérite qu'on lui offre le verbe haut ) et le sujet dont il ne fallait pas se dérouter. Pour moi, c'est une réussite. :-) |
Anonyme
14/2/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour GilbertGossyen... "Ce qu'il y a d'enivrant dans le mauvais goût, c'est le plaisir aristocratique de déplaire."
Acrostiche parfaitement réussi ! L'incipit nous prévient, ni maudit ni poète ! Pour écrire une telle pièce en vers il faut tout de même être un tant soit peu poète... Quant à maudit je ne vois pas pourquoi vous le seriez... Vous comprendrez sans peine que je n'aurai pas ici le mauvais goût de relever les quelques défauts inhérents à la "maudite" prosodie classique... pour ne pas fournir à l'auteur ce plaisir aristocratique de déplaire que revendiquait Baudelaire. Par contre j'ai apprécié divers quatrains dont, entre autres, celui-ci. Tendrement je produis de délicats sonnets, De doux alexandrins pour faire résonner Au sein de votre cœur tout ce que je ressens. Ne m'en revient, hélas, qu'un silence blessant. Joli travail... Bravo, poète ! |
LenineBosquet
14/2/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bravo pour cette acrostiche si longue que cela a du être un véritable labeur à écrire!
De plus un fond agréable, quelques notes d'humour, bref très sympathique à lire. Merci! |
Anonyme
14/2/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Eh bien, il fallait quand même le faire ! Pas moins de soixante et onze vers pour réussir le coup. Pour plagier Alexandre (qui ne m'en voudra pas) il faut quand même être un tant soit peu poète. D'autant que ce texte est fort agréable à lire et son fond bien présent.
<< Reniflez de dédain si je me veux félibre, Étant hors de vos rets, je suis un être libre. >> Voilà une chute qui me plaît beaucoup. |
Vincendix
14/2/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Avec GG, « j’ai » de quoi lire et « j’ai » du plaisir à lire.
Une fois encore un superbe exercice autant pas sa densité, sa forme et son sujet. « Mets délicats au lieu d’ordures bien choisies ». J’adhère à cette formule. Plus me plaît le sonnet qu’écrivait nos aïeux, Que le vers discourtois, le mot disgracieux, Plus que l’amphigouri me plaît la phrase fine ; Plus ces alexandrins que le laid baratin, Plus le joli tercet que le jargon crétin, Plus que le pataquès, le français d’origine. |
Anonyme
14/2/2016
a aimé ce texte
Passionnément
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Bonjour !
Bravo ! Comment ça j'ai mauvais goût ? :)) J'aime et je le dis ...bon je ne vais pas m'attarder sur l'acrostiche nous avons tous vu le travail effectué à partir de là La façon dont est mené le texte , à la fois les interrogations de l'auteur sur sa poésie , la valeur de ce qu'il écrit ...et puis tout à coup cette petite voix ( comme une conscience ) qui le dénigre , le rabaisse, l'humilie , nous prend à témoin "Lisez cette bouillie ......Affligeant rimailleur" Cette lecture a été un moment de pur bonheur "Tendrement je produis de délicats sonnets, De doux alexandrins pour faire résonner" mais oui c'est beau j'ai envie de dire à cette peste de petite voix ! Un face à face jubilatoire ! Quel talent Il y a tellement de perles à citer ....que ce serait trop long ! Un grand merci |
Cristale
15/2/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour gilbertGossyen,
Voici un acrostiche qui n'a pas eu l'heur de me déplaire par quelque mauvais goût, bien au contraire. Tout a été dit alors je me contenterai d'exprimer mon admiration pour ce poème dont l'écriture malicieuse "sort des sentiers battus" sans faiblir et avec grand panache. Beau travail ! Bravo ! Au plaisir de vous relire, Cristale |
Pouet
17/2/2016
a aimé ce texte
Bien
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J'ai lu cet assez long poème sans ennui. C'est bien écrit.
Je me suis demandé qui étaient raillés ici, les "gardiens du temple" ou "l'être libre"? Les deux je pense. Ainsi je n'ai pas pris le texte comme un réquisitoire contre les règles classiques mais "contre" le Poète en général. Je me suis un peu étonné que le "rimailleur naïf et non conforme" écrive "de délicats sonnets, de doux alexandrins", ça ne m'évoque guère la rébellion... Mais peut-être n'ai-je rien compris en définitive. Quant à l'incipit il m'a paru plutôt relever de la fausse modestie. Je ne comprends pas, que faut-il écrire selon vous pour se considérer comme poète? Des poèmes non? Et c'est ce que vous faites, et plutôt bien. Comme pour se considérer ébéniste il faut faire des meubles...Donc cette phrase de présentation ne m'a pas convaincu. Cela m'a donné l'impression que vous aviez écrit cela pour qu'on vous dise "mais si voyons vous êtes un poète!" C'est d'ailleurs le cas dans les commentaires. Du coup c'est l'incipit que j'ai trouvé de "mauvais goût". Sur le fond donc, je reste dans l'expectative. Cela n'en reste pas moins un poème de bonne facture à mon sens. |
Anonyme
18/2/2016
a aimé ce texte
Bien
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Poème vraiment bien construit à la Baudelaire, on ne risque évidemment pas de se tromper, encore faut-il y arriver.
Merci du plaidoyer pour les exilés, comme moi, en toute humilité. Quelques mots très convenants pour faire plaisir à la galerie des us et convenances. Peut-être un certain sentiment de supériorité dans tout ce petit monde de l'écriture? Quoiqu'il en soit, j'aime bien. |
Anonyme
18/2/2016
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J'ai oublié de préciser une petite phrase "un peu ironique", l'important, c'est de participer. N'y voyer pas de mal.
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StayinOliv
19/2/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
Votre poème a le mérite d'être très bien construit, riche, long et fort bien écrit. Le thème m'a plu, la chute aussi. J'imagine qu'il n'a pas dû être facile à mettre en place, et que vous avez dû en tourner et retourner des mots pour que tout s'imbrique ! Olivier |
Anonyme
23/2/2016
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour
Très bien écrit (et encore pas mal de subtilités m'échappent), et bien amusant, ce poème, sur le sujet du poète "maudit" et de la poésie dans son rapport entre lecteur (public) et auteur. Existe-t-il encore des poètes maudits et d’autres ou les mêmes qui fassent (ou pensent à) des carrières ou bien comme je le pense c’est de l’histoire ancienne. J’ai relevé quelques idées intéressantes comme la référence à la liberté de la fin et le besoin d’amour du poète. Le poète maudit serait-il juste un homme en manque de reconnaissance et d’affection – comme beaucoup d’autres – mais doué pour l’écriture. Surtout un solitaire avec tout ce que ça comporte de vacuité mal assumée, alors il dérive en poétisant, ou dévide des vers, comme pour conjurer l’angoisse de l’absence de l’autre (c’est-à-dire un peu de lui-même puisqu’on ne saurait exister (se définir) sans cette référence). Mais que l’autre arrive et la malédiction fond, alors le poète maudit devient peut-être un poète heureux, mais alors quid de sa liberté de se tenir hors des rets, et de l’envie (besoin) d’écrire ? À vous relire |