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tigerlineh
22/3/2007
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J'ai bien aimé... Tu m'a fait perdre mes mots.
Ce que tu disais parfois cru, ne le laissait pas paraître, floué par la beauté du reste. |
Anonyme
22/3/2007
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Aie aie aie
Je vois trop bien ou l'on veut en venir, mais malheureusement je ne crois pas que cela tienne bien longtemps, ce n'est que mon avis... |
philippe
25/3/2007
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marsu a un avis très complet là dessus et très 5 eme degré
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mangecoeur
29/3/2007
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Magnifique poème...
Cruel et déchiré certes... Mais d'une noire beauté indeniable. Suscite l'interrogation : L'auteur joue t'il simplement de la plume ou ressent-il profondément les mots qu'il écrit ? Que penser de cette Eve sulfureuse dont il nous parle.. Une femme en particulier ou une personnification de la femme telle qu'il la concoit... à méditer ! |
Marsupilmi
31/3/2007
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Un certain talent dans la juxtaposition des mots, exprimant globalement une rage d'ado attardé devant les horreurs du monde.
Madame serait dans ce texte métaphore des ONG ou si vous préférez de leurs dirigeantes. Les deux derniers vers sont le seul passage qui me gène, imposant une vision sexiste de tout l'ensemble ("vous êtes trop connes pour comprendre et compatir à l'horreur du monde") Mais on peut dépasser ce stade de répulsion en admettant que "madame" est une personne morale et non physique. Remplacez "madame" par "charité" ou bien "compassion", deux vocables féminins emblèmes de la morale chrétienne, laquelle pourrait alors être en fait la vraie cible de l'auteur. |
Anonyme
31/3/2007
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Analyse interessante en 5 eme degré, mais remplacer MADAME par des valeurs JUDEO-CHRETIENNE : je continue à trouver cela genant. Echanger le contexte par une cible genre dirigeante des ONG ? pas mieux, un ado attardé ? peut-etre ado...
Ce texte il a valeur de défouloire et de refouloire, je me lache au monde, je regle mes comptes : la seule chose de vraiment plausible. C'est une des differences entre l'homme et l'animal : l'homme a toujours le choix de ses actes quels qu'ils soient. De ce fait nous générons notre bonheur ou notre souffrance, et par la nos paroles et nos ecrits. |
jensairien
15/10/2007
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un poème étrange et inquiétant, ces femmes déchirées, un retour aux sources peut-êre ... le cri d'un fétus ? j'en sais rien ...
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Absolue
15/10/2007
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C'est...spécial...
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Pattie
10/9/2008
a aimé ce texte
Passionnément ↓
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J'adore cette montée (descente ?) en crescendo, ce poème qui a l'air d'encenser au début et qui piétine. Maîtrisé, dosé, drôle et affreux à la fois.
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tchouang
6/4/2013
a aimé ce texte
Pas ↑
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bonjour. thématique extrèmement convenue, banalité du lexique, pauvreté de l'expression. cela ressemble à du sous sous-baudelaire.
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Anonyme
1/6/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Ce "Madame", qui claque, gifle, interpelle, égratigne ...
Mais quoi en faire, il y a de la violence tant tous ces mots-là, ils crachent ce flot imposant, c'est un verbiage qui se veut provocant pour énoncer et dénoncer. Surprenant aussi ce texte qui jongle au travers d'abord ce "je vous veux" marquant comme un certain respect puis l'on passe à ce "je te veux", plus familier, plus mordant. Un texte d'une grande intensité, poignant à sa manière qui m'a insisté sur plusieurs relectures, je ne suis pas sortie indemne de ce discours qui dit sans dire. |