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dom1
7/8/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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La perte relationnelle avec le monde, lorsqu'elle se présente, est bien rendue ici avec la dernière adresse, la plus singulière d'entre elles.
L'emménagement ultime. Parfois, de cendres elle est sagement pourvue... |
Johannes
18/8/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Cette poésie sur la disparition est à la fois étrange et belle. Je n’ai certainement pas tout compris, mais il ne me semble pas que l’auteur ait voulu laisser un message clair et précis.
L’essentiel, c’est l’ambiance poétique qui se dégage de l’ensemble. Le vers le plus énigmatique pour moi est le dernier : « Adviendra l’improbable et serein temps du sage ». C’est sans doute parce que ma vision du monde est fondamentalement différente de celle de l’auteur. Je vous remercie pour ce poème. |
Anonyme
18/8/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Le sujet est abordé ici avec finesse et discrétion. le titre est bien associé aux effets pernicieux de cette maladie (j'ai soupçonné un Alzheimer- ?)
" De controverses, collatéral préjudice, Il n'est plus question mais infailliblement Je m'emploierai à vous écouter, seul office, Qui soit permis… où je me repose à présent." |
papipoete
18/8/2016
a aimé ce texte
Bien
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bonjour GillesPR,
Si je ne m'abuse, ce texte fut présenté par le passé ? Sans doute refusé alors, le voici qui parait et j'en suis heureux pour l'auteur ! Une façon originale de nous parler d'outre-tombe où désormais réside le héros . Comme il m'arrive de le faire moi-même, pourquoi ne pas faire un petit saut dans ce parc toujours fleuri ( même en roses de plastic chinois ), et faire la causette avec qui échut ici ? Mais quand aux allées de gravier, la sépulture écroulée aux gravures effacées par le temps, il ne paraitra bientôt plus rien, on dira sans chagrin << cet homme a vécu, advienne que pourra ... >> édit ; plus tard je m'aperçois, navré de ma bévue, que ce poème est une suite à un précédent ? |
MissNeko
12/10/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Est ce la mort dont vous parlez ou un état psychiatrique / neurologique tel qu il est impossible de dialoguer ?
Au bout du compte c est la même chose ... La perte de la relation avec le monde sensoriel. Votre poème est bien écrit et ce dur un bon moment de lecture. Édit : il y a deux strophes identiques à votre précédent poème "changement d adresse " Est ce ici une suite ou plutôt une autre mouture de votre premier poème ? |
Anonyme
22/8/2016
a aimé ce texte
Passionnément
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Bonjour,
Magnifique évocation de la dernière demeure vue cette fois, et c'est rare, du côté du défunt. Magnifique car rien ne blesse la lecture, pas de larme inutile, de regret morne, d'envieuse mélancolie. " Temps suspendu par nos croyances partagées, En vos actes même je me sais prolongé. À tout jamais, unique éternité humaine Sensible, en ce monde d'éphémères hymens" Ce passage est d'une grande vérité. Bravo pour ce point de vue original où le défunt veut par la vie de l'autre exister encore un peu. Après une courte visite dans un célèbre cimetière parisien, je retrouve bien là ce que j'ai pu ressentir en me recueillant sur les pierres tombales. Vos vers sont sobres et justes, d'une grande délicatesse. A vous relire avec grand intérêt. |
FABIO
14/9/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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trés beau, des vers qui claquent avec un tintement délicat.
une belle plume, un peu vague parfois mais qui se rue a la tache. |