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papipoete
1/3/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
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il pleut ce jour, et votre poème réchauffe corps et coeur au soleil d'un Eté trop chaud?
Sous la voûte des platanes, je m'assoirais volontiers à vos côtés , sans penser à rien; juste jouir d'un instant de plénitude où ne parlent que les feuilles agitées par une infime brise. Des vers doux, onctueux que trouble à peine un lézard dans sa fuite. Mon bémol récurent concerne la ponctuation absente; cela ne sert pas la lecture et la voix hésite à placer le ton. |
Robot
12/3/2015
a aimé ce texte
Bien
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Les lézards qui virgulent, viennent conclure de façon originale un beau texte emplis d'images qu'il m'a été très agréable de lire. Je regrette que vous n'ayez pas fait l'effort de ponctuer en laissant au lecteur la recherche de son souffle.
Je ne crois pas que votre texte soit de ceux ou l'absence de ponctuation apporte un plus et il est souvent utile de connaître le rythme sur lequel l'auteur a construit son poème. Ici, cette indication me manque. Par exemple le texte ne dit pas la même chose : si on lit ainsi: "Le murmure des arbres se déploie Et chute Lourd et libre Sur les dalles hallucinées" ou ce cette manière: Sur les dalles hallucinées L'inquiétude gagne L'indécise lueur Qui s'arrime à son tour Aux ondes de torpeur ou bien Aux ondes de torpeur L'antre gourmand gobe Mes pensées alourdies |
RebeccaVogel
12/3/2015
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Bonjour Glup ,
Je n'ai pas vraiment cerné votre poème , je trouve qu'il y manque quelque chose ... J'ai aussi du mal à comprendre la concordance du titre avec le poème ... Je suis désolée mais pour ma part , même si ce n'est pas mauvais , je ne vois qu'une description sans émotions . J'aurais aimé voir un peu plus de ces sentiments dont vous parlez dans le titre . |
Michel64
12/3/2015
a aimé ce texte
Bien
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J'imagine bien la scène. La chaleur étouffante, assis sous les arbres, à deux doigts de tomber dans le sommeil d'une sieste.
C'est ici dit très poétiquement. Quelques images me laissent perplexe, comme : "Sur les dalles hallucinées" ou "Virgulent à nouveau la nature repue" mais l'ensemble m'a bien plu. |
Pussicat
13/3/2015
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Bonjour glup,
l'introduction qui précède le titre m'a aidée à entrer dans votre texte, je vous l'avoue. J'aime bien l'ambiance qui s'en dégage malgré quelques images farfelues, mots, je ne sais comment dire... que viennent faire ces "elfes" sur la place d'un village ? pourquoi ces dalles sont-elles "hallucinées" ? il me manque du lien... l'épithète "feuillue" n'est peut-être pas obligatoire... cela fait pléonasme. "Le spectacle incongru Du poète sans songe" Là, je reste dubitative... le poëte aurait-il la tête toujours pleine ? le repos lui serait-il interdit ? ne serait-il pas un homme de ce monde qui dort, mange, boit, rêve et doute... n'écrit pas... et ne songe pas... ? "L'antre gourmand gobe Mes pensées alourdies Et m'entraîne" Je pensais que le poëte allait sans "songe", le voici avec des "pensées alourdies"... ? La dernière strophe m'a posée question. Pourquoi "dehors". Le poëte est "dehors" sur la place du village, sous la "cathédrale feuillue"... qu'il y a t-il de changé ? Le poëte a t-il été mangé par le décor, par cette nature, la regarde t-il maintenant d'un oeil intérieur ? J'aime bien : "...quelques lézards Virgulent...", pour l'image. "Dehors quelques lézards Virgulent à nouveau la nature repue Qui digère béate Mes doutes et mon tourment" Un texte qui se laisse lire et offre au lecteur le souvenir de ces journées étouffantes. Une aération du texte aurait peut-être soulagé la lecture, ou du moinsse... je ne sais pas, moi je le vois en strophes ce texte. à bientôt de vous lire ps/ je profite de "l'édition" pour vous demander ce que viennent faire les sentiments dans ce titre ? |
Anonyme
14/3/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Le poème commence 'célestement' (cathédrale feuillue/voûte audacieuse), et s'achève prosaïquement, parmi 'quelques lézards' et une 'nature repue qui digère béate'.
C'est une chute intérieure vertigineuse prenant la nature à témoin, et la faisant même participer. J'aime beaucoup la construction de votre poème , et le juste dosage des tourments que vous y mettez, tomber si brusquement ne permettant pas de s'étendre, si je puis dire. Merci à vous |
AnneMariesquieu
23/3/2015
a aimé ce texte
Bien
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La dernière strophe m'a transportée au pays de Apollinaire ou de Baudelaire...merci pour ces quatre très beaux vers .
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Anonyme
17/12/2016
a aimé ce texte
Pas
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Je n'ai pas trop vu le rapport entre le titre et le sujet du texte, "canicule" sans doute, "des sentiments", je reste dubitatif.
Je vois plus ici dans ce texte la description d'un moment d'observation "rêveuse". Là, encore la ponctuation fait cruellement défaut, d'où sans doute ces retours à la ligne, pas toujours compréhensibles, il faut bien qu'une intonation vienne de quelque part, mais le rythme n'y est pas, même après plusieurs lectures. "j'offre aux Elfes Ébahis" "Et chute Lourd et libre" Pas de ressenti s'offre à moi dans ce poème, rien que des images qui se succèdent trop communes. |