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Robot
17/3/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Les "octo" donnent au texte un rythme rapide qui convient bien à ce sentiment angoissant des images accélérées qui peuplent les cauchemars. Le temps arpenté entraîne, bouscule, essouffle et convulse et conduit au bord du gouffre. Un texte dynamique.
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Myndie
18/3/2015
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Ce poème navigue entre le bon et le moins bon, entre l’original et les poncifs, l’imagé et l’insipide.
Malgré un départ prometteur (j’ai bien aimé notamment « je tisse le velours noir des peurs et des pleurs » « Récoltant sur vos fronts un sel fiévreux d’effroi »), les strophes suivantes semblent un assemblage de lieux-communs. Les derniers vers sauvent la mise en apportant un peu plus de personnalité mais cela ne suffit pas à atténuer l’impression que ce poème manque de souffle et d’émotion. Il est perfectible toutefois. |
Anonyme
21/3/2015
a aimé ce texte
Vraiment pas
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Non, non et non, vous ne procédez à rien, vous ne brisez pas nos raisons, vous n'êtes pas souverain.
Il manque la suggestion, le "défaut" dû au ressenti, le suggéré... |
LeopoldPartisan
25/3/2015
a aimé ce texte
Pas
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le titre devrait pour être vraiment percutant: "je veux être votre pire cauchemar". Pour l'ensemble je dirais personnellement que c'est pour le moins tiède. A chacun ses peurs, ses angoisses...
L'auteur énumère ce qui peut être l'effraie, mais ce n'est qu'une liste de ce qu'il a dans son catalogue : personnellement pour me faire peur j'aimerais savoir par exemple, comme il va s'y prendre pour que son art brise ma raison au point d'amener mon esprit au bord du précipice ??? Comment va-t-il coaguler mes sordides angoisses pour les relier un instant au vertige de l'abîme... Des mots que tout cela... désolé, je n'y crois pas une seconde et c'est bien dommage... |
Agueev
4/4/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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C'est une thème qui me plait. Les émotions sont bien décrites et reflètent les angoisses du cauchemar que l'on vit même parfois éveillé...
Le rythme est rapide comme le souffle de l'effroi et certains vers sont très jolis comme : "Dans les parfums cuivrés et dans l'ombre des fleurs, Je tisse le velours", "Dans ce monde visqueux, Éphémère et troublé, J'amalgame vos craintes En un pâton de doutes", "Et là, se coagulent Vos sordides angoisses Reliant un instant, Au vertige, l'abîme, Et aux rêves, vos destins" Un poème noir qui change enfin des thèmes récurant sur la mer, les SDF et autres poncifs du "Vivre ensemble". |
Anonyme
4/4/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Quel cauchemar !
Des images angoissantes qui se coagulent, brisant notre raison à nous faire basculer dans l'irréalité. Angoisse constante et omniprésente déformant notre rêve jusqu'à l'ultime vertige, nous plongeant corps et âme dans l'immense précipice du temps. Très bien décrit, pour ma part. |
Melusine
4/4/2015
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Godetia,
C'est avec délectation que l'on se laisse prendre dans les tourments de ce cauchemar là. Je trouve l'ensemble bien construit et maîtrisé. J'ai beaucoup aimé : "un souffle alors suffit à vous faire basculer dans le vide troublé de ma réalité" un peu moins cela : "tels un aigle, une flèche, un regard, une étoile je perçois les élans et les heurts de vos nuits" |
Anonyme
6/4/2015
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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Ce commentaire est inutile car je trouve tout ce poème tout simplement parfait. Gros coup de cœur.
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