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papipoete
12/2/2015
a aimé ce texte
Pas
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bonjour godetia; une analyse anatomique de deux corps, dont l'auteur me pardonnera de ne pas saisir l'âme de sa prose?
Je retiens seulement que le héros à la fin, bien que son image ne tienne plus sur la face du miroir, se trouve toujours beau gosse, et sent battre son coeur. |
Robot
20/2/2015
a aimé ce texte
Passionnément
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Franchement, je regrette que ce texte court mais passionné n'ait pas reçu plus de visites et plus de commentaires. Je lui trouve une force et une éloquence qui sort de l'ordinaire.
La phrase d'introduction est intense, les images de la prose hors du commun. De la véritable prose poétique qui nous change des sempiternelles descriptions et jérémiades que le genre suscite parfois. "Peau de pomme, peau d'homme, peau d'obèse, mon corps aurait-il brisé jusqu'à mon âme ?" Voilà le genre d'expression qui marque un texte véritablement poétique. Dans ce genre difficile c'est une réussite. |
Anonyme
20/2/2015
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Bonjour godetia
J'ai flashé sur ce texte très fort, dérangeant, qui sort radicalement des sentiers battus de la pouésie "poétique". "... mon âme n'a pas pris le moindre gramme, et ce corps par trop épanoui, débordant, renferme toujours un beau gosse et un cœur qui s'ébat." Ce poème en prose est vraiment digne de cette appellation. Bravo |
Anonyme
20/2/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Tizef et Robot ont parfaitement raison : étonnant que ce texte d'une très belle facture et dans une forme vraiment actuelle qui provoque tant en soi ne trouve que mutismes au pluriel. Dommage mais en même temps je vous souhaite du courage et de ne pas désemparer : vous écrivez bien et au coeur de la poésie.
Continuez surtout, vous êtes trop rare. Merci. |
boudune
2/6/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'aime infiniment lire des textes où les limites sont reculées, où les images sont fortes, négatives, puissantes aussi. En écho me reviennent certains passages des "chants de Maldoror", ce "j'ai reçu la vie comme une blessure et je n'ai pas permis au suicide d'en guérir la cicactrice". Ce (ces) corps disséqués jusqu'à l'âme éclatent en mots-rasoirs, et ça bahute.
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