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ristretto
23/6/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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Comment une existence
Peut-elle ainsi tenir Entre vide et absence Sans lieu où revenir merci gorgonzola, c'est un superbe poème un cri d'amour à bientôt |
Melenea
24/6/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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On se laisse emporter par le rythme des mots, la fluidité du texte et on rebondit sur les derniers vers...
un baume... Mél |
David
25/6/2008
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Gorgonzola,
J'ai bien aimé, j'ai trouvé le poême trés musical. Il y a un passage que je n'ai pas bien compris, c'est le dernier vers de : "Renaître de mes cendres Auprès de cet enfer Et loin de ce tout, tendre Et beau foyer d’hiver ? Je ne comprend pas le dernier "Et", j'ai pensé à une faute de frappe (pour un "En", voire un "Au" ?) |
Anonyme
25/6/2008
a aimé ce texte
Bien
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Très bien rythmé. Un fond touchant et intelligemment dit. J'ai bien aimé. Je regrette un peu le manque de "recherche" des rimes parfois.
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clementine
25/6/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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Un bon rythme et des mots qui coulent faciles et bondissants.
Un message clair. J'ai bien aimé la musique des vers. |
Anonyme
26/6/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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Mais c'est magnifique !
Je crois qu'aujourd'hui est un bon jour : 3 poésies que je lis à la suite, toutes trois très bonnes. Vraiment agréable de te lire, gorgonzola. Musical, entraînant, triste, mélancolique, vrai, vivant, abandonné, errance, malheur, espoir ; tout se ressent dans ce texte. Je crois que tout se résume en ceci : BRAVO ! |
Anonyme
13/12/2016
a aimé ce texte
Un peu
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Dans ma lecture , j'ai buté sur :
" Un enfant que l’on a Arraché à sa terre, " La coupure est maladroite. " Je n’entends que le vent Qui trompe mon ouïe " Pas très joli à l'oreille " que, qui" " Auprès de cet enfer Et loin de ce tout, tendre Et beau foyer d’hiver ? " Ce n'est pas très clair ... De plus il y a des petits mots trop souvent répétés comme : - "et" rien que 9 - " qui, que, qu'" rien que 11 Je n'aime pas vraiment ces répétitions : - " De mes jours de reclus, Ces jours où se devine " " Je n’entends plus le chant. Chant d’amour, chant de vie " " Et tel un enfant sans mère, Un enfant que l’on a " Mais comment ne dépendre " " Comment respirer l’air ? " " Comment une existence" Un texte plus concis, un peu moins long aurait peut-être pu éviter ces petits désagréments, qui nuisent au thème très intéressant, profond, ici proposé au lecteur. |