|
|
Gabrielle
10/1/2020
a aimé ce texte
Bien
|
Un spectacle qui éveille de l'intérêt...
Le décor, ici, est fait de la Nature qui vit et chante au gré du temps. Le lecteur se laisse volontiers entraîner dans la contemplation... Quelle réussite ce théâtre aux petits poi(d)s ! Bien à vous. |
Anonyme
22/1/2020
a aimé ce texte
Un peu
|
Bonjour,
Le titre m'a attirée pour son originalité, il reprend un des premiers sens du mot théâtre : lieu d'où l'on voit. J 'ai bien aimé la première strophe et le passage " mouvements fins / inaperçus / passant pour rien / un oiseau" mais certains passages du texte me restent obscurs : " pour les attacher" à qui renvoie le pronom "les" ? La structure de la phrase de la dernière strophe me résiste; et Je n'ai pas bien saisi qui parle. |
Vincente
22/1/2020
a aimé ce texte
Un peu ↑
|
L'exergue annonce gentiment la lecture, le titre nous place d'emblée dans le conte enfantin, la poésie va donc être l'invité première, tant mieux, allons-y !
L'adresse à l'esprit "enfantin", du jeune ou de l'adulte, questionne dès la première strophe. L'enfant imaginera peut-être un dérivatif qui lui permettra de patienter avant les strophes suivantes, l'adulte non. Dès le vers 3 avec ses " poutres en vrille" qui "retiennent le poids / de la scène qui annonce l'aoûtement"… Glurps!!! Pas facile à avaler… "Les poutres" attaquées par les "vrillettes", oui d'accord, mais de là à les qualifier de "poutres en vrille" (les multiples vrillettes doivent former une vrille, ou ce doit être ça !?!). Dans la deuxième strophe, le parcours reprend un cours plus "normal" bien que très onirique. Dans le v8, le "artistes" pourrait être supprimé, il l'allégerait. Jusqu'à l'avant-dernière strophe, l'évocation est sympathique dans le regard, plutôt originale, comme appréciable dans la formulation . Par contre, dans la dernière strophe et le dernier vers isolé comme un aphorisme, dispensable d'ailleurs pour moi, je ne comprends ni la construction syntaxique ni l'intention qui devrait en découler et ainsi donner à la narration sa raison. Désolé, mais la fin a été pour moi un égarement. Dommage, l'intention globale était bien affriolante. |
Provencao
22/1/2020
a aimé ce texte
Un peu
|
Ce théâtre des petits pois, ne m'a pas réellement convaincue. C'est fort dommage car je le trouvais très sympa ce titre et j'en espérais plus de sensibilité.
Une sensibilité qui se serait élargie à chaque détail du spectacle qu'offre la nature, y compris les petits pois... je n'ai pas retrouvé le jeu esthétique de ce théâtre qui aurait pu prendre tout son sens. Au plaisir de vous lire Cordialement |
STEPHANIE90
23/1/2020
a aimé ce texte
Un peu ↑
|
Bonjour,
Le théâtre des petits pois m’appâte pour la lecture. Un ensemble dans un style fabulette que j'apprécie, mais qui malgré le scénario plutôt sympathique m'a laissé sur la réserve. Votre volonté de faire des assonances à chaque fin de vers, mais avec un nombre de pieds qui passent de 8 à 11 voir 12 à la fin de la première strophe est pesant. Un découpage encore plus libre pour bien marqué le poids de chaque mot me semblerai mieux adapté à ce poème qu'il faudrait retravailler sur le fond et la forme. Je n'ai vraiment pas aimé la tournure de l'avant dernier vers, quand au dernier vers si long contrairement à ce qu'il veut bien nous raconter, et qui est déjà raconté avant, il n'est pour moi d'aucune utilité. Un tout à retravailler. Le conte est charmant malgré tout avec cette mise en scène des petits pois et de ces voisins compères. Merci pour cette lecture et hop un petit tour sur l'établi, ne jetez pas la plume... de l'oiseau volant trop vite et trop haut. Stéphanie |