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StayinOliv
25/3/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Je n'ai pas compris et normalement je déteste ça, mais vos vers m'ont porté vers votre fin de nuit et j'ai ressenti la même angoisse que votre narrateur. Si c'était le but c'est réussi !
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Anonyme
31/3/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Le gros souci de ce texte, à mon sens, est la longueur des vers: le vocabulaire étant riche, il y a rapidement une sensation de lourdeur (qui peut se comprendre dans le contexte de cette insomnie) qui tourne à l'ennui.
C'est dommage parce qu'il y a des trouvailles superbes: "fluorescence...saigner", "les bleus...labours" Je pense que ce texte gagnerait à être plus "léger" pour faciliter la lecture. |
Curwwod
1/4/2016
a aimé ce texte
Pas
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Qui n'a pas connu cette expérience de nuits angoissées qui laissent au réveil une impression de malaise. Mais pourquoi donc faut-il que cela soit exprimé d'une façon aussi artificielle, où l'obscurité du propos dans lequel on ne ressent guère la sincérité et l'émotion qui pourraient toucher le lecteur ne se manifestent? Certains aimeront sans doute, pas moi.
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leni
17/4/2016
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je n'ai rien ressenti à la lecture de ce texte qui me parait assez alambiqué J'attendais des mots plus simples pour parler de l'angoisse
de fin de nuit Désolé Salut cordial Leni |
lala
17/4/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour gujot,
Votre texte, tant sur le fond que sur la forme, décrit finement les fins de nuit. Le jour approche mais l'angoisse perdure si le sommeil n'a pas été suffisant. La raison était là mais n'a rien pu faire, des méandres, des impasses, des labyrinthes ont occupé le temps et gagné le combat. Vos phrases rugueuses, le rythme chaotique, le vocabulaire parfois recherché, restituent bien ces parcours nocturnes qui s'imposent à nous dans un semi éveil. |
Robot
17/4/2016
a aimé ce texte
Un peu
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J'aurais aimé que ce texte me communique et me fasse partager cette angoisse. J'ai lu des phrases bien écrites mais l'absence de simplicité du ressenti ont empêché que j'en sois imprégné. Cette angoisse est restée celle d'un autre et n'est pas devenue la mienne.
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Alcirion
17/4/2016
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Il est possible que je ne saisisse pas les images, mais il y a une volonté d'obscurité un peu décourageante pour le lecteur. Néanmoins, par solidarité d'insomniaque, je vous apporte ma bienveillance : il y a là un filon prodigieux, mais il est très difficile de rendre les idées étranges qui viennent parfois à trois heures du matin (les miennes feraient fuir les passants...)
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Anonyme
1/6/2016
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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Je connais fort bien "l'angoisse d'une fin de nuit", tous ces symptômes que les insomniaques connaissent, sont là décrits, bien sûr vous nous les formulez à votre manière, avec complexité, c'est un peu tortueux, mais pour les torturés de l'insomnie que nous sommes, il faut bien des mots comme ceux-là :
- " Dans les palpitations d’hypothèses " - " Dans l’angle obtus des murmures porteurs " Et puis : " En un chapelet de minutes fécondes arrive l’heure butoir. " Il me faudrait citer le texte en son entier, je reconnais quand même qu'il m'aura fallu plusieurs lectures et puis prendre un peu de recul, pour mieux entrer dans votre écrit, devant plus parlant je l'ai pleinement apprécié. |