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David
17/11/2008
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bonjour Gwynplaine,
"Alors, aux soirs de lassitude Tout en peuplant sa solitude Des fantômes du souvenir On pleure les lèvres absentes De toutes ces belles passantes Que l'on n'a pas su retenir" C'est la fin d'un poème d'Antoine POL, chanté par Brassens : "Les passantes". La tienne est singulière et la musique jolie, il doit y avoir une morale à ces deux histoires... |
Anonyme
17/11/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Ha les passantes! Un rêve si souvent inaccessible!
J'ai aimé ce texte. L'écriture est belle, le style alerte, l'idée très bonne! Pourquoi bouder son plaisir? Le mien est grand en tous les cas! |
Anonyme
17/11/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'aime ! Apparition évanescente qui laisse songeur le rimailleur. Impressions que je connais.
C'est assez habile dans l'exécution. J'aime aussi beaucoup votre pseudo hugolien, tiré de mon roman préféré du Maître. |
Anonyme
18/11/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Vraiment, j'ai beaucoup aimé.
Bravo pour le choix de la longueur des vers; un peu déroutant au début, mais tellement original et loin des sentiers battus et rebattus! Et puis, le choix du vocabulaire...Comme quoi, avec des mots de tous les jours, on fait de la poésie qui envoûte! |
Anonyme
22/11/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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Comme dit Graoully, je trouve que c'est écrit habilement...
Le rythme particulier et les rimes sont ce qui me charment le plus dans ce poème... le thème n'en est pas moins charmant. "Un éclair... puis la nuit ! - Fugitive beauté, Dont le regard m'a fait soudainement renaître" Ne te verrai-je plus que dans l'éternité ? Ailleurs, bien loin d'ici ! Trop tard ! Jamais, peut-être !" Bravo ! |
Leyng
6/12/2008
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour!
J'ai bien aimé dans l'ensemble ton poème. Par contre, la rime "ridicule/nul" et le terme "attractives" me semblent peu heureux... |
Anonyme
19/12/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Il y a un bien joli rythme, je me suis laissé prendre, en faisant plusieurs lectures de cet écrit. Pas trop mal rendu, cette envie de ce semblant de se "rebeller" face à l’irrésistible attraction que provoque parfois l'inconnu, cette magie d'un moment fugace.
Je me souviens, d'un visage, d'un parfum, d'un regard rapide échangé qui se sont gravés à jamais dans ma mémoire, il faut l'avoir vécu pour mieux comprendre tout le pouvoir déroutant qu'une telle rencontre produit. C'est comme un mirage persistant. une impression vaporeuse bien troublante, elle attire, elle subjugue, et désarme. J'aime comme "claironne" ce "Non, je ne suivrai pas...", bien faible est la volonté face à pareille tentation, bien retranscrit cet événement tant par le fond que par la forme. |