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Robot
25/2/2023
trouve l'écriture
convenable
et
aime bien
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Une belle évocation d'amour maternel. le second quatrain est mon préféré. Le dernier vers est émouvant.
Du point de vue structure, le classique n'est pas respecté. Sourcils/cils est redondant. Les alternances rimes masculines/féminines entre les quatrains ne sont pas respectées. La rime ou/genoux est insuffisante. Un bon texte contemporain cependant. Robot |
Miguel
27/2/2023
trouve l'écriture
convenable
et
aime bien
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Il y a quelques alexandrins dont le manque de césure gêne la lecture. Il y a de belles images, et d'autres moins claires (vers 3-4 : on a du mal à imaginer la scène). Le contour d'une princesse est-i semblable aux lèvres de la destinataire ? Là non plus ce n'est pas très heureux. Mais enfin il y a le reste, de douces sonorités, une sensualité tendre, et un dernier vers tout à fait charmant.
Miguel, en EL |
Anonyme
6/3/2023
trouve l'écriture
convenable
et
aime bien
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Le dernier vers, à mes yeux, est « plein » d'un charme pataud qui m'attendrit comme un chaton mal assuré sur ses pattes s'aventurant pour la première fois hors du bout de serviette natal.
C'est un peu l'impression générale que me laisse votre poème, celle d'une sincérité candide, fraîche. Je vous prie de m'excuser si je vous parais condescendante, il est vrai que j'avance en âge, que j'ai beaucoup lu et que je me laisse rarement surprendre. Pourtant, en lisant vos vers, j'ai l'impression de ne pas savoir ce qui m'attend d'un mot à l'autre : déplace/Une mèche, ah oui, c'est logique mais je le découvre ; ah tiens, gêne où rime avec genoux, on peut embrasser une pointe de cils ? J'ignore si tel est l'effet que vous recherchiez, cette espèce de trébuchement permanent qui me laisse le sentiment d'assister à des premiers pas, en tout cas j'en retire une impression douce, agréable. Un bémol sur la rime sourcils/cils entre deux mots de même racine. |
fanny
6/3/2023
trouve l'écriture
convenable
et
aime un peu
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Un joli poème qui retient par sa tendresse mais dont plusieurs vers accrochent à la lecture par défaut de césure ou répétition de son, c'est peut-être fait exprès pour dépeindre une forme de douceur mais pour moi cela manque de fluidité ; ceci dit je ne suis pas une experte et je ne peux vous blâmer.
Je suis surtout séduite par le dernier vers qui m'a fait craquer. Bienvenue Hadriel. |
papipoete
6/3/2023
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Modéré : Remise en cause des choix éditoriaux.
Bonjour Hadriel je viens vous dire ( différemment ) le plaisir que j'eus à lire ce si beau poème ! Comme regarder la photo d'un enfant devenu grand... parti loin du coeur, loin des mains d'une maman qui débordait d'amour, pour sa fille et occasionnellement peut à nouveau, caresser ces cheveux, le contour de ces lèvres, être si heureuse, tout simplement. NB je fus papa/maman par la force des choses, papi aussi et faire nattes et couettes me renvoie à cette époque bénie, où ma fille, ma petite-fille me rendaient si heureux ! Vous avez su à travers un vocabulaire tout simple, écrire de si beaux vers, comme je les aime ! Des dodécasyllabes néo-classiques, avec mon bémol récurrent pour l'enjambement que je ne prise pas ( 9e vers ) mais une paille dans la moisson de si tendres mots ! |
Edgard
6/3/2023
trouve l'écriture
convenable
et
aime bien
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Bonjour Hadriel,
J'ai trouvé votre poème agréable à lire, candide... un peu rebattu pour ce qui est du thème (mais la tendresse on ne s'en lasse pas). il y a une sorte de légèreté, de délicatesse dans l'écriture, peut-être parce que les césures sont oubliées parfois, une fluidité. "Tu clignes des yeux et tu me vois dans la glace" "Il n’est pas si loin ce temps si doux sans gêne où" Une belle manière d'écrire, simple. Pour une première parution, c'est un bon début. Au plaisir d'en lire d'autres. |
Provencao
6/3/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Belle écriture pour un premier envoi de poésie.
La contemplation y est généreuse et rend ce poème très tendre, très touchant... J'en ai aimé la vibration Au plaisir de vous lire Cordialement |
Elysa
7/3/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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C'est au second quatrain que je me suis vraiment laissée porter, prise dans ses mailles sensuelles aux rimes batelées.
On passe d'un instant présent à un sentiment intemporel, puis l'instant semble déjà appartenir au passé. Mais le déclin du jour est consolé par la jeunesse et l'instant si loin est plein de mains. Au final on tombe à genoux devant les rimes fratrisées de ce dernier quatrain qui nous laisse plein de joie, le temps n'est que tendresse. |