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ikran
2/9/2013
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Bonjour,
"ce qu'elle engendre et ce qui est engendré par elle" c'est la même chose non ? J'aime "au cœur de la ville" et l'idée de la balle se logeant dans le crâne, ainsi que la faucheuse dansant dans le vent. Je regrette le champ lexical de tout ce qui est positif de près ou de loin "gaiement, chantant, langoureux, généreux". Je regrette aussi les facilités comme "sa vie qui la damne, les vies qu'elle condamne (deux mentions bien trop rapprochées dans le texte au demeurant), que la mort pour elles n'est pas généreux (d'ailleurs c'est généreuse qu'il faut dire si j'ai bien tout compris). Il est dommage que le thème de la mort soit ici limité à quelques images et une mention de la Faucheuse, et que les suites de mots comme "lacérant, tranchant et ardent" n'évoquent pas grand chose. |
Anonyme
28/1/2016
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Il n'est pas très facile, ce sujet de la mort", car on tombe vite dans des clichés comme "la faucheuse", il y a de l'idée dans votre texte, mais cela manque de profondeur, il ne semble que c'est là un survol, de ce que engendre "la mort". Il y a une phrase que je retiendrai tout particulièrement :
"Et n'ayant pour vœu que celui des pieux Partir en dormant." |