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David
16/4/2008
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bonjour Hayley,
Tu ne cites pas les aquarelles que tu numerotes ? Je les aurais bien vu en regard de tes poêmes. Il y a ce vers: "Aux couleurs trop tendres comme un sein de jeune fille, impubère." L'impuberté c'est l'enfance, "jeune fille" renvoit plus justement à la puberté je trouve, je me suis un peu traumatisé sur le journal télévisé de ce midi, que des histoires de meurtres de jeunes filles justement, de visite du pape polémique au USA...et dans les journaux quelques lignes sur des histoires d'émeutes de la faim loin, loin...pardon de ne pas t'offrir une lecture plus naïve. |
Anonyme
16/4/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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"C'est l'histoire d'une noyade dans l'art brut du surréalisme",
cette phrase est de trop à mon sens, c'est comme une jolie fille qui dit: "Regardez moi comme je suis jolie!"... Sinon toujours cette volonté non-dissimulée de choquer... Encore une fois le "choc émotionnel" ne réside pas dans les substantifs... Pourtant je note quelques belles réussite, l'histoire de la pipe est bien vue par exemple. Pour moi, ici, le meilleur texte que j'ai pu lire de toi et je tiens à souligner ce point. Mais par exemple le dernier vers "un souffle qui s'arrête de respirer", comme oxymore, on peut fouiller un peu plus nan? Mais l'ensemble me plaît bien, j'encourage... |
colette
16/4/2008
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l'art brut, le surréalisme pour "raconter" ce qui pourrait être l'état d'esprit d'un peintre expressionniste...
Ces aquarelles existent-elles? Peut-on les voir? Je relirai ton texte pars qu'il y a beaucoup, beaucoup de chose à y trouver. |
TITEFEE
17/4/2008
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moi aussi j'attends les aquarelles...car sinon j'y mettrai mes propres images et vous seriez déçus
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clementine
17/4/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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Tes écrits se dessinent , prennent une forme plus accessible à l'onirien(ne) moyen que je suis.
Beaucoup de vers très percutants, d'autres très beaux, d'autres moins, au total, j'ai vraiment apprécié. J'ai particulièrement aimé: "Ceci n’est pas une pipe mais une fellation, à sucer l’avenir, Nul ne tète le passé. " "D'une seule couleur, il recouvre le ciel d’un nuage de coton, Il fait du mouton un ciel bêlant mal’an, comme passe le temps. " "Couleurs transparentes qui se laissent délayer dans l'eau des ruisseaux. Le peintre rame à l'aviron comme pour garder le cap. " |
Anonyme
1/5/2016
a aimé ce texte
Un peu
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Votre hommage à Magritte pour moi n'est pas convaincant, vous ne m'avez pas inviter au voyage au travers de la description de vos trois aquarelles, elles sont à mon avis bien trop longues et trop personnelles. Vous vous êtes fait plaisir avant tout.
- "Et salée aussi, comme ton entrejambe, quand vient l’heure du lit." - " Ceci n’est pas une pipe mais une fellation, à sucer l’avenir, Nul ne tète le passé." - "Ceci n’est pas un pénis aux couleurs changeantes..." - "Couleurs criardes et juteuses comme de la viande crue, steak." Je pourrais encore et encore citer d'autres phrases, en effet chacun à ses propres émotions et ses mots pour l'exprimer, les miens auraient été tout autre. Vous m'aurez juste apporté un point de curiosité, je suis allée voir les toiles de Magritte. |