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Marquisard
20/6/2009
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Le souci, c'est qu'avaec un titre pareil je m'attendais à une véritable sculpture sur mots, avec forme excentrique et vers soufflés, et peut-être quelques mots et expressions nouvelles, du coup je suis assez déçu.
Sinon le texte (rythme, tournures de vers etc) ne m'enmporte pas plus que ça, pobablement encore un contr-effet du titre. Au plaisir |
Anonyme
20/6/2009
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Bien sûr il y a ici une écriture qui tient la route mais c'est hermétique un poil, touffu touffu, et moi j'aime l'air... :)
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Anonyme
21/6/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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dans un premier temps, j'ai eu la sensation déroutante de me perdre dans ton texte, mais non : tu m'as fait rêver ! merci...
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Anonyme
24/6/2009
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bonjour hayley
Alors ma première remarque va porter sur la forme... Je pense que ça aurait rendu mieux avec un peu d'espacement de temps en temps. Ensuite je n'ai pas aimé le retour de Sculpter les trois premières paires de vers. J'ai eu une réaction épidermique devant, je t'avoue. Comme devant les quelques clichés posés de ci-de-là (le mal et les mots dits par exemple)... Après je trouve que ton titre appelle à quelque chose qui tient de l'art dans le sens manuel du terme, ça m'appelle au Sculpteur de Sons de Togna... et je pense que tu as pu illustrer le coté... enfin la création. Et c'est là que ta forme nuit au fond. Parce que tu as un texte avec de belles images, de jolies choses qui sont noyées dans un flot qu'on ne perce qu'avec la volonté de découvrir ce poème : Sculpter l’arche des eaux moites À coup de main trempée de sueur Pour adoucir les plaies saillantes Apporter la paix à l’outrage du temps Atténuer la blessure à la frontière des lésions Tempête apaisée pour marcher sur les mots Arrêter l’horloge pour tempérer l’aiguille Et modérer l’intervalle pour unifier l’espace Fragmentation des pierres sculptées en vol Peaux ravinées aux saillies des rides De mes dix-sept ans Ma plume sculpte les vers Pour répondre dans l’écho de la soif ? Pour écrire l’invisible au dos de la cuillère Comme l’enfant qui de cuillère en cuiller Vide l’Océan de son contenu De cris d’accouchement D’efforts à fleurs fanées Donc, belles images, belles paroles, belle intention mais forme Bloc/décourageant Les mots ne sont pas mis en valeur ici. Ils passent inaperçus. Comme si tu voulais les crier vite vite pour en avoir vite vite fini. Donc pour l'incohérence entre le titre, la beauté des images parfois et la forme qui gâche tout... Mais auteur à suivre en ce qui me concerne, je lirai le prochain. |
FIACRE
30/6/2009
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Je n'adhère pas à l'image d'Epinal qui veut que la femme en écriture soit en gésine perpétuelle.
Que diable, qu'elle devienne Rodin ! |
Anonyme
19/12/2016
a aimé ce texte
Un peu
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Ma première impression est que la forme nuit au fond, elle est trop basique, c'est un tas de mots posés, amassés, il aurait fallu aérer ce poème, lui de la personnalité, que l'on sente l'esprit de ce "Sculpteur de mots".
Trop de fois le verbe "sculpter" est employé, et le texte n'arrive pas pleinement à exprimer cette notion. Je dirai que vous vous êtes un peu pris les pieds dans le tapis, votre écrit paraît un peu "pataud" : "L’EAU épouse la forme et le fond L’étrange et l’invisible Elle se sculpte d’elle-même Pour sculpter les rivages L’œil dit câlin de mots sur le sable Le sculpteur d’eau a écumé la mer" "Pour écrire l’invisible au dos de la cuillère Comme l’enfant qui de cuillère en cuiller " Il y a un nombre important de mots répétés, votre idée de "sculpteur" est bien trouvé, il y a un peu de cela, mais là vous n'avez pas su la développer, quelques bonnes choses cependant en perdition dans ce brouilly-brouilla. |