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Capry
24/3/2021
a aimé ce texte
Pas
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Bonjour Hec4,
J'ai préféré votre premier texte où l'émotion était présente tout au long de sa lecture. Pour ce poème, je trouve que l'émotion est absente. Le travail est de qualité, les images sont là mais j'ai le sentiment qu'elles sont artificielles, créées pour la cause, pour arriver à entrer dans le corset de la poésie classique. Je pense qu'il manque des allitérations qui nous porteraient comme sur une barque à la dérive. Je vous remercie pour cette lecture. |
papipoete
24/3/2021
a aimé ce texte
Bien ↑
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bonsoir Hec4
J'ai beau peindre ces courbes de toi, auxquelles j'avais le droit de poser et mon regard et mes mains...je n'ai plus que l'idée du frisson que cela me procurait. je suis comme en retraite de ton corps, plus bon à oeuvrer sur ce qui faisait nous, et j'enrage au point d'en " vouloir ta peau "...devenue si froide au fond de ma couche. NB en termes fort poétiques, cette rancoeur pour l'autre " qui ne veut plus... ", se vêtent ces questions qui n'auront pas de réponse ! Mais comme dans le film " le chat ", on pourrait croire que ces deux amants vont s'entretuer ; mais non puisque même sans dialogue, ils se parlent encore en monologue. " crois-tu que ton désir me touche ", peut-être me trompé-je, mais je comprends cela " et tu crois que ça ne me fait rien que tu n'aies plus de désir ? " des octosyllabes parfaitement classiques ! mais le vocabulaire désuet nuit quelque peu à ce courroux... |
Anonyme
24/3/2021
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
"Crois-tu qu’on puisse encore y croire Quand le sang sèche sur nos peaux ? Quand l’érotisme dérisoire Tourne en sous-entendus brutaux" L'essentiel du poème est là, selon moi. Le reste n'est que fioritures... La tension entre les amants est palpable, comme le souligne l'exergue, résister est préférable à succomber... Fin d'une histoire qui se devait mal se terminer. Cette fin était elle annoncée dès le départ ? Edit : on sent le dialogue de sourds. Je doute qu'il y ait vraiment eu un quelconque dialogue entre ces deux là. |
Angieblue
24/3/2021
a aimé ce texte
Passionnément
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J'aime beaucoup cette poésie d'une sensualité morbide.
C'est très lancinant et glaçant avec la répétition de "Crois-tu que ton désir me touche". Excellente la métaphore avec le tableau et le pinceau dans la première strophe! Les images sont très fortes tout du long pour décrire la relation toxique. Comme dans ton précédent poème, il se dégage une atmosphère sombre et angoissante digne d'un thriller psychologique. Et respect pour l'exercice de style! car la forme "ballade octosyllabique" n'est pas facile à réaliser avec le jeu sur uniquement deux rimes. |
Anonyme
25/3/2021
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour
La Ballade est un genre de poésie complexe à élaborer. La forme ayant le plus souvent tendance à prendre le pas sur la poésie. Mais ici, l'auteur s'en sort honorablement. Moi qui n'aime pas trop ses répétitions de rimes imposées par la forme ce texte ne se sert pas trop d'artifices pour s'en sortir. De toute façon, avant tout autre chose, le travail est à saluer. |
Ligs
25/3/2021
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bonjour,
Un sacré travail que cette ballade à la forme parfaite. Malheureusement je n'ai pas accroché, je le trouve froid, il ne me touche pas... je crois que cela est dû aux rimes que je trouve lourdes : les rimes en [war] à l'oreille, les rimes en "(e)aux" à l'oeil... Peut-être également à une expression qui se veut trop recherchée. J'attendais plus de simplicité dans cette évocation du rapport de couple qui s'adresse à un "tu", première personne du singulier... |
Anonyme
10/4/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
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Ah ! Bigre !
Bienvenue sur Oniris Hec4, j'ai raté votre arrivée officielle, mais je répare la bévue. "J'ai jamais tué de chat ou alors y'a longtemps ou ça sentait pas bon ou bien j'ai oublié" Brel : ces gens-là . Bref passons. Votre poème, est une vraie ballade, toute bien faîte et vous invitez très intelligemment les lecteurs à une balade en vos vers. J'ai tout aimé, les rimes alternées la musicalité le ton résolument moderne (c'est sûr, on a une ballade, pas celle des pendus) Le fond, la forme et plus encore. Je suis vite enthousiaste mais jamais sans raison, vous n'aurez pas le Nobel de la poésie, mais qui sait dans 300 ans. Hâte de vous lire en une autre catégorie. Merci du partage, Éclaircie |