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Anonyme
24/9/2021
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour, je n'aurais pas doublé le titre et j'aurais mis la dédicace dans la case "résumé", peut-être êtes-vous nouveau sur le site.
Un sonnet sans ponctuation, au vocabulaire recherché et j'ai dû chercher entre autre ripieno, dialogue entre l'orchestre et les solistes dans les concertos grossos, et étésien ; sans comprendre la fonction d'assesseur de cet "amour". Les métaphores s'enchaînent sans discontinuer formant presque un discours ésotérique, encore que le thème de l'univers et de ses métamorphoses soit clairement identifié. Pour un texte aussi soigné en apparence que cela, il est dommage de lire deux fois le mot de miroir ou apparentés. Mais il y a un champ lexical du reflet : spéculaire, miroités, miroir, se reflète. Pourquoi la résurrection est-elle humide ? Parlez-vous du sang versé ? Les grains dorés de nos soucis ? Je ne comprends pas. La respiration ne produit pas de ragtimes... dixit un pianiste, mais si je comprends : l'univers souffle et adoucit les cœurs, pendant la respiration qui sans cela serait déchirée. Un style qui n'est pas au service du sens. Est-ce trop compliqué ? Ou simplement insignifiant, je ne saurais le dire. |
Miguel
24/9/2021
a aimé ce texte
Pas
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Pour être libre, c'est libre, la forme et la syntaxe comme le fond. J'ai dû aller chercher le sens de "ripieno", j'avoue mon ignorance, et je n'en suis pas plus éclairé. Ces images, trop subtiles pour moi, me laissent indifférent. Je souhaite à ce poème des lecteurs plus réceptifs.
Miguel, en EL |
Provencao
2/10/2021
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Bien ↑
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Bonjour Hermes et bienvenue.
" Florifère il offre aux vents étésiens Les pelotes roses de Jéricho Des plages arabiques d’où l’écho De l’humide résurrection parvient " Mon préféré. Dans cette strophe, l'élévation est déjà toute entière dans l'image, harmonieuse en elle même. Moi, j'y ai lu une poésie de la lumière. J'ai bien aimé ces métamorphoses qui se font ici devant une empreinte, le poète que vous êtes, qui reste extérieur à cette aspiration et cote la distance nécessaire à la compréhension et la bienveillance . Au plaisir de vous lire Cordialement |
papipoete
2/10/2021
a aimé ce texte
Pas
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bonjour Hermes
Votre pseudo fait écho à votre poème, hermétique ; lignes qu'il faut lire, la main ne lâchant pas le dictionnaire ! Le premier tercet pourrait provoquer l'étincelle salvatrice, faisant dire " mais oui, c'est bien sûr ! ", mais non ce n'était qu'un mirage... Je ne sais si les admirateurs se masseront au pied de vos lignes, mais moi dont l'opiniâtreté m'oblige à lire et relire, baisse les yeux, jette l'éponge ! mais je vous souhaite plein de lectures passionnées ! Vos vers mesuraient 10 pieds... jusqu'au 12e qui en oublie un en route... |
Robot
2/10/2021
a aimé ce texte
Bien ↑
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Les deux quatrains et le premier tercet m'ont enchanté. De belles métaphores comme les deux vers d'introduction.
Par contre, le second tercet perd la fluidité de ce qui précède, la rédaction donne une lecture plus lourde, notamment à l'oral, et cette fin me paraît moins compréhensible. De plus terminer sur des rimes en "tion" sonne désagréablement à mon oreille. |
Atom
8/10/2021
a aimé ce texte
Bien ↓
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Malgré son air pompeux, j'aime assez bien ce poème.
Je n'irais pas chercher un sens en lisant ce type de texte qui justement semble partir dans tous les sens mais d'avantage une élégance de mots qui vont bien entre eux sans forcément "parler". Il y a par ailleurs de belles allitérations. |