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natile
14/3/2023
trouve l'écriture
perfectible
et
aime un peu
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Un découpage qui n'aide pas à la lecture. Il y a de jolies images pourtant , une douceur et une mélancolie certaine. Dommage que la fluidité des mots ne suit pas celle de l'ombre.
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pieralun
19/3/2023
trouve l'écriture
perfectible
et
aime un peu
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Bonjour,
J’aime dans ce texte la répétition de « il caresse » Après, pas mal de termes et de tournures cherchent le rendu poétique, alors que ce rendu ne peut venir que de la beauté de l’écriture et ce qu’elle évoque: un peu comme l’on trouve de la poésie dans la musique. «les doigts s’enluminent du doré de la lumière éteinte »…………bof bof « me crève les yeux en pleine lumière » plutôt prosaïque « et je n’y comprends rien » sincèrement laid » On finira sur une note positive: « et le soir chante en pleine lumière, à longueur de temps il caresse » |
Provencao
28/3/2023
trouve l'écriture
convenable
et
aime un peu
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Si le terme de miracle est évocateur d’une certaine négativité, il s’avère être le lieu d’une polarité positive, le lieu où l’on peut saisir une intentionnalité, la volonté les pensées : le projet mélancolique, entendu comme une volonté de renverser une fragilité en caresse.
Au plaisir de vous lire Cordialement |
Vincente
29/3/2023
trouve l'écriture
convenable
et
aime bien
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Quelle belle idée, celle où une "ombre' qui quand elle est caressée par son compagnon, et qu'il "épouse de sa main sa fidèle compagne / et quand il touche les doigts [ils] s'enluminent du doré de la lumière éteinte". Superbe trouvaille poétique !
Pleine d'ambition, mais ensuite, le développé va devoir continuer dans la même puissance de vue… Là je dirais que si l'intérieur du poème reste plutôt séduisant, assez attractif, il pêche par une "utilité" discutable de certains passages (cette strophe par exemple qui se contente de redire la première : "trouvant à sa place… / la lumière jaillit" ; ou par le côté "explicatif" du début de celle-ci : "mais par miracle du clair-obscur de nos pensées", d'autant que le "miracle", comment dire… bof !). La strophe sur les grenouilles est sympathique, mais un peu "hors-sol" du poème, à mon sens. Je n'ai pas compris non plus ce que vient faire dans la suivante le "verre de la lampe qui m'éblouit"… Mais les deux vers finaux viennent joliment fermer le poème, comme pour préserver le monde clos de cette relation intime, séduisante entre les deux compagnons, l'un incarné et l'autre, son double ombreux. |
Errances
7/4/2023
trouve l'écriture
perfectible
et
n'aime pas
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J'avoue j'aime bien le commentaire de Pieralun. J'y retrouve mon ressenti.
C'est assez étrange. À quelques mots près, j'aurai aimé. S'illumine... éteinte Me crève les yeux en pleine lumière C'est pas Versailles ici ? Les contraires sont sans subtilité, c'est dommage. Il y avait un certain rythme hachuré dans ce découpage du texte, l'idée est là cependant les emphases poètiques, le fil de cette idée poétique à la quelle vous voulez nous faire adhérer s'effiloche au fur et à mesure du texte. Ma passion est éteinte. Personne ne l'a allumée. Ce n'était pourtant pas très éloigné. |