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Queribus
10/5/2021
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
Un poème qui me fait très bonne impression avec ses lignes qui se déploient comme des vagues s’élargissant pour rétrécir ensuite: le procédé est très habile et très à-propos.; de plus, à chaque ligne émerge une belle image poétique dépouillée. De la belle ouvrage donc. Une petite remarque toutefois: l'emploi d'un interligne entre chaque ligne ne me parait pas du meilleur effet; j'aurais mieux vu un ensemble "soudé" mais ce n'est quand même qu'un détail. Bien à vous. |
papipoete
26/5/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
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bonjour Hichikine
Je crois qu'elle ne m'a pas vu, alors que son poignet adorable hésite sur la feuille blanche ; non, elle ne m'a pas vu et moi je la dévore des yeux ; j'émerge de l'onde pour inspirer sa plume... elle va me voir... NB en quelques lignes, écrites à l'écume de l'encre sympathique, l'auteur nous prend sous son aile, pour nous dire son amour d'Elle... Très joliment écrit comme au 5e vers, qui put s'adresser à l'élue du héros, comme à sa fille, sa mère... Première parution qui en appellera sûrement d'autres... |
Corto
26/5/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
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Le ton de ce poème est subtile.
Tout est suggéré, plutôt imprécis, et pourtant on ressent une ambiance aérienne qui pourrait contenir une promesse. Le "néant" est vraiment "malicieux" car il est prêt à laisser émerger un visage..."Le mien peut-être…" L'image des "bracelets d'argent..." est très belle. Voici un beau moment, tout en suspension entre admiration et projet. Bravo. |
Eskisse
26/5/2021
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Hichikine,
J'ai aimé comment l'on passe insensiblement de la feuille blanche au monde maritime qui se crée dessus : " Sa main ondoie au-dessus de la page. Elle y vogue au hasard et prend le large". Comme si c'était la main qui était ce fameux voilier annoncé par le titre. Rien ne pèse dans ce poème aquatique tout en retenue. |
apierre
26/5/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un très joli poème court en prose que j'ai vraiment apprécié.
En quelques mots bien choisis ,la magie opère et le lecteur se met à voguer lui aussi... Beaucoup de délicatesse dans les images. Bravo et merci pour la lecture ! |
Damy
26/5/2021
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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L’amant pourrait être la page blanche et l’amante l’écriture, le premier s’offrant à la seconde pour une création mutuelle.
La métaphore du voilier sur la mer est délicieusement bien trouvée et très poétique. J’aime particulièrement le passage sur « les bracelets d’argent ». L’épilogue est très touchant. Écrire pour voir apparaître son vrai visage. Un poème doux, délicat, apaisant, qu’il m’a fait du bien de lire. Merci, Hichikine |
Myo
26/5/2021
a aimé ce texte
Passionnément
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Il y a dans ces quelques lignes une atmosphère d'une grande légèreté et pureté.
Les mots suivent le tracé fluide de cette main d'artiste et l'éclat de ce regard amoureux dans une métaphore tout en poésie. Je suis sous le charme. Bravo! |
Anonyme
27/5/2021
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Hichikine,
Bienvenue sur Oniris et bienvenue à ce premier poème publié. Un titre sobre, qui évoque le voyage et le vent, pour moi. L'exergue renseigne sur la naissance de ce poème, sans lui, je ne suis pas sûre que j'aurais saisi le fil conducteur. Certains détails me gênent un peu dans cette prose courte : La "feuille blanche" assez convenue en poésie. Même si là, il s'agit de l'esquisse d'une relation amoureuse. "Son poignet adorable", l'adjectif me parait un peu mièvre, même si son premier sens est religieux, il a d'autres significations, je retiens celui-ci : "[En parlant d'inanimés] Qui flatte de manière délicate ou exquise les sens (provoquant une sorte d'éblouissement admiratif)." (Cnrtl). De même pour l'emploi du mot "malicieux", à "double tranchants. Un beau tableau, suggérant plus encore. Merci du partage, Éclaircie |