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Lebarde
18/12/2024
trouve l'écriture
perfectible
et
n'aime pas
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J'ai beaucoup de mal à trouver un fil cohérent à ce sujet très ténu, pour ne pas dire abscons, dans lequel je n'arrive pas à entrer.
Sans vouloir offenser personne, mais comme la réflexion est sur la table en ce moment, peut être faut il se tourner vers l' IA pour éclairer l'esprit du modeste humain de chair que je suis. Je lis et relis, (je voudrais me tromper), mais le doute dans ma tête s'est installé et je ne suis pas en capacité d'adhérer sans réserve à cette "Bénédiction". Désolé et mes plus sincères excuses si j'ai fait fausse route. Sur la forme, rien à dire, ce sonnet respecte les règles du classique. |
Vincent
25/12/2024
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Bonjour Hiraeth
Sublime poésie sur la mort et la résurrection dans l'au-delà Ces horreurs de la vie terrestre, ce corps si difficile à porter J'ai adoré votre texte Merci |
Boutet
25/12/2024
trouve l'écriture
très perfectible
et
aime un peu
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Un sonnet qui eût pu être joli si le second quatrain n'était pas complètement raté. Ca commençait plutôt bien mais le poème s'étiole
au fil de la lecture et sans se fixer sur ce second quatrain, les tercets ne relèvent pas l'ensemble. Une déception que cette Bénédiction. Je mets aimer un peu pour le premier quatrain très prometteur mais patatras, tout s'écroule, quel dommage ! |
papipoete
25/12/2024
trouve l'écriture
perfectible
et
aime un peu
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bonjour Hiraeth
" heureux les invités, au repas du Christ ! " ... mais après la mort, lorsque sous l'ordre de Dieu, le pécheur ressuscite au Royaume des Cieux. NB c'est ce que je crois comprendre, du récit de cette brebis égarée, que la vie sur Terre, afflige au point de vouloir y mettre fin, pour un autre " ailleurs " où tout est meilleur. le dernier tercet semble vouloir dire " ben tu vois, c'était pas si compliqué ! maintenant que tu revis hors de ton corps, et enfin tu vas pouvoir respirer... " ce même tercet semble panacée suprême, mais quand mes êtres chers partis, reviendront auprès de nous ( leur esprit ), nous en parlerons... mais je crois entendre une voix résonner de l'Enfer, et dire : " bois ce philtre, et viens me rejoindre ! " techniquement, je ne prise pas l'enjambement, or il y en a ici |
Laurent-Paul
25/12/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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bonjour,
la forme est certes sans défaut mais en bon athée matérialiste que je suis, je n'adhère pas au propos. L'émotion qui se dégage de votre sonnet est cependant palpable. J'aime aussi assez les décalages entre des mots précieux comme "glaive", "Ô larmes" et tout à coup "pissé" qui donne une irone bienvenue et allège le propos. |
Provencao
25/12/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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Bonjour Hiraeth,
"Et soudain vulnérable au plus petit rayon, Qui transperce ton cœur comme un tendre aiguillon, Tu te sens t’abolir – et tu te sens renaître," Un tercet qui à mon sens renforce ce coeur transpercé sauvant les fragiles libertés humaines dans le tout de l'univers...Là est le sens de la Resurrection et Bénédiction Au plaisir de vous lire Cordialement |
Cristale
25/12/2024
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Bonjour Hiraeth,
Mieux que demander à l'I.A. sans âme et sans émotion, j'attendrai que l'auteur, humain et doté d'un coeur battant, ouvre son fil de mercis et m'éclaire un petit peu sur ses intentions poétiques concernant cette "bénédiction", mais je ne suis pas indifférente à sa publication. Techniquement, quelques broutilles faciles à corriger ont fermé les portes du classique. Un sonnet, de grâce, chouchoutez-le pour lui rendre la versification pure et précise qu'il mérite. C'est dommage, le vocabulaire, riche et varié, n'a pas été suffisant pour que ma cervelle impie intègre le propos. ^^ |