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Anonyme
25/5/2020
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
En préambule, je dirai qu'il est toujours dommage de ne pas avoir la musique qui accompagne la chanson. Tant parfois que l'avis peut être différent avec ou sans la sonorisation. Je suis allée faire un tour sur le net, faire connaissance avec Sextus Tarquin. Une "berceuse" a ne pas mettre entre toutes les oreilles. (pour ne pas être réveillée par des cauchemars) J'ai aimé le ton, l'humour décalé, noir et cynique. Le "lapinou" et la "louloute" m'évoquent des jumeaux, double peine ! Il n'est jamais trop tôt pour avertir les enfants des dangers de la vie, les contes de fées ne devaient-ils pas parfois (souvent, toujours ?) les effrayer pour qu'ils restent sages. Merci du partage, Éclaircie |
Queribus
10/6/2020
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
Un texte où se mêlent l'humour, la noirceur et la morale, le tout exprimé dans un langage simple, pas trop long et accessible à tout le monde. J'ai particulièrement aimé: Quintar est mort d'une non-mort. Bien entendu et comme toujours,la musique, l'accompagnement musical, le phrasé et la voix de l'interprète feront la différence. En attendant, j'ai aimé la lecture du texte. Bien à vous. |
Anonyme
10/6/2020
a aimé ce texte
Vraiment pas
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Bonjour,
Je suis très étonné que Lolita écrit avec une majuscule puisse prendre la marque du pluriel. S'il s'agit d' employer lolita comme nom commun c'est effectivement possible mais sans la majuscule. En ce qui concerne le prénom Camille, je n'ai pas d'exemple que ce nom soit passé comme c'est le cas pour Lolita dans la classe des noms communs mais je n'ai pas la science infuse c'est à vérifier. En tout état de cause si c'est le cas la majuscule est fautive. Je ne suis guère séduit par cette "berceuse" dont je ne vois pas qu'elle puisse parler à un enfant en raison des références complexes dont l'auteur truffe son texte. Autant des références comme celle de "Colin-Maillard" ou "Grand méchant loup" ou "Peau d'âne" peuvent assez facilement s'expliquer et prendre place dans l'imaginaire commun autant là je reste coi devant la difficulté. Je ne discerne aucune élégance ni même esprit poétique ici et je m'en excuse si je blesse l'auteur/trice c'est mon ressenti. Même si Patrick Modiano et Hugues de Courson ont créé un précédent dans le genre avec "La coco des enfants sages" je n'arrive pas à entrer dans votre monde. Je n'aime pas j'en suis désolé. H. |
Anonyme
10/6/2020
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bonjour
Etes-vous le pseudo shayde09 d'un autre site ? J'ai trouvé une conversation sur ce texte sur une autre page en cherchant à en savoir plus sur ce Quintar. Si c'est le cas, vous bien d'autres poèmes qui mériteraient mieux une proposition de publication que cette berceuse faisant l'apologie de Jack l'Éventreur. Ce n'est pas que c'est forcément mal écrit et ça s'inscrit bien dans la catégorie mais son coté morbide me répugne quelque peu. Et, même si l'écriture poétique a le devoir de tout aborder, je préfère lorsqu'elle se consacre au beau mais c'est personnel. |
papipoete
10/6/2020
a aimé ce texte
Bien ↑
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bonjour Hiraeth
Il était un ogre avec les femmes, jacques Quintar qui les égorgeait après les avoir violées, jusqu'au jour où un sortilège lui prit son corps mais point son âme qui se mua en protectrice des femmes... NB une fable pour " grands " enfants, qui pourraient la chanter aussi bien à l'église, que dans des endroits " oh " comme on dit ! Tout est bien qui finit bien, et les " louloute " tout comme leur " lapinou " peuvent dorénavant, oeuvrer en toute tranquilité ! le mot " macaques " semble là pour la rime à la 4e strophe, la conjugaison me gène ; j'aurais plutôt écrit " elle jeta " " Quintar mourut " un texte somme toute plaisant ! |
Sadbutfun
10/6/2020
a aimé ce texte
Pas
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Hm, j'ai du mal à commenter ce texte.
D'abord, ce serait pas plutôt "cric et crac" ? Ça sonnerait mieux je pense. Après, les rimes sont fades, j'ai du mal à ne pas me battre les burnes de ce Jacques Quintar et de ce qu'il a pu glander. Les mots familiers enfantins détonnent avec le texte, je trouve. Bref, sorry, je ne suis pas charmé (même pas proche) - et pourtant j'ai d'habitude un faible pour les poésies noires. |
Vincente
11/6/2020
a aimé ce texte
Vraiment pas
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"Berceuse fantaisiste" annonce l'avant-propos, mais la "fantaisie" est rendue à un extrême fantaisiste qui enlève tout effet berçant, ou amusant, ni même signifiant…
J'ai cherché ce qui pouvait amener un auteur à se complaire dans cette rhétorique improbable. À part l'exercice de style d'une déconstruction sémantique, dans une "logique" pataphysicienne (et encore, dans ce registre il y a assez de place pour d'autres chemins), je ne vois pas "l'intérêt" de cette déclinaison. Si l'écriture est propre, le sens, lui, est confus et le but est troublant, à la limite (et je pencherais plutôt pour l'extérieur de celle-ci) du malsain. Convoquer Jacques l'Éventreur pour une "berceuse" ! Pour rester dans la fantaisie, il va falloir contrebalancer sévèrement l'aberration. On est au-delà du "loup" mythique là tout de même. Lui associer un stratège perfide et déviant, n'est pas non plus anodin. Puis après un "formidable" retournement de situation, merci à la sorcière, le rendre "maudit" en le "mourant d'une non-mort" ; le châtiment est effectivement terrible, c'est le seul passage qui m'aurait rassuré, s'il n'induisait pas le fait que cet être immonde allait en fait perdurer, dans ses actions (pourquoi pas ?) et dans son pouvoir de nuisance dans l'inconscient collectif. L'on attend (espère) un mieux dans une suite salvatrice, mais il ne s'exprimera qu'à peine, presque par défaut, dans ces deux vers : " Et maintenant sa maudite âme Répond aux vœux vengeurs des femmes " Ils précèdent la strophe finale qui se veut rassurante, retour à son ambition berçante… qui replonge dans la même profondeur exécrable : " Sans crainte donc dors ma louloute Jacques Quintar veille sur toutes Un mot suffit pour qu’il le traque Et couic et crac fait ton macaque " Retour à l'angoisse première, dans son exagération, s'amusant de sa perversité, l'expression joue avec les mots comme si de rien n'était, mais le malaise reste entier… Quel adulte enjoué aurait l'idée d'imaginer un rajout à l'horreur réelle de ce qui est évoqué ici pour reconstruire une horreur de fiction censée l'annihiler ?... À mon sens, l'intention de l'auteur, que je suppose "innocente", s'est fourvoyée et s'en trouve bien contre-productive. Si les contes racontent parfois aux enfants des horreurs en guise de contrepoison, dans ce texte, la façon de la convocation quasi-réaliste s'aventure dans une zone nauséabonde où je ne vois pas poindre de "contrepoison". |
PPeronne
11/6/2020
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
ne vous attendez pas à ce que je me lance dans une longue dissection de votre texte… au prétexte que pour apprécier la beauté ou le parfum d'une fleur, il faudrait analyser tous les éléments qui en font ce qu'elle est...anthère, calice, corolle, étamine, pédoncule, pétale… je m'arrête là, je sens se poindre les céphalées. En revanche, ai-je ressenti des émotions ? Oui. Lesquelles ? Curiosité, amusement, intérêt. Ai-je appris ? Evidemment oui… je ne suis pas suffisamment érudit pour savoir par exemple qui se cachait derrière "ce diable de Quintar". Ce texte a-t-il des qualités stylistiques ? Oui. Poétiques ? Oui, à condition de ne pas chercher le slam que je n'ai pas trouvé. En effet, j'ai préféré une lecture "silencieuse" que des essais "groovés", slammés… qui se sont révélés infructueux. Est-il original ? Je le pense, ne serait-ce que par le thème choisi et son traitement. Ai-je aimé ? Lu comme une comptine pour "enfants émancipés et malicieux… oui. Bonne soirée à vous ! |