|
|
Mokhtar
13/1/2018
a aimé ce texte
Pas ↑
|
Le choix des rimes et le non respect de la métrique devraient exclure le classement de ce texte en "classique".
Mais plus grave est l'absence de ponctuation, qui accroît les difficultés d'un texte qui, pour moi, recèle de nombreux points d'incompréhension. Exemple. Je lis : "Il dit tu me domines et je porte le monde dans mon éternité...". Eh bien non, "Dans mon éternité...". est le début de la phrase suivante. Et le lecteur se voit obligé de recommencer sa lecture, en notant mentalement le "." absent après monde. Et cela, tout au long du texte, fatigue le lecteur qui n'a plus la force de décrypter des expressions comme :"les ailes de mon cœur crescendo" "tu me domines ses bras" "les ondes qui transpercent mon corps accordé". Ni de comprendre ce que la corrida et le Massai viennent faire dans cette galère. Je note pourtant un quatrième quatrain intéressant (si l'on en imagine la ponctuation et néglige le doublon "sans lui"). Et qui dénote des aptitudes à bien faire Mais désolé, mais je n'arrive pas à identifier ce "sentiment mystérieux", et son rapport avec la domination. Mokhtar en EL |
Provencao
15/1/2018
a aimé ce texte
Bien
|
Belle fragilité dans cette poésie. J'aime beaucoup cette focalisation de l'attention d'abord. Quand l'autre est là, plus rien ne compte.:" tu me domines et je porte le monde
Dans mon éternité chancelante les secondes' Cette attention exclusive s'accompagne d'une recherche de fusion, :"S'eteint et je m'étiole sans lui je ne suis rien Qu'une enveloppe vide, qu'un jour blanc de carême Dans mon éternité l'hiver n'a pas de fin" Au plaisir de vous lire Cordialement |
hersen
16/1/2018
a aimé ce texte
Bien
|
Il me semble que nous sommes ici dans la place donnée à chacun dans un couple. Que dominer l'autre n'est qu'une impression et que le "dominant" est dominé, lui par le besoin de l'autre.
Elle le "domine" mais il l'engloutit dans son amour sans lequel elle ne serait qu'une "enveloppe vide". Je trouve que c'est très beau et qu'ici le verbe dominer véhicule une idée de réciprocité. Elle le domine ? et pourtant qui c'est qui est toute retournée dans les bras de son Massaï, hummm, qui c'est ? Le mot Massaî est ici excellent en ce qu'il dit la beauté, la fierté, le courage, tout ce qu'il transmet à sa "dominante. "Il grave dans mon coeur la flamme des bougies" "Pour effacer la nuit noire de mon amertume" "sentent pousser des ailes à mon coeur crescendo" Sur la forme, je suis très dubitative sur la non ponctuation en vers rimés. Car du coup, il n'y a aucune marge de manoeuvre. Et le rythme ici, flou, enlève à mon avis beaucoup de force au propos. A mon avis, il aurait fallu opter soit pour une ponctuation (qui peut rester très légère) soit changer la disposition des vers. C'est un peu ce que permet souvent le libre par rapport au rimé. Merci de cette lecture, hersen |
Vincent
24/1/2018
a aimé ce texte
Passionnément ↑
|
bonjour et bravo
car j'a adoré cette puissance cette douceur votre texte devrait être mis en musique et chanteé par un grand une grande genre Piaf ou Barbara pour qu'il soit joué/interprété tant il est scénarisé et vibrant d'émotion dans les paroles je me fiche bien de savoir si ici ou là tout est bien respecté tant il est la passion bravo encore vous avez beaucoup à dire et à donné |
papipoete
24/1/2018
|
bonjour HND
il dit qu'elle le domine, alors qu'elle est là presqu'au garde-à-vous, pour le satisfaire, et marcher ensembles ; et pourtant s'il venait à disparaître elle ne serait plus rien sans son ... Massaï NB ce pourrait être un texte fort, et passionnant autant que touchant mais ... ( il y a bien longtemps que je n'ai pas soupiré à ce sujet : la ponctuation ? ) Dans une forme " libre " passe encore, mais là dans des vers rimés et s'approchant du décasyllabe, je ne suis pas d'accord, et je râle ! Je ne puis noter puisque assis entre 2 chaises ( qualité de l'écriture, mais nulle marque permettant de respirer, s'élancer, tenir une note, mettre le ton simplement ! ) |
Anonyme
24/1/2018
|
Comme certains commentateurs l'ont fait remarquer, le manque de ponctuation m'a beaucoup gêné. il oblige à reprendre ce que l'on vient de lire afin de cerner les phrases et le sens.
Une seule virgule pour vingt vers, c'est peu. Malgré plusieurs lectures, ce texte n'est pas parvenu à susciter pour moi un intérêt sensible. A vous lire une prochaine fois. |
Anonyme
25/1/2018
a aimé ce texte
Vraiment pas ↑
|
Vous desservez considérablement votre écrit à ne pas avoir mis
de ponctuation. Vous lui avez enlevé toute musicalité. Cela ressemble, ainsi présenté, à un tas de mots placé les uns à la suite des autres. De plus, quel souffle il faut pour vous lire. Votre poème est en cet état, comme un instrument de musique désaccordé, cela fait grincer des dents. Tel quel, je n'ai pas pu apprécier ce que vous avez exprimé, il faut le reprendre, pour me permettre de mieux ressentir de l'émotion, vos mots s'enchevêtrent bien trop les uns à la suite des autres, c'est une lecture très pénible. De plus ce "il dit" répétitif à la longue devient agaçant, peut-être qu'une strophe sur deux auraient été bien suffisant. Il faut impérativement retravailler ce poème. |
Lulu
7/4/2018
a aimé ce texte
Un peu
|
Bonjour,
j'ai eu un peu de mal à lire ce poème du fait de l'absence de la ponctuation. C'est dommage, car on sent le travail effectué sur les vers. J'ai toutefois pu apprécier les rimes qui rendent avec la dimension du quatrain une certaine musique au texte. Cependant, le poème manque de fluidité. On ne saisit pas tout à la première lecture, ni complètement à la seconde, et ce n'est pas le seul fait de l'absence de ponctuation. Cela semble aussi provenir de la logique de la syntaxe qui ne semble pas aller de soi. Je pense notamment au premier quatrain, où le sens me paraît bien complexe à saisir. En définitive, je n'ai pas trop saisi la visée de ce texte. Le titre, en rapport avec "Il dit tu me domines" ne m'éclaire pas davantage, et encore moins les mots placés en présentation du poème. |