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Provencao
28/2/2018
a aimé ce texte
Passionnément
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Quel plaisir de lire cette subtile et fine poésie contemporaine.
J'en ai aimé la grâce, les mots choisis où cette sensibilité, cette imagination, cette réflexion, non écrites de manière froide et impersonnelle, mais avec le cœur, ses blessures et ses larmes. Il s'y pose plein d’émotion, aux sources du mystère:" Moira tes bras de lait comme un enfantement Recréent pour moi la sève du premier matin Me bercent et me transportent dans l'enchantement De l'envol éthéré des ailes du destin" Avec des sentiments personnels, fortement enracinés dans" la magie et le rêve" , cet écrit tisse humblement, à partir du socle du grand voyage, un chemin, emprunté du secret, qui annonce une fin. Dans le mot" moire" s'inscrit lumière et vérité. Au plaisir de vous lire Cordialement |
papipoete
16/3/2018
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bonjour HND
Votre texte est très bien écrit, savamment étoffé ; mais je crois qu'il s'adresse à un lectorat plus érudit que je ne le suis ! J'essaie d'en faire une interprétation personnelle, mais je crains de m'éloigner beaucoup trop loin de l'idée de l'auteur ! L'ultime strophe est magistrale et le héros désespéré . Je ne doute pas que votre histoire, provoque un émoi auprès de ceux qui goûteront vos vers ... |
Donaldo75
16/3/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour HND,
Ce que j'ai tout de suite aimé dans ce poème, c'est sa douceur. Elle a enveloppé ma lecture comme une volute protectrice et m'a laissé guider par les mots. Bravo ! Donald |
Anje
16/3/2018
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Quelques jolies images mais une métrique irrégulière, une absence de ponctuation et une répétition de "et" (un par vers dans la dernière strophe) gâchèrent ma lecture.
A vous relire. |
Damy
16/3/2018
a aimé ce texte
Bien ↑
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Je ne connaissais pas La Moire. Votre poème la présente dans une infinie tendresse toute maternelle et donne envie de s'y lover, consolé.
Les 2° et derniers quatrains m'ont beaucoup plu par leur musicalité presque parfaitement classique. Là, je me suis laissé embrasser. De ce point de vue, j'ai moins aimé les autres qui me paraissent donc musicalement inaboutis. Mais ce n'est que le point de vue d'un grand amateur du classique... ou du carrément libre. Merci, HND, pour ce partage. |
Anonyme
16/3/2018
a aimé ce texte
Bien
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" La tunique de lin qui flotte comme un drapeau " est-ce la métaphore de cette part de destin que la Moire attribue à l'auteur ?
"Des trésors de tendresse et d'émotions secrètes " " Recréent pour moi la sève du premier matin " le souvenir de ce qui s'est déjà passé sur ce chemin tracé. " Et m'abandonnes enfin au seuil du grand voyage " et tout ce qui se produira tout au long de la vie. De belles images, un peu emphatiques parfois. Dommage que plusieurs vers à 13 syllabes rompent quelque peu l'harmonie du texte. |
Queribus
17/3/2018
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
Votre texte témoigne d'une assez bonne connaissance des règles de la prosodie. il est cependant fort dommage que certains alexandrins comportent treize syllabes: -La tunique de lin qui flotte comme un drapeau -Tout un monde scintillant de rêve et de magie -Me bercent et me transportent dans l'enchantement Il aurait été aussi souhaitable, à mon avis, de mettre un minimum de ponctuation (virgules, points-virgules, etc) pour "aérer"un peu le texte. Le fonds m'apparait très lyrique, un peu à la façon de certains poètes du XIX me siècle (je pense aux Parnassiens entre autres) avec de très belles images poétiques. Je pense aussi que votre texte s'adresse à un lectorat érudit avec parfois même un petit côté précieux. En conclusion, j'ai quand même passé un bon moment à vous lire (et à vous relire) et je suis persuadé qu'avec de la pratique, vous pouvez devenir un excellent poète. (Naturellement, tout ceci n'engage que moi) Bien à vous. |
Anonyme
18/3/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Vos mots ne sont que douceur à mon oreille. Merci pour cet instant "bonheur".
Maguy |