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Anonyme
29/11/2010
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Cri qui ne m'a pas totalement convaincu. Le sentiment poètique me semble insuffisant malgré les intentions louables de l'auteur. Même si le constat qui est proposé est singulièrement accablant.
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Lunastrelle
5/12/2010
a aimé ce texte
Un peu ↑
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J'aime bien cette audace, dans la manière d'exprimer ce cri. Il y a un jeu certain sur le rythme, la forme spatiale, mais aussi sur les images véhiculées... Je trouve tout de même que ça manque de puissance, et de "saccades".
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Anonyme
5/12/2010
a aimé ce texte
Bien ↓
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d'une vérité crue.
le ton est dur, le regard impitoyable. le texte semble banale et pourtant il s'y dégage un fort ressenti, l'émotion vibre sous ce texte sombre. un bémol sur le rythme que je trouve irrégulier à cause des nombreux retour à la ligne pas très adéquat. exemple pour cette strophe: "l’on ne nous apprend qu’à gagner à nous battre tel des gladiateurs de la mondialisation" je pense qu'il aurait été mieux d'écrire sous cette forme: "L'on ne nous apprend Qu'à gagner A nous battre Tel des gladiateurs De la mondialisation" enfin c'est juste mon point de vue, car je pense que ce texte aurait pu gagner plus en fluidité. |
bulle
11/12/2010
a aimé ce texte
Bien
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J'aime bien, il faut le dire.
Les mots claquent (peut-être pas assez fort), mais ils claquent quand même. La mise en forme cahoteuse, imprime une sensation de ras-le-bol, de dégoût même, ou de dépit, en constat. Certaines formules sont piquantes, d'autres 'philosophiques' : "nous sommes nos actes et nos pensées ne sont que désert de mots" Le fond exprime bien ce qu'il veut transmettre. Bien perçu et reçu, pour ce qui me concerne. |
Heisenberg
16/12/2010
a aimé ce texte
Un peu
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Le style et la forme donne à cette poésie une bonne facture, qui ne laisse pas insensible, la lecture est agréable. Le message est intéressant, cependant je trouve le traitement un peu simpliste et naïf.
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irisdenuit
16/12/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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Pour ma part, ce poème est excellent dans sa véracité. Un constat de notre société très juste.
chasseurs d’argent de certitudes faiseurs de rêves et de néant Pour ne mentionner que celle-là. J'aurais peut-être utilisé un peu de ponctuation. Certaines images sont "un peu exagérées" quant à moi mais ce n'est que mon opinion. Tout de même une excellente lecture. Merci et bonne continuation, Iris |
Lechat
16/12/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour hugal
J'ai beaucoup aimé le texte jusqu'au passage "L'on ne nous apprend ...". Les images sont percutantes, le style captive l'attention. Mais je ne comprends pas ce passage du "ils" au "nous". L'auteur commence par décrire les masses comme des personnes externes, ce qui fonctionne très bien, puis d'un coup, commence à s'identifier à elle avec ce "nous" et là, ça fonctionne moins bien. D'autre part, les expressions "l'on ne nous" ne sont pas très heureuses ce qui gàche les strophes dans lesquelles elles se trouvent. Dommage, car les images de la fin du poème redeviennent très belles. A mon avis, il manque peu de choses à ce poème pour entrer dans la catégorie des très bons textes. |
PierreLune
29/12/2010
a aimé ce texte
Un peu ↑
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C'est un peu l'Assomoir de Zola tranposé dans notre monde de la consommation.Par contre les vers:Le cerveau suintant
De télévision De publicités et d'émissions Débiles ressemblent plus à une conversation de comptoirs de bistrots comme pourraient le dire ceux que vous décrivez. La poésie même si elle est libre doit rester avant tout"poétique" sinon il vaut mieux se diriger vers la nouvelle. Dernière chose je préfère les majuscules à chaque vers. Mais peut-être avez- vous voulu donner une apparence ordinaire à l'image de ces gens. Je n'ai rien retiré de nouveau dans cette poésie tant le sujet est banal et"moult" fois utilisé". Il faut laisser cela à ceux "qui veulent pleurer dans les chaumières". Sinon le style est correct. |
Anonyme
21/12/2016
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Vous semblez désabusé, vos textes traitent pratiquement tous d'un même sujet, une jeunesse en perdition.
Comme dans le texte précédent, vos mots ne manquent pas réalisme, mais je les perçois trop grandiloquent, ce qui fait perdre à vos propos de la crédibilité. " je les vois la chair qui vire au jaune les yeux traversés de sang " Je ne déchiffre pas tout à fait ce que signifie ce passage : " nous sommes nos actes et nos pensées ne sont que désert de mots " Voyez comme le découpage engendre des difficultés de compréhension. Quel dommage, cela gâche l'idée émise. |