|
|
Pattie
12/5/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Le résumé m'avait fait craindre du verbeux, mais en fait non, j'aime bien. Ces vers, surtout :
"Qu'importe de quelle naissance il s'agisse Que ce soit celle du désir ou de la pensée ! L'important est ce goût agressif de l'aventure Loin de la chute dans la sensibilité corporelle." Et ça, aussi, avec le miroir cassé des jour, et le paradoxe "libéré" / "amertume". "Volons mais volons donc, Sur le miroir cassé des jours Qui déforme l'image d'un couple Libéré dans l'amertume de la vie." |
David
31/8/2008
a aimé ce texte
Un peu ↑
|
De l'enthousiasme,il y a comme une drôle de nuance d'une quête de sensation "vers le haut" contre une autre "Loin de la chute dans la sensibilité corporelle". Une évasion comme une envie de débrancher les neurones. Je reste un peu sur ma faim quand même.
|
Anonyme
25/12/2016
a aimé ce texte
Un peu
|
Je suis mitigé face à ce poème, j'ai buté sur cette phrase "L'important est ce goût agressif de l'aventure", je trouve que l'adjectif "agressif", ne correspond pas à ce "goût" de "l'aventure", l'envie plus fort que tout, d'accord, mais "l'agressivité" n'est-ce pas un peu excessif.
En fait, l'ensemble de l'écrit, me donne une idée de l'"Évasion" qui me déstabilise, elle semble être un besoin impérieux, une nécessité vitale, absolue, "Libéré dans l'amertume de la vie". C'est fort comme expression. Ou bien encore "Trébuchons de pensées en pensée, émus par la joie inouïe de notre délivrance". Je retiendrai de ce texte, ces deux phrases : "Volons mais volons donc, Sur le miroir cassé des jours" Les images que vous nous proposez, sont bien troublantes. |