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Lulu
3/9/2014
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Un très beau poème qui nous emmène au fil du large et pas très loin de la côte. Les vers sont vraiment superbes. J'aime beaucoup.
"Ses flancs, inconscients d'être voiles / Tissaient de vagues mélopées. Une bien belle image, entre autres... Le rythme de l'ensemble est agréable. Le poème est bien travaillé. Je le salue au passage. Bravo pour ce premier poème Ikran et au plaisir de vous lire à nouveau. |
Anonyme
3/9/2014
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Ikran,
J’aime beaucoup, beaucoup ton poème. Le lire à haute voix me fait glisser sur l’onde. Les images sont extraordinairement belles, elles ondulent au rythme de la méduse, avec une facilité déconcertante. On suit le ballet de la belle, les yeux écarquillés. Il y a quelque chose de planant à te lire. Merci infiniment pour avoir réussi à m’emporter sur le calme de l’océan. Ces beaux extraits, pour le plaisir de les mettre en exergue : « Le fond des mers, parfois secret, La berçait de rochers en dunes Et la mignonne au cœur de lait Dansait sur des croissants de lune puis Sanglotant, puis s’en allant Par les flots éblouis de peine Loin de ses royaumes d’argent À l’horizon qu’une aube emmène, » Cat médusée |
Anonyme
3/9/2014
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonsoir Ikran,
décidémment vous êtes quelqu'un qui écrit de façon intéressante. Ironique, maîtrisée (octosyllabes ? c'est bien cela ?), empli d'une vaste gratitude envers les mots que vous soignez et taquin, à travers, ici, un incipit qui m'a contraint à vous relire plusieurs fois, ce à quoi je me suis prêté de bon coeur compte tenu de la qualité de ce que je lisais. Alors, et bien je n'ai rien compris, ni des figurants, ni de l'auteur {Google : "Aucun document ne correspond aux termes de recherche spécifiés (kaputtschlagerwein)"} qui voulait manifestement -ou sans doute- signaler, par là, qu'il était amateur de quelques vins doux autrichiens ou d'ailleurs mais loin de la mer et du royaume dangereux où se prélasse cette dangereuse méduse embellie et sensuelle à souhait. Et pas qu'elle... Il m'a semblé - et tant pis si je semble idiot- qu'entre la description des errances de la belle, la cuite du narrateur et la belle éberluée aux béantes fesses, l'auteur a dû, en parfaite connaissance de cause et d'effet, s'égarer en se disant que qui l'aime le suive, ce que j'ai fait, on n'est pas tous les jours régalé de la sorte. Sans mélancolie, chagrin, hargne ou angoisse, diverses "choses" dont je suis, comme dans certains de vos textes aussi, souvent la victime consentante. Merci et chapeau. |
margueritec
4/9/2014
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Bon, je ne vais pas m'étaler comme votre gélatineuse ingénue. D'autres l'ont fait et très bien.
J'ai bien aimé, votre poème, tout simplement. Je l'ai même lu en entier, et relu, moi que le long rebute terriblement. Des myriades d'étoiles de mer pour : "Ses flancs, inconscients d’être voiles, Tissaient de vagues mélopées" "Le crépuscule aux yeux de sel." Au plaisir de vous lire à nouveau. |
Purana
4/9/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un long poème de seize strophes dont les onze premières strophes sont consacrées à la description de la beauté, de l'élégance et du comportement dignes d'une méduse.
La description est minutieuse et raffinée. Elle évoque l'envie de vouloir mieux connaître la belle séductrice. Dans cette partie, le deuxième figurant (la joie de vivre) est très visible et de ce fait, le lecteur découvre un monde où tout est beau, mystérieux et agréable. C'est vrai qu'à partir de la septième strophe le premier figurant (la tristesse) joue son rôle assez frappant, mais… "la joie de vivre" reste au moins dans le fond et donne au texte sa gaieté générale malgré les moments parfois difficiles. Merci Ikran ! Purana |
Brume
25/12/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Ikran
Crapulât? ce mot est une invention? "ravissante" méduse m'a amusée. Le poème est fou, mais reste sobre dans sa folie, ça m'a a la fois fait sourire et touchée. Non mais les descriptions de la méduse sont géniales! - "La méduse, molle sirène" - "Et la mignonne au cœur de lait" - "La gélatineuse ingénue !" -"ses yeux d’hymen !" Et puis amusant ces arrêts brusques sur ces 2 passages, ça donne du punch: - "Dansait sur des croissants de lune puis" - "Où son corps se mêle à mes larmes mais," J'ai vraiment apprécié de suivre la jolie méduse dans les profondeurs, J'aime la richesse du décor, l'impression de voir un film qui défile au ralenti. |