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Anonyme
2/4/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Je n'ai pas compris grand chose, comme si un fou me parlait de sa folie, convaincu que je le comprends, mais comme le rythme est à lui seul génial, j’adhère totalement à ce texte.
Il y a des trouvailles superbes: "Comme des bronches de lumière" "À l’abscisse de tes poumons" Bravo donc. |
Lulu
3/4/2016
a aimé ce texte
Passionnément
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Le titre a piqué ma curiosité... et je ne suis pas déçue du voyage.
Ce texte est tout frais, plein d'humour, oui, mais surtout frais par ce qui déborde de vie. Ca bouillonne, jusqu'à ce "soleil bizarre" qu'on peut aussi se représenter. J'ai aimé que l'auteur nous fasse confiance. Pour jouer ainsi des mots et avec les mots, il faut une certaine connivence avec le lecteur. C'est un peu dans l'idée de ce qui est énoncé au départ ; il s'agit de faire de l'humour. Mais ce que j'ai aimé dans ce poème, c'est aussi le ton grave du locuteur qui joue aussi sans jouer quand il dit par exemple "Il paraît que mourir / C’est se dire qu’on existe"... J'ai adoré le ton de ce poème, mais aussi sa forme libre - l'auteur exploite à fond les ressorts de la poésie libre pour faire part de cette "inquiétante étrangeté". C'est, pour moi, une poésie qui chamboule, réveille, égaie... Je trouve que c'est une belle déclaration du fait d'exister. Je ne dirais pas dans la "folie", comme c'est suggéré "c'est la folie quelque part" ou "c'est la folie quoi". Je dirais plutôt que c'est le plaisir d'être au monde, tant cela déborde. Le poème est poésie en tant que texte et en tant que fait dans ce plaisant débordement. Bonne continuation à l'auteur. |
hersen
3/4/2016
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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c'est un poème qui me renverse littéralement; ne vous attendez pas à ce que je dise pourquoi car ces mots n'ont absolument pas besoin de mes balbutiements. Et de toute façon, je ne sais pas pourquoi;
je dirais que c'est un chef-d'oeuvre. Est-ce que ce le fait comme commentaire ? Merci |
Pouet
20/4/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Je suis rarement déçu avec cet auteur, une écriture décalée et poétique.
Plein d'mages bien trouvées: "Le soleil a toujours Des morceaux de rossignols Coincés entre les dents" "Tétant la stupeur tiède Au ciel couperosé." "La vitre au mur étrange Applaudit nos draps sales " "Comme des bronches de lumière" etc etc... Bref une lecture qui me parle, qui me questionne, qui m'intéresse. Le moins que l'on puisse dire c'est qu'il n'y a pas de restriction dans l'écriture et c'est ce qui me plaît. Au plaisir. |
Pimpette
20/4/2016
a aimé ce texte
Passionnément
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Que c'est bon de trouver ce matin vos mots qui pullulent, qui pullulent.
Une vraie liberté de style et de sens car le texte un peu louf ne manque pas de sens...ce n'est pas un sens logique mais nos vies, la mienne en tout cas manque aussi de sens logique...surtout dans ses aspects les plus importants...c'est ainsi! la première strophe est fabuleuse. Ce genre de texte a souvent ce genre d'attaque qui entraine tout le reste? ET soudain, une décharge bienheureuse qui apporte une lumière: "Oui mais oui mais oui mais Il y a ton corps à toi Qui décuple un cortège D’amour Refait les joues des siècles Pomponne leurs Contours" je peux prendre pour mon blog? Dis oui, s'il te plait! |
Anonyme
20/4/2016
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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Ben clap, clap, clap ! et merci pour ces salves fraîches et pétillantes.
C’est un régal du début à la fin. Ce n’est même pas trop long, pourtant ce n’est pas vraiment court. Il y a des bijoux fantaisies qui rutilent de couleurs et de lumière, souvent vendus par le fabricant lui-même dans la rue, pas chers et pourtant parfois plus jolis à regarder que les bijoux de chez Cartier…votre poème me fait penser à ces objets riches et bon marché. Donc en vous lisant – c’est là ou je voulais en venir – on fait une très bonne affaire… Je ne relève rien en particulier, je ne voudrais pas risquer de casser le collier. |
Vincendix
20/4/2016
a aimé ce texte
Vraiment pas
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Je suis sans voix devant une telle débauche d’images surréalistes.
Mais c’est un style que je n’apprécie pas, même à petites doses et là, c’est la totale ! « Sur la rigueur d’un renard crevé », Hop ! « Les rochers baveux d’ombre font des bulles » Ouille ! « Les coutures des racines » Ploc ! « Les bronches de lumière » Clap ! La folie n'excuse pas tout! |
Anonyme
20/4/2016
a aimé ce texte
Pas ↑
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Bonjour,
Désolé, c'est inquiétant cette étrangeté et je ne l'ai pas pénétrée. Cela semble partir en tous sens mais nulle part où je puisses m'arrêter, souffler, respirer. Mon esprit est déjà un gros fouillis et là vous ne m'aidez pas à y voir clair. Je vous laisse à votre gentille folie. Je vais aller me prendre un café et une minute ou deux de bonne méditation pour chasser ces presque belles images qui ne m'ont mené... vers aucun horizon, sur aucun nuage. Dommage |
Anonyme
20/4/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour ikran,
Bigre, je vais tenter de me dépêcher de commenter si vous remerciez déjà. Bon, il ne me semble pas avoir vu d'explication, je vais pouvoir vous dire que je n'ai pas vraiment compris votre poème, mais que je n'en suis pas du tout gênée. En effet, j'ai envie de plagier votre incipit: "Que dire ? " Pourtant, je dois vous dire que je me suis faite littéralement happée par votre écrit. Et seulement bercée ou malmenée par les sonorités je suis arrivée en fin de voyage sans m'en apercevoir. Et j'ai lu un magnifique poème d'amour, d'amour de l'autre, de la nature, de la vie. Et dans une liberté totale (enfin presque car la seule fausse note que j'ai enregistrée est "en sou-pente-ffle". fausse note ou mauvaise appréhension de la fantaisie ?) Et cet amour mène ou est à l'origine de la folie, mais bon sang qu'elle est belle !! bravo et merci ! |
LenineBosquet
20/4/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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N'étant pas féru de poésie libre, je dois reconnaître que votre texte m'a cependant fort touché.
Je ne sais pourquoi, mais son "inquiétante étrangeté" m'a immédiatement fait penser à Ray Bradbury ( "La pays d'octobre"), comme il m'a fait aussi penser à un buvard d'acide qui serait passé de travers... Mais ceci est encore une autre histoire! Merci! |
placebo
20/4/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Idem, c'est rare de voir les remerciements si tot dits, j'en profite pour commenter.
J'ai trouve le texte a peine long sur la fin, preferant la premiere moitie, et puis je me suis dit que ce n'est pas tous les jours qu'un auteur installe son monde et son etrangete de la sorte, ca peut bien durer quelques vers de plus :) J'aime bien, ca me rappelle un "soleil cou coupe" d'Appolinaire... Le rythme, l'enchainement de la prononciation des mots et les images sont excellents. Bonne continuation, placebo |
leni
20/4/2016
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A ikran
j'ai lu plusieurs fois votre poème et une fois à haute voix Je pense qu'il s'agit d'un texte surréaliste dont la musicalité est indéniable J'ai perçu des sonorités mais pas le sens du texte Il est une inquiétante étrangeté J'ai perçu des moments de folie Elle était exprimée sur le divan d'un psy qui a peut-être compris ON pourrait dire que c'est une belle pensée délirante construite par un poète qui n'est pas fou D'ailleurs n'est-il pas pensable que l'on soit vous et moi le fou de quelqu'un Je ne juge pas ce que je ne comprends pas Mais ce texte m'a beaucoup intéressé et je viendrai sur chacun de vos écrits Merci de m'avoir tourneboulé les hémisphères Merci à vous Et salut cordial LENI |
MissNeko
20/4/2016
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Bonjour
Je vais reprendre vos propres termes : Je ne sais que dire ! Je ne peux pas dire que je n'ai pas aimé car vous utilisez des images très poétiques ou très originales qui m ont plues. Je ne peux pas dire que j ai aimé car je n ai rien compris. Et personnellement, il m est difficile d aimer quelque chose que je ne comprends pas ne serait ce qu'un peu. Bref vous m avez troublée je dirai ! Et c est déjà pas mal car je ne suis pas une grande fan de ce genre de poésie. |
David
20/4/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour ikran,
J'ai l'impression d'avoir écrit : "bonjour écran", ça y est, ça commence le mode viral de cette "inquiétante étrangeté". J'ai adoré ces "qui pullule(nt)" et en fait, tous ce bruit que font les mots, il y a un "pft', un "hips", des "ploc", des "clap", un "oh lala" un "hum", un "oh", un "ah", un "hu", un "ouille", et j'en oublie. Le poème tient bien sa longueur, pour le sens, il me semble que le "toi" intervient à partir de "Et ce soir" avant, c'est le parcours du soleil couchant qui serait imagé depuis "Il est tard" ; le "Il est tôt" et peut-être aussi le "Mais enfin" semblent clôturer des parties également. |
aldenor
22/4/2016
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Un poème qui fourmille et pullule de passages inspirés…
J’aime beaucoup. Une chose me chagrine pourtant. La folie est inhérente à la poésie. Or, j’ai par moments l’impression que vous venez nous dire : me voici, je suis le fou…. Allant jusqu’a en parler nommément, en début et fin du poème. On le savait puisque vous etes poète ! |
Lylah
23/4/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour,
J'ai adoré le début et j'ai décroché entre "hum" et "ouille" pour reprendre le cours des choses avec plaisir jusqu'à la fin. Peut-être ai-je ressenti dans ce passage une trop grande "intention" de "démontrer" la folie et que cela "cassé" le charme pour moi ? A mon sens, il y a suffisamment de folie en vous, visiblement, - et je vous en félicite - pour ne pas en rajouter ! Au plaisir de vous lire de nouveau |
Anonyme
23/4/2016
a aimé ce texte
Bien
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Le rythme est rapide et passe très bien. Il est maintenu tout au long du poème et c'est intéressant. Toutefois, on se perd dans le sens. Quel est le sens de ce texte? Où voulez-vous en venir? Je ne sais. Cela m'a fait penser, au choix, aux propos des bien ivres de Rabelais, à certains textes Surréalistes de la tendance Breton, ou à des exercices littéraires de Queneau.
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mimosa
25/4/2016
a aimé ce texte
Vraiment pas
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Vraiment écrire pour écrire, comme si n'importe quelle figure de style pourrait faire l'affaire du moment que nous sommes en poésie libre!
Les hourras d’herbes Dans sa nuit noire la cuticule… À l’abscisse de tes poumons J’ai planté des orgasmes la rigueur étrange D’un renard crevé. Plus des flop, des hips, des clap, des ffl... |
Meaban
28/4/2016
a aimé ce texte
Passionnément
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j'ai souvent la flemme de commenter mes commensaux, mais la ça vaut l'effort
ce texte est d'une richesse et d'une profondeur inattendues; j'ai pour moi suivi le fil des vers d'une traite en trébuchant sur les concepts abordés en abyme, ce que je trouve formidable.. |
Paul777
10/5/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'aime cette folie, ce côté surréaliste, ce rythme changeant...
poème très vivant, plein d'énergie et ne pas tout saisir est un des plaisir de la poésie |
bolderire
10/5/2016
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Curieusement j'aime bien , et curieusement ça ma fait penser aux montagnes de l'Atlas .
A prendre comme association d'idées...et se laisser bercer. |