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BeL13ver
3/12/2017
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Le titre me semble sonner bien contemporain, même si le texte est plutôt néo-classique, en effet, dans la forme.
L'auteur se plaint ici d'un manque d'inspiration, du fait qu'il ne se pense pas reconnu par ses modèles. Une plainte un peu plate à mon goût, qui paraît autant une jérémiade que celle des "vieillards malades". J'aime beaucoup la quatrième strophe qui ne manque pas d'inspiration, mais qui paraît mal amenée par ce texte un peu insipide. L'auteur pourrait donner plus de saveur à ses textes que cela en changerait ses états d'âmes... Qui plus est, le néo-classique reste du classique, un peu retravaillé, certes, mais du classique malgré tout. Ici le vocabulaire et le style tendent plus au contemporain. Quoique la forme soit néo-classique (ainsi que dit plus haut). BeL13ver, en Espace Lecture |
solo974
6/12/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
J'aime beaucoup votre poème néo-classique, au rythme régulier et à la technique maîtrisée concernant la métrique. J'ai particulièrement apprécié la reprise de "Je suis" (le vieux barbu/le ténébreux/l'enfant prodige/le débauché/un purgatoire/un doux hospice) qui illustre très bien - selon moi - la thématique même de votre poésie : la quête d'une identité littéraire. A cet égard, la métaphore filée de l'écriture (vers/rythme/anaphore/plume/mots) est évidemment un plus. Je suis un peu plus réservée quant au choix du titre - mais ce n'est que mon point de vue. |
Queribus
20/12/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
J'ai été , dès la première lecture, frappé par la qualité de votre poème "néo-classique" quoique,classée dans la catégorie poésie contemporaine; j'ai trouvé , par ailleurs, à, votre écrit, un côté baudelairien qui le rapproche de la modernité. Le dernier quatrain donne par ailleurs un côté inattendu et bienvenu à votre écrit. En résumé de la belle ouvrage, une prosodie bien maitrisée, de l'originalité, en un mot un bon moment passé à vous lire. Bien à vous. |
papipoete
20/12/2017
a aimé ce texte
Bien
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bonjour inconnu
ça fait drôle tout de même de vous parler ... inconnu ! Votre poème est à votre recherche, et ne semble pas durant les 4 premières strophes avoir mis une identité sur votre personne . Peut-être l'ultime quatrain vous révèle-t-il enfin qui vous êtes ? NB les images savamment posées, agrémentent votre texte comme au vers 3 et 4 par exemple ! " j'accorde aux mots grossiers de séduisants parfums " me plaît aussi . Dommage que " anaphore/fort "..." entortillés/endeuillée " ..." damnées/surannés " ne riment pas ensembles, la forme " néo-classique " put s'appliquer à vos dodécasyllabes ! |
Anonyme
20/12/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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Cette " recherche d'une identité poétique " est bien exprimée avec ces allusions successives " vérolé, le vieux barbu, le ténébreux ...".
" Chacun, à sa façon, tour à tour me tourmente. Je suis un purgatoire où des âmes damnées, En quête de pardon, sans cesse se lamentent, Et versent à grands flots des sanglots surannés." c'est le passage que je préfère. |
Anonyme
20/12/2017
a aimé ce texte
Un peu
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Le titre m'a un peu mis la puce à l'oreille "A la recherche d'une identité poétique" ... encore un
C'est ce à quoi je m'attendais, pas de surprise, vient irrité un peu mon humeur taquine de ce jour, ce tonitruant "Je suis" répété 7 fois quand même, dont 3 à la suite l'un de l'autre, dans la troisième strophe. Cela fait franchement beaucoup ... Ravi de voir que sous tout ces aspects variés et divers, il y a un "je suis", qui est très présent et consistant. Mais il ne m'a pas touché, et quelque part un peu agacé. Le poème en sa forme est bien mené. |
sourdes
21/12/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Inconnu1
sans vouloir faire de rapprochement trop rapide, je n'ai pu m'empêcher de penser à "El desdichado" de Gérard de Nerval. "Je suis le ténébreux... Laisse échapper un pleur, mélancolique et fort" Mais votre identité poétique n'est sans doute pas là car vous ne recherchez pas "le Pausilippe et la mer d'Italie, la fleur qui plaisait tant à mon cœur désolé", vous suivez votre penchant initial, sans concession pour vous-même et les autres, en affichant votre identité, l'anaphore est là, dans un entourage que vous considérez comme déliquescent. Votre métrique est maîtrisée et vous ne manquez pas d'humour, d'ironie...de réalisme pittoresque, de fantaisie acerbe, disait on jadis. |
Gemini
21/12/2017
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Petit exercice pour deviner les auteurs annoncés dans l'exergue.
Peut-être Baudelaire en premier, Hugo en second, Nerval sans aucun doute ensuite, j'ai pensé à Dante pour le quatriième, et je donne ma langue au chat pour le dernier (le "discipliné dépôt" m'échappe et "accoudés à mon front" me laisse coi). Dans l'attente des résultats, veuillez agréer... |
inconnu1
21/12/2017
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Pour répondre à Gemini. Merci
http://www.oniris.be/forum/discussion-sur-a-la-recherche-d-une-identite-poetique-t25025s0.html#forumpost336018 |
Bidis
18/1/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Ce poète parle de ses maîtres, et il en parle tellement bien qu'à mon ressenti, il en vient à les égaler.
Ainsi, la première fois que j'ai lu ces vers, ils m'ont interpellée. A les relire encore, je les ai vraiment trouvés très beaux. Chacun qui écrit s'est sans doute mis peu ou prou dans la peau des écrivains qu'il admire et aime passionnément. En tout cas, j'ai ressenti fortement ce mouvement et cela aussi m'a plu. |
Damy
30/1/2018
a aimé ce texte
Passionnément
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Votre poème gothique (bien que contemporain) me parle profondément, moi qui tente de cultiver cet art dans mes moments de mélancolie.
Tout comme gemini, j'ai essayé de reconnaître un Grand Poète par strophe et si j'ai bien reconnu Nerval et son "Desdichado" au 3° quatrain, je manque de culture (ou de mémoire) pour en trouver d'autres. Je dirai tout simplement que votre recherche d'identité poétique est parfaitement abouti, car, au fond, tous les artistes mélancoliques peuvent aisément s'y reconnaître. Merci, iconnu1, pour ce très bon moment passé en votre compagnie. |