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Jemabi
31/8/2022
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Une construction originale (en flash-back) pour ce poème dont la narration est truffée d'images sensuelles et colorées, de références artistiques, même si le tout est teinté d'amertume. C'est comme si on avait droit à deux, voire trois poèmes en un seul, mais l'ensemble tient bien la route et forme une belle cohérence. Les histoires d'amour se résument en effet à quelques mots importants, parfois ambigus, et d'autant plus importants qu'ils sont ambigus. Cela devient encore plus compliqué quand ceux, ou celles, qui les prononcent en sous-entendent d'autres...
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Anonyme
10/9/2022
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour
Une poésie à références historiques et musicales. Je salue l’auteur de les avoir mises en notes de bas de page, ce qui aide beaucoup à la compréhension. C’est une poésie amoureuse qui se lit très bien et qui évoque Florence, une ville que j’aime beaucoup. Peut-être aurait-elle été plus puissante sans ces rimes incongrues qui m’ont sortie du romantisme soyeux où les vers me portaient (sono-techno-kimono). Ca n’a peut-être pas grand-chose à voir avec la choucroute, mais je me souviens d’une réplique d’un vieux film dont j’ai oublié le nom où une dame à l’Opera demandait à son voisin : « Vous ne trouvez pas que Wagner est exquis ? » Et celui-ci de lui répondre : « Chère amie, Wagner est inécoutable pour certains, divin pour d’autres, mais certainement pas exquis… » Merci pour cette lecture galante Anna de Médicis |
papipoete
10/9/2022
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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bonjour inconnu
Je crois qu'il va falloir absolument changer de pseudonyme, avec ce poème qui nous montre l'étendue de votre talent ! Un sonnet déjà, n'est pas chose facile alors deux ! Une étude poétique sur l'avant épousaille, puis le présent qui remet les pendules à une heure pleine de regrets ! Je t'aimerai toute la vie ; pour toujours, avec le souvenir du prêtre qui prend acte, et bénit ce couple que rien ne pourra séparer... Je note l'érudition de l'auteur, qui se promène avec tant de facilité, dans la musique techno comme dans cet opéra de Wagner... bleufé je suis ! Tout est très beau, ( le 3e quatrain ! ) mais ma préférence va au tout dernier quatrain ! Non, cher poète, vous ne pouvez demeurer " inconnu ! " |
Miguel
10/9/2022
a aimé ce texte
Passionnément
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Une superbe lecture; des vers d'une grande beauté, des références culturelles de haut vol (j'ai une préférence pour cette marche de Wagner, je la trouve moins "bling bling" que celle de Mendelssohn), et cette méditation sur trois adverbes si fréquents dans notre langue, un peu "fourre-tout" et qui prennent ici un sens renouvelé. La tonalité élégiaque de l'ensemble, soutenue par des résonances comme les corps qui s'étreignent et les cors qui s'éteignent, crée chez le lecteur un vrai "vague à l'âme". En même temps, par certains aspects, le poème garde une étrange dimension mystérieuse. Bravo et merci.
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Lebarde
10/9/2022
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Inconnu
En ce moment sur Oniris, c’est la quinzaine ou j’espère le mois et peut être l’automne du Classique? Comment ne pas s’en réjouir surtout quand est présenté un texte de cette qualité qui allie l’écriture élégante, la poésie délicate et subtile, la culture musicale et littéraire que vous avez pris soin d’éclairer par des informations bienvenues pour aider les lecteurs à la compréhension. Un poème qui comme son auteur, gagne c’est sûr à sortir de « l’anonymat « . D’abord rebuté en EL par la longueur, je ne regrette pas d’y être revenu pour apprécier à sa juste valeur ce magnifique poème. Bravo et merci, Lebarde |
GiL
10/9/2022
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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Remarquable !
Par la qualité de la narration dans un style recherché voire un peu rétro, mais toujours clair et fluide, par la richesse des images et des références florentines qui l’ancrent dans le vécu. Par la construction, qui entremêle aux rebondissements du récit une réflexion sur les trois adverbes qui l’argumentent. Par la prouesse que constitue l’enchaînement de deux sonnets construits sur les même rimes. Par la qualité prosodique des alexandrins et des rimes (dont « peut-être » et « toujours », dans les tercets). Bref, je suis enthousiaste, j’aimerais savoir en écrire d’aussi remarquables ! Merci, inconnu1. PS : comme je suis jaloux et mesquin, je me suis demandé si l’essence de l’autel (le hêtre) ne serait pas là pour la rime : eh bien non ! Google m’apprend que le mobilier liturgique est souvent fait en hêtre… Pardon! |
Lotier
10/9/2022
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Je me suis perdu une fois dans Florence. Je m'en suis sorti en tournant une fois à gauche, une fois à droite, toujours dans cet ordre : mais peut-être ai-je eu de la chance… on ne sait jamais !
Conclusion : se méfier des anneaux, ça tourne en rond ! Bon désolé, mises à part ces divagations, le poème a de la tenue (j'aurais mis toutefois « saurait-elle » plutôt que « saura-t-elle »), j'aime bien son amertume sous-jacente. |
Cristale
10/9/2022
a aimé ce texte
Passionnément
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Bonjour Inconnu1,
Rimes en écho pour ce double sonnet augmenté de quatrains embrassants dont un en ceinturon. Quel travail ! L'histoire avant, sur des musiques folles, l'histoire après et la messe est dite sur la fabuleuse marche nuptiale de Wagner, l'histoire de fin et son lot de désillusions. J'aime les auteurs qui peaufinent leur création jusqu'à obtenir le résultat le plus abouti qui soit...comme avec ce poème. Bravo et merci Inconnu1 Cristale |
Myo
11/9/2022
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Inconnu,
L'histoire d'un amour qui se rêve, qui se vit et qui se meurt. Un regard sur ces 2 amants dans une ambiance historique et musicale qui nourrit le propos. Un travail époustouflant d'une technique irréprochable, un vocabulaire riche et des références instructives. Un grand bravo pour tout cela. Pourtant, personnellement, je trouve à ce poème un côté un peu "guindé" , comme un manque de naturel qui m'empêche une émotion sincère.... et m'éloigne ( mais si peu) du passionnément. Myo |
Anonyme
11/9/2022
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Bonjour,
Avec mes excuses par avance, de dénoter dans le flot de notes positives, mais tout en reconnaissant bien évidemment les qualités indéniables de la maitrise de la contrainte classique, et les références diverses qui rendent le tout assez visuel, je n'ai pas aimé ma lecture. Mais c'est certainement parce que j'attends d'une poésie qu'elle me parle et là, je ne me sens pas du tout concernée, ni dans la manière de poser le contexte, ni dans la façon de parler d'amour et d'infidélité. Si j'aime l'élégance de certains vers, aucun ne m'a vraiment emporté au point de laisser une trace dans ma rétine de lecteur un peu trop moderne, mais pour moi ça manque de simplicité dans l'évocation tout en manquant d'originalité dans l'image. Je suis donc incapable de poser un avis sur votre oeuvre qui me laisse si pas indifférente, sans opinion favorable sorti de la remarquable maitrise de la versification, bien entendu. Pardon, donc, je réessaierai une prochaine fois. |
inconnu1
12/9/2022
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Anonyme
12/9/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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Vos rimes embrassées font danser. La danse de l'amour et de la vie que ce soit à Florence ou au bord de la Seine est toujours la même ! Elle mène soit à Wagner soit à Mendelssohn, puis presque fatalement à la duplicité.
N'empêche, vous offrez un poème élégant et parfaitement ciselé qui se marie en grande pompe avec vos inspirations classiques. |