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Cristale
17/3/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
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Une jolie façon de décliner les sonorités des fins de vers qui s'adapte bien au format tercet pour ce poème contemporain aux alexandrins parfaits.
J'aime également la non-ponctuation et je verrais même la suppression des majuscules des vers 2 et 3 de chaque tercet. J'entends une vie de couple et le passage du temps qui rend l'amour et sa symbiose un peu moins idylliques mais qui finalement vient à bout de toutes les épreuves. C'est joliment dit : "Juste un peu de beauté qui traîne au bout du jour Un petit air de rien pleure et rit tour à tour Un petit peu de nous qui s’appelle l’amour" Une belle écriture que j'ai eu plaisir à découvrir. Cristale en E.L. |
Miguel
25/3/2021
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Quel charmant poème ! Il y a quelque chose d'un chant, avec ces termes repris de manière un peu incantatoire, et c'est plein d'images et de jeux de mots qui ne sentent pas le bel esprit mais le coeur tendre. C'est touchant dans le meilleur sens du terme.
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Queribus
27/3/2021
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
Un texte tout à fait honorable avec des alexandrins quasi parfaits, un écrit qui se lit facilement avec des mots simples et de belles images poétiques: "Un éclat de miroir éteint nos premiers feux", ""Un filet d'avenir ruisselle entre les lignes", "Au creux du temps qui passe et repasse et nous plie", etc. Sur le fonds, un petit air de rien mais une belle réflexion sur la vie, le couple et l'amour. De la belle ouvrage qui fait plaisir pour commencer la journée. Bien à vous. |
Donaldo75
27/3/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
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J’ai beaucoup aimé la musicalité de ce poème dont le titre scande le refrain entamé dès le premier tercet. Ce refrain s’immisce dans ma lecture sous une forme subtile – pas un refrain classique comme le permet le format de chanson – et devient subliminal au fur et à mesure des tercets. La légèreté et le rythme de l’ensemble développent la poésie au point qu’elle s’ancre dans ma lecture et lui confère l’impact que l’exergue résume avec humour.
Bravo ! |
Anonyme
2/4/2021
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Ioledane,
Que c'est beau ! J'aime beaucoup la musicalité des alexandrins et les nombreuses images dans une poésie émouvante et touchante . L'ensemble est harmonieux et empli de douceur. Je suppose que le manque de ponctuation est voulu? Ça ne me dérange pas. Juste un peu de beauté qui traîne au bout du jour Un petit air de rien pleure et rit tour à tour Un petit peu de nous qui s’appelle l’amour. Magnifique tercet final . Une très belle lecture. |
Robot
2/4/2021
a aimé ce texte
Passionnément
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Une bonne idée que de n'avoir pas forcé pour obtenir le classique. Je pense que la rythmique, la musicalité, les mots et les rimes n'auraient pas eu cette fluidité que l'on ressent à la lecture. L'ensemble nous offre à la fois un air de légèreté et de conviction qui personnellement m'a séduit. Je ne choisi pas entre les tercets, tous servent à merveille le récit et se complètent pour donner un tableau lyrique fort agréable.
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apierre
2/4/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un petit air de rien si délicieux.Une lecture fort agréable.De belles sonorités, de simples et jolies images.J' ai beaucoup apprécié.
Bravo et merci pour ce doux moment de lecture ! |
Anonyme
2/4/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
Beaucoup de douceur, de tendresse dans ce texte. "Un petit peu de moi qui ne ressemble à rien Un petit air de rien qui te ressemble un peu" : quelque chose se dessine entre ces deux êtres... un amour atypique, anticonformiste, une forme d'espoir atypique, inattendu autant qu'inespéré... contre vents, marées, et surtout, apparences. "Quelque chose pourtant s’obstine et nous retient". De quoi alléger le coeur du lecteur. Dugenou. |
inconnu1
2/4/2021
a aimé ce texte
Passionnément
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Voila la force du contemporain quand il s'assume. Je lis les vers d'un seul trait rapidement et sans m'attarder sur le sens mais simplement en absorbant la musicalité des allitérations et des répétitions de phonème : "guide de fil pâli qui nous suit et nous lie"; "composant au couchant le contrechant du cygne". Quand je lis ces vers hors contexte, je ne cherche pas de message fort, je ne cherche même pas à savoir ce que cela veut dire, mais peu importe, c'est joliment dit. J'ai envie de décliner les vers avec le tempo d'un Jacques Brel dans une valse à mille temps.
bien à vous |
Damy
2/4/2021
a aimé ce texte
Passionnément
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Quelle délicatesse et quelle élégance pour évoquer le temps qui passe mais qui n’a pas raison de l’amour qui survit au crépuscule des ans. Je suis charmé.
Je suis très sensible à la musique de ces tercets en alexandrins parfaitement rimés. Votre poème se prêterait bien à une chanson parmi les plus romantiques (Brel, Aznavour… et pourquoi pas Barbara) : « La vie, un ton plus grave, et ses voix incomprises Lamentos murmurés, notes que l’on souligne Composent au couchant le contrechant du cygne » C’est vraiment très beau. |
ANIMAL
2/4/2021
a aimé ce texte
Passionnément ↓
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Superbe composition, équilibrée, délicate et sensible. Chaque vers porte l'harmonie du tout et c'est un régal de lecture, y compris à voix haute.
Un poème aux subtiles allitérations, qui berce comme la mer pour raconter l'amour. Chaque mot est à sa place. |
papipoete
3/4/2021
a aimé ce texte
Bien
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bonjour Ioledane
un petit peu de nous, de toi et de moi ; le miroir sait nous montrer le fruit de notre amour et les murs renvoient l'écho de ces cris, de ces rires qui nous emplissent de joie... NB ceci est mon interprétation, un bout ce chou qui va et vient, respire de bonheur et le communique à longueur de jour... dodécasyllabes chantant tels haïkus étirés de quelques pieds... |
Hiraeth
3/4/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
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Très beau poème, un peu hermétique parfois mais toujours intéressant et agréable à lire, à la construction subtile et au rythme charmant comme une chanson populaire. Une approche de l'amour tout en légèreté et délicatesse, un amour vainqueur des illusions, qui perdure malgré la mort des premiers feux, tissé par on ne sait quelle puissance mystérieuse.
Je regrette juste la ponctuation un peu irrégulière : il me semble préférable en poésie d'opter pour le tout ou rien. |
Myo
4/4/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
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Dans la simplicité de ce peu de nous se crée toute la différence qui permet de cimenter l'amour même lorsqu'il perd de sa fougue.
Des mots simples pour dire l'essentiel de ce qui lie deux êtres et leur donne l'envie de poursuivre côte à côte la route. Un écrit musical et doux comme un bisou. Merci Myo |
GiL
24/5/2021
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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Quel beau poème ! Qui respire, qui prend au classique tout ce qu’il a de bon et en délaisse (délace) le corset.
La délicatesse des vers, leur musicalité m’empêchent d’en approfondir le sens. Je ne vais pas chercher à analyser à la va vite, je vais faire ce dont j’ai l’habitude quand je rencontre un poème qui me touche vraiment : l’apprendre par cœur pour le découvrir un peu mieux à chaque fois que je me le récite mentalement… Rendez-vous donc dans quelques mois pour la fin de mon commentaire. *** Six semaines plus tard… Quel beau poème ! Que j'apprécie toujours autant après m’en être imprégné et me l’être un peu approprié. Je le vois comme un sablier, une métaphore du temps (et de l’amour) qui s’échappe du cône supérieur (les deux premiers tercets) et remplit, jour après jour, le réceptacle inférieur (les deux derniers). Le poème est symétrique par rapport au tercet médian qui propose une autre image : celle de la toile de la vie (à deux) que tisse la navette du temps : "Courant d’un point à l'autre, une trame indécise Guide le fil pâli qui nous suit et nous lie Au creux du temps qui passe et repasse et nous plie" Ces vers me touchent d’autant plus qu’ils m’évoquent une image très proche (écrite il y a déjà plus de vingt ans !) : "...Deux allers, deux retours / Sur la chaîne des jours... Le temps file, impavide, / Sa quenouille et dévide Un à un nos avrils / Dont il mêle les fils…" Le quatrième tercet répond au deuxième par les rimes et, plus encore, par les mots qui les portent (souligne/lignes, cygne/signes), mais aussi par le sens : la vie, le couchant répondent à l’avenir, aux espoirs… Les allitérations en « l » du cinquième vers : "Un filet d’avenir ruisselle entre les lignes" se retrouvent au onzième : "Lamentos murmurés, notes que l'on souligne" (avec en plus une allitération en « m »). Je ne peux m’empêcher (c’est une impression très personnelle) de rapprocher par les allitérations et les assonances le début du douzième vers (Composent au couchant) du début du quatrième (Quelque chose pourtant). Enfin, il est évident que le premier et le dernier tercets se répondent par la forme : les amorces des dernier et avant-dernier vers sont identiques à celles des vers 1 et 2. J’ai l’impression, également, que le troisième vers en partant de la fin est un reflet, par le sens, du vers 3, mais ce n’est là qu’une hypothèse. Puisque j’évoque le reflet, une dernière image de symétrie est présente à mon esprit, celle d’un étang où se reflète, atténué, le paysage… et le cygne ! Le dernier vers est très beau. Merci, Ioledane. |
Ioledane
6/4/2021
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papymordoc
18/5/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
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Très belle ode à l'amour et à la vie. Une solitude accompagnée d'une autre solitude s'accrochant au bonheur d'un regard qui vous voit.
Merci |