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pieralun
5/10/2009
a aimé ce texte
Un peu
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Ce parallèle entre l'écriture et l'amour me laisse perplexe.
J'ai beaucoup de mal à entrer dans le rythme des vers et dans la musicalité des mots. Je viens de lire " C'était l'été ", et je préfère le premier au second, donc le talent est là. |
Marquisard
5/10/2009
a aimé ce texte
Pas
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hmm, pas convaincu non plus.
Les strophes s'enchainent d'une façon assez bizarre, les métaphores adjectifs et autres font un peu "forcés", les images sont un peu étranges aussi "désire longe la main", et puis bon ben pas accroché tout simpement. |
Lulu
5/10/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Et bien moi, je m'y retrouve absolument. C'est magnifique... de densité comme peut l'être un beau poème ou une sensualité poétique...
J'aime "le dénudé des mots" et leurs couleurs suggestives, comme ces sens multiples qu'ils savent caresser. Mais j'ai un doute sur "poème inhabité"... La formule est belle, sonore et sensée, mais j'ai du mal à suivre le sens dans l'ensemble car tout ce qui précède semble exprimer le contraire : une sorte de poème riche d'exister. En tout cas, une très belle lecture. Vraiment. Lulu |
shanne
5/10/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
Ce poème me plait beaucoup, c'est vrai, par moment, les mots sont inutiles, seul le corps existe.Un décalage entre le verbal et le non verbal qui peut nous blesser, peut nous faire mal. Une plume peut nous faire frémir...et votre plume m'a fait frémir |
Anonyme
5/10/2009
a aimé ce texte
Pas ↑
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Voilà un texte qui me laisse bien perplexe ! J'ai cherché en vain la musicalité, la saveur des mots, une certaine sensualité en somme... A une prochaine fois.
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jaimme
5/10/2009
a aimé ce texte
Bien ↓
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J'ai trouvé joli le jeu de mots sur "chandelles" et l'ensemble montre une belle envie de mots. C'est d'ailleurs une part du thème de la poésie.
La première strophe m'a bien plu. Il faudrait encore travailler la musicalité, à mon avis. |
LeopoldPartisan
5/10/2009
a aimé ce texte
Passionnément
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Excellent. Très beau et retenu. Grande économie de moyens pour n'y faire figurer que l'essentiel. J'admire toujours pareil concision, où pas un mot ne fait défaut ni n'est de trop. la dernière image est une trouvaille qui peut s'interprêter à plusieurs niveaux.
Du coup je m'encours lire ton autre poème publié. |
Anonyme
6/10/2009
a aimé ce texte
Pas
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Bonjour,
moi j'ai toujours un problème avec la poésie qui privilégie le sens à la musicalité. Le sens ne me suffit pas, désolé, je reste totalement en dehors et je trouve ça à la limite du ridicule "les amants s'allument, s'éteignent..." ? c'est vraiment ce qui est écrit ? Les bras m'en tombent, non franchement, pas du tout ce que j'apprécie en poésie. Mais ce n'est sans doute qu'une question de goût. Bonne continuation. |
Chene
6/10/2009
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Irisdenuit
C'est la deuxième strophe qui me parle le plus par la sensualité qu'elle laisse entrevoir. Je suis moins convaincu par l'analogie "on", "off" de la dernière strophe, un peu trop abrupte. J'aurais plutôt choisi un terme comme "vacillent", ou "chancellent" qui aurait fait la rime avec les "chants d'ailes". Avec quelques touches plus imagées, j'aurais mieux apprécié ton poème. à te lire encore Chene |
Lariviere
6/10/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'aime beaucoup l'intégralité de ce poème.
J'aime ses images, doucement fantaisistes "Dans l'envie de la plume fruités d’espérance le dénudé des mots" Avec juste ce qu'il faut de sensualité pour que le thème du poème se dessine déjà : "le désir longe la main caressante ressuscite le langage de la peau dans une ascension des fièvres jusqu’à l’apogée" On y est. C'est dit. Le désir. L'amour. Les fièvres... J'aime bien ce passage. Les images sont belles. Elles parlent d'elles même. Les deux derniers vers, peuvent choquer à la lecture à voix haute, parce qu'il y a justement cette chute de sonorité voulue par "l'apogée"... "une langue au verbe incendiaire danse l’amour sur un corps offert" J'aime beaucoup ces deux vers où les images renvoient en écho le corps à la lettre... "les amants s'allument s'éteignent comme des chants d'ailes au bord du poème inhabité" Superbe quatrain de fin. Surtout le dernier vers, comme un oeil énigmatique posé sur la serrure... Un quatrain-synthèse, "au bord du poème inhabité". Merci ! |
Lhirondelle
6/10/2009
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Bonjour Iris de nuit
J'ai lu et relu... Il manque quelque chose, les mots ont en effet ce côté inhabité comme le précise la fin de ton poème... c'est peut-être pour cela que je reste sur une impression "imprécise" quant à mon ressenti ... C'est dommage car je suis convaincue qu'il faudrait peu pour rendre ce poème plus prégrant... enfin à mon goût. Et comme en tout, hein, les goûts et les couleurs ! il en faut pour tous... Amicalement L'hirondelle |
Lylah
6/10/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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La poésie que j'aime !
La première strophe est superbe : concise et musicale à la fois, elle nous entraîne déjà ailleurs, dans cette ascension de feu qui, à mon sens, est aussi bien celle de l'amour que celle de l'écriture. Beau parallèle donc et fort bien exprimé. J'ai moins aimé " les amants s'allument s'éteignent" mais la fin est si belle : "comme des chants d'ailes au bord du poème inhabité" qu'elle magnifie le tout... Bravo ! |
Mr-Barnabooth
7/10/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Quelle belle image que celle du "poème inhabité" qui clôt votre poème.
J'ai aimé Mr B. |
colibam
7/10/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Un bien joli poème, sucré et sensuel, sur le désir et « l'espoir dérisoire d'une furtive caresse » (merde, j'lai déjà faite celle-là !).
Les premières et dernières strophes ont ma préférence, de même que « les poussières d'absence qui sombrent dans la lumière d'une poésie ». La seconde strophe atténue selon moi la qualité d'ensemble. Trop convenu et plat. Dommage. Quant au dernier vers (qui aurait fait un très bon titre), il est tout simplement magnifique « au bord du poème inhabité ». |
David
8/10/2009
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bonjour Irisdenuit,
Je lis un poème sur l'écriture, et pas sur la page blanche pour le coup, cette drôle de quête de ce que les mots ne peuvent donner, le toucher. C'est pas un sens peu exploré, bien moins que la vue cependant, mais plus que l'ouie, l'odorat, ou le goût, sans être sûr de l'ordre convenant à ces derniers. À chaque fois le sens est abordé par un de ses extrèmes, et plutôt du côté du plaisir qu'il peut procurer, comme ici, il me semble. J'aime bien le clignotement de la fin : "les amants s'allument s'éteignent comme des chants d'ailes au bord du poème inhabité" |
Anonyme
15/10/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Irisdenuit. J'ai aimé ce poème aux images sensuelles et fiévreuses. Reste le dernier quatrain qui m'éloigne un peu de ce chant "d'elle". Amicalement.
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